Madame dans l’ombre des forêts se déchaîne. C’est par là qu’elle dure. Continûment. Aussi quans s’est effacé jusqu’à son absence, il reste encore quelque chose d’elle. Quelque chose qui flotte dans l’air. Son frein.
Odeurs qui se troublent dans la complicité du feuillage et l’entêtement des racines. Un crissement, un pépiement, un froissement, et c’est la nuit désordonnée qui bruine, l’obscurité en suspension que fend l’aile d’une hulotte effrayée.