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danse de le nécessaire non au labyrinthe des pleursils centre georges « et bien, 1 2 3&nbs "pour tes li emperere s’est 1 2 3&nbs « je suis un       il dernier vers aoi       pass&eac dix l’espace ouvert au dernier vers aoi approche d’une 1 2 3&nbs   À léon-gontran la tentation du survol, à madame déchirée page suivante ► page station 7 : as-tu vu judas se   ces notes vers le sommaire des recueils certains prétendent jamais si entêtanteeurydice la mort, l’ultime port,    en quel étonnant une errance de depuis le 20 juillet, bribes    7 artistes et 1 page suivante ► page oiseau tranquille au vol le chêne de dodonne (i) j’pense à toi bruno villa arson, nice, du 17 voici des œuvres qui, le 1 2 3&nbs pénétrer dans ce jour, le soleil n’est pas page d’accueil de écrire comme on se torna a sorrento ulisse torna haut var ► brec 1 2 3&nbs page d’accueil de       crabe-ta 1 2 3&nbs antoine simon 9 dessiner les choses banales   on n’est     longtemps sur le 28 novembre, mise en ligne (de)lecta lucta   c’est la peur qui fait       à 1 2 un texte page d’accueil de nu(e), comme son nom la vie humble chez les passet li jurz, si turnet a       j’ dans ma gorge page d’accueil de derniers textes mis en nos voix sous la pression des aller à la bribe suivante 1. il se trouve que je suis   au milieu de page d’accueil de aller à la bribe suivante       ma mouans sartoux. traverse de je t’enlace gargouille   1) cette à yvon « oui, je sais bien ce qu’il dernier vers aoi       bâ pour jean-louis cantin 1.-       embarq à la mémoire de christian a l’aube des apaches, préparer le ciel i aller au sommaire des le scribe ne retient   pour théa et ses toi, mésange à très malheureux... les dessins de martine orsoni art jonction semble enfin       la après la lecture de paien sunt morz, alquant et tout avait    de femme liseuse voici l’homme aux deux cent dix remarques i► cent exposition de la série  l’entretien abstraction voir figuration page suivante ► page       & ecrire, la vie en dépend, antoine simon 21  epître aux à raphaël retour au texte et…   dits un besoin de couper comme de  les œuvres de tendresse du monde si peu de pa(i)smeisuns en est venuz alla lingua lingua madre à propos “la premier vers aoi dernier madame est toute dernier vers aoi ce texte m’a été pour écouter ce moment de page suivante ► page page précédente retour m1       l’envers de deux nouveauté, voici quelques années, dernier vers aoi j’ai donné, au mois voir document expo boltanski comment entrer dans une mult est vassal carles de depuis ce jour, le site       apparu on cheval thème principal : 1 2 3&nbs décembre 2001. attendre. mot terrible. et c’était dans       pav&eacu 1 2 3&nbs       dans le 1 2 3&nbs sommaire ► page suivante et que vous dire des le lent déferlement antoine simon 18 page suivante ► page on préparait         alocco, au château de passet li jurz, la noit est sommaire ► page suivante page suivante ► page     du faucon antoine simon 25 vous, dont l’âme, le equitable un besoin sonnerait al matin, quant primes pert l’eau froide de l’anse carmelo arden quin est une       sur le 1    le recueil que       dans le aller à la bribe suivante  ce qui importe pour (À l’église si j’avais de son sommaire ► page suivante ce n’est pas aux choses pour raphaël l’impression la plus le lourd travail des meules   né le 7 aller vers le musicien nègre page d’accueil de effleurer le ciel du bout des ce qu’un paysage peut       reine naviguer dans le bazar de pour martin antoine simon 10 intendo... intendo ! deus li otreit (la sue) percey priest lake sur les pour gilbert       cerisier sauras-tu lui répondre textes mis en ligne en mars  il y a le châssis, rafale n° 12 où       jonathan très saintes litanies cent dix remarques i► cent page suivante ► page   marcel merci à marc alpozzo quatrième essai de l’heure de la page d’accueil de page d’accueil de traquer page suivante ► page       un vers le sommaire des recueils l’instant criblé       "       avant tandis que dans la grande préparer le ciel i chère florence     pour accéder rita est trois fois humble.       le long       la en ceste tere ad estet ja ecrire les couleurs du monde la communication est 1 2 3&nbs rafale n° 7 un pour lee  l’exposition          <script     a propos de quatre oeuvres de dans les carnets   tout est toujours en giovanni rubino dit le chêne de dodonne (i)       à la parol

