BRIBES EN LIGNE
une il faut dire les a la fin   il ne resta <img852|left> forest il y a des mots, mais comme dans le respect du cahier des si j’avais de son traquer elle ose à peine       la      & ainsi alfred… dentelle : il avait joseph a pour sens "dieu je désire un le 28 novembre, mise en ligne dernier vers aoi         page d’accueil de vers ponctuations sauver la vie c’est ne textes mis en ligne en 0- souviens-toi. sa on a cru à     chant de antoine simon 6       vaches   est-ce que je t’enlace gargouille       l’ textes mis en ligne en juin le chêne de dodonne (i) vedo la luna vedo le percey priest lake sur les le glacis de la mort   en grec, morías À perte de vue, la houle des       objectif page suivante ► page le 23 février 1988, il un jour nous avons ce texte a été rédigé à       ce qui deux ajouts ces derniers  pour de envoi du bulletin de bribes villa arson d’exposition en les installations souvent, les dessins de martine orsoni       alla epuisement de la salle, il tente de déchiffrer, page suivante ► page page suivante ► je suis né il nous aura laissé       reine         or lire la réponse de michel  epître aux   la production sous l’occupation pour accéder au pdf,       le       midi la musique est le parfum de       sur et encore   dits l’ami michel le chêne de dodonne (i) vous pouvez directement me et   riche de mes bernar venet - pur ceste espee ai dulor e madame, c’est notre  zones gardées de langues de plomb a la       objectif       bien antoine simon 33 hans freibach : elle dit la main qui fut le six de l’espace urbain, outre la poursuite de la mise a l’écrivain… comme si aller à la bribe suivante textes mis en ligne en       pour page suivante ► page page suivante ► voici donc on préparait à raphaël       la       mouette c’est le grand       une les céramiques et leurs  jésus voir les œufs de la tentation du survol, à sommaire ► page suivante aller à la liste des auteurs je déambule et suis si elle est belle ? je autre essai d’un    nous pour georges le pendu il en est des noms comme du c’est la peur qui fait sommaire ► page suivante rafale       la       neige premier vers aoi dernier page suivante ► page dernier vers que mort elle réalise des       le vent etudiant à notre but n’est pas de après la lecture de la chaude caresse de aller au sommaire de pablo 1     pour page suivante page g. duchêne, écriture le   À léon-gontran un besoin de couper comme de torna a sorrento ulisse torna aller vers bribes, livres 1       le mais non, mais non, tu pour angelo   pour olivier pour le prochain basilic, (la tendresse du monde si peu       la aller vers le musicien nègre pour sophie, magali et page d’accueil de       enfant soudain un blanc fauche le la cité de la musique page d’accueil de je suis celle qui trompe a supposer que ce monde   on n’est page précédente page thème principal :       jonathan même si j’pense à toi bruno a l’extrémité du       textes mis en ligne en avril       m’ nous avons affaire à de   nous sommes merci à marc alpozzo kurt schwitters. : essai de nécrologie, antoine simon 32     longtemps sur et tout avait biboon. plus qu’une saison. l’appel tonitruant du présentation du projet Être tout entier la flamme des voix percent, racontent       reine avant propos la peinture est       en deux nécrologie retour au texte commençons donc par le page suivante gérard lorsque martine orsoni d’abord la crise du textes mis en ligne en des voiles de longs cheveux page d’accueil de aller à la liste des auteurs vers la première les carnets éclaboussés 2       ".. page suivante ► page "la musique, c’est le ne pas négocier ne du bibelot au babil encore       en un  monde rassemblé dans le monde de cette pour accéder au texte, du maurithuis par bernard dejonghe... depuis       avant     dans la rue la     de rigoles en aller à la liste des auteurs 1er moins quinze hiver bribes en ligne a     m2   page précédente ► de in the country page suivante ► page ++++   en prenant acte buttati ! guarda  vers musica maestro ! nous avancions en bas de rare moment de bonheur, guetter cette chose leonardo rosa les lettres ou les chiffres j’ai ajouté "mais qui lit encore le attelage ii est une œuvre l’instant, celui qui ne "ces deux là se prenez vos casseroles et carissimo ulisse, torna a toutes ces pages de nos l’eau froide de l’anse oiseau tranquille au vol sophie calle à beaubourg...   présentation du projet et       la vers la première sommaire ► page suivante   (à    tu sais       rampant 30 décembre 1963. revue attendre. mot terrible.     nous avions nous savons tous, ici, que ouverture de l’espace cristina de simone : le à yvon « oui, et que vous dire des carmelo arden quin est une parcourir les espaces ►       au       le À venise je dispose, sur le  un livre écrit la communication est a propos de quatre oeuvres de page d’accueil de ce mot comme à la hâte violette cachée ton avant dernier vers aoi  dans toutes les rues       bâ l’entreprise dont je me 1. il se trouve que je suis juste un sommaire ► page suivante ping pong entre miche  les œuvres de   1) cette "ah ! mon doux pays, dernier vers aoi 1)       fleurett       le   six formes de la le galop du poème me       et       un les éditions de la passe du les grands j’ai parlé albertine       en grant est la plaigne e large cliquer sur l’icône page suivante ► page       m’ granz est li calz, si se il y a des objets qui ont la       la errer est notre lot, madame,       grappes ils sortent pour egidio fiorin des mots textes rÉunis sous un titre page suivante ► page page précédente retour madame porte à 7) porte-fenêtre un homme dans la rue se prend       dans la pas sur coussin d’air mais les amants se max charvolen, martin miguel       au comme un prÉliminaire la page suivante ► page les dernières page suivante ► page page précédente retour sommaire ► page suivante       " page suivante page   ciel !!!! autre citation monde imaginal, dans le pain brisé son le dit du guide de la littérature de page suivante ► page il semble possible et combien zacinto dove giacque il mio j’ai perdu mon aller au texte nous sommes le plus insupportable chez       aujourd exposition et ouvrage de alocco en patchworck © “dans le dessin halt sunt li pui e mult halt voile de nuit à la antoine simon 12 il souffle sur les collines cent dix remarques i► cent préparer le ciel i dernier vers aoi petites proses sur terre a) les villes abandonnées il bernard noël, droits page suivante ► page générations       le ciel i voici. "il y aurait eu un paul « (…) et il  tous ces chardonnerets une autre approche de aller à la bribe suivante page suivante ► christ a page suivante ► page       deux glaciation entre le samedi 26 mars, à 15 à propos “la passent .x. portes, aller à la liste des auteurs       au       le sauvage et fuyant comme dans un coin de nice, allons fouiller ce triangle 5) triptyque marocain cyclades, iii° petit souvenir dernier vers aoi lorsqu’on connaît une rafale n° 4 on le écoute, josué, préparer le ciel i   *   libre dernier vers aoi       dé il avait accepté textes mis en ligne en juin       le 13) polynésie antoine simon 19 tout en travaillant sur les raphaël monticelli : tu station 3 encore il parle si grant dol ai que ne lire chronogaphie (bribe 133 textes mis en ligne en mars page d’accueil de un texte venu de l’autre le tissu d’acier libre de lever la tête antoine simon 11 dernier vers aoi derniers vers sun destre page suivante ► page à " je suis un écorché vif. raphaËl     hélas,       à faisant dialoguer j’ai donné, au mois Éphémère du 22 juillet à au seuil de l’atelier la parol

Retour à l'accueil

RAPHAËL MONTICELLI

Charvolen et Miguel exposition chez Candela
Publication en ligne : 10 décembre 2008
Première publication : juillet 2001 / Notes et correspondance
Artiste(s) : Charvolen (site) , (site) , Miguel

A propos d’une exposition d’œuvres de Max Charvolen et Martin Miguel
Chez André et Maryse Candela

Il y a dans cette exposition, deux ou trois leçons que je veux retenir : elles concernent la relation entre ces œuvres et l’habitat qui les a accueillies, le dialogue dans lequel on les a vues se tenir, quelques points qu’elles nous ont appris sur la présence de l’art..

En fait, tout semble opposer ces deux démarches, pourtant elles ont entre elles de très profondes connivences.
ce qui les oppose : le mou/le dur ; les matériaux, le rôle de la couleur, la façon de penser forme et format.
Quand elles ont un point analogue (le bâti) elles le prennent par des biais tout à fait différents, voire opposés : calque ou empreinte du bâti existant dans un cas et utilisation du bâti achevé, comme pour en garder mémoire, utopie du bâti, rêve d’un bâti à venir, utilisation des gestes, des matériaux, des techniques des bâtisseurs, comme pour définir des espaces à venir…
Elles ont un point commun (qui se focalise dans le dialogue entre la pièce en béton gris avec au centre une réserve bor(d)(n)ée de suie, et la pièce jaune aux arêtes surlignées, avec au centre une réserve aussi) et ce point commun tient autour de ce qui, dans l’œuvre, ne reçoit pas de traitement plastique… On dirait traitement du manque, pour aller vite….

D’abord dire que ce manque est toujours induit, plastiquement, par les modes de construction de l’œuvre, par le type de pensée à l’œuvre : ce n’est pas ce autour de quoi l’œuvre se constitue, c’est ce qui se constitue du fait de la production de l’œuvre… Ce n’est pas un manque que l’œuvre réduit, ou donne à voir, c’est un manque que l’œuvre constitue, construit, produit… En ce sens, il ne s’agit pas d’intégrer dans l’œuvre un espace qui n’est pas elle, mais, constituant l’œuvre, de produire, au sein même de l’œuvre, ce manque plastique de matérialité plastique. Dans les deux cas, le manque… plastique résulte d’un retrait…
Le mystique Hassid prétend que le monde est né d’un retrait de Dieu… Dans le cas de M & M, le manque naît soit d’un retrait de la toile, soit d’un retrait de la couleur…
Lorsque j’ai été assailli par la pièce de MM, je me suis immédiatement retrouvé comme face à sa première œuvre : déjà le manque né du traitement plastique du retrait. Et tournant les yeux vers la pièce de MC, j’ai revu les échelles, et, aussi, le traitement plastique du retrait du rectangle… J’ai toujours dit, à l’époque, que la différence fondamentale que je voyais entre les échelles de MC et les structures -visuellement analogues- de Dezeuze, c’était que ce dernier construisait les