Il faut laisser venir Madame depuis son plus lointain silence. À courir après elle, on la perd dans les émois. Leurs vagues. Ces déferlantes sur toutes les forêts du monde.
A corps perdu, le temps a brisé ses amarres. Madame, vous avez, dans les clairières, senti le vent et la pluie en rafales. Vous êtes, Madame, le pur esprit des forêts.