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MICHAËL GLÜCK

1964
© Michaël Glück
Publication en ligne : 19 septembre 2020

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par six fois la Grande Ourse

les chevaux calmes à ma tempe

ont accordé leurs sabots

les troubadours dans une église

tiraient la lune sous les cartes

et les arlequins catalans

caressaient le dos des guitares

les figues brunissaient

la chevelure des filles

le ciel a dégrafé

leur corsage de jonc

petits couteaux sous les aisselles

***

ombre d’un enfant

gravée sur le mur

plus violente que la cendre

les doigts se sont fermés sur un vol d’hirondelles

les lépreux du Japon agitent leurs crécelles

brûlés sont les jardins sur la route de Sienne

brûlée la cathédrale

les rues d’Hiroshima

sourire d’un instant-libellule

soleil d’Hokusai et volcans

soierie pâle et vivace aux chevilles légères

la porteuse de d’eau va Hondo Fuji-Yama

porter les arbres nains au canton des lingères

et les filles nageant entre les madrépores

sont restés sous les eaux un filet sur les yeux

crématoire en plein air

Varsovie japonaise aux maisons de papier

***

futur amnésique

le soleil tiré par quatre fourmis

quitte les jacinthes de la chair

***

ruban distrait de la mémoire

au jardin

les jets d’eau sont venus s’asseoir

sur la crinière de chevaux

jamais je n’aurais tant joué

à chat perché dans les nuages

entre les fleurs et les chiens morts

***

vieille crécelle

la parole

un visage indécis

***

la mort est si facile

linceul dents vertèbres

solfèges

mes doigts dans tes cheveux

cherchent des oiseaux morts

***

clavier des dentelles

des grillons paresseux s’étonnent de mourir

au creux de nos épaules

la lune me tranche la gorge

les citrons ne sont

qu’un souvenir d’hypnose

***

dans les allées de soie brune la nuit

la trahison a l’odeur de ton corps

la caresse des pins les parfums de résine

s’enroulent aux sabots de la rivière

***

la paix des encensoirs s’endort sous les prières

au miroir

 silencieux

le temps oublie l’iris

au cadran du voyage

qui berce les couchants

le vent courbe un visage

***

soleil roux rossignol couchant

pris dans le prisme de ma voix

sable de l’une sous mon pas

Lorca ressuscité plain chant

Le fusil fleurit sur la branche

le crime est noir sur l’olivier

les fruits sont morts d’un goût d’acier

au pays d’Isabelle Blanche

romancero couleur de sang

rose blessée sur un sourire

Federico

Julian est mort

les caniveaux sont pleins d’oiseaux

***

on entendra la mer

les chevaux et la peur

ton corps de cuivre

ta crinière est en feu

et la fontaine est morte

grand sommeil

et je retournerai

vers les feuillets de l’ancolie

***

Tout s’insurge et dit

la désespérance

l’étoile et les pianos inquiets

la solitude des oliviers

***

le ciel après l’été

perd la mémoire

le regard fugitif

déchire les mots

il faudra partir

sans dire

 que l’on aima

***

l’enfant

ferme un rosier

et laisse mourir

l’oiseau blessé

***

elle avait les yeux noirs

et chaque soir penchait

la lune de cytise

vers le jour mort

sur la roue

***

je fus

marionnette de mes théâtres

puis je pris peur

des rideaux de ma chambre

***

un réverbère tremblait

dans la brume

sous un pont

 un désespéré

buvait le fleuve

le matin cahotait

sur les pavés mouillés

***

un bec de gaz brûle

au coin d’une rue infâme

pour un peintre ivre mort

un joueur d’orgue de barbarie

s’éteint avec sa complainte

***

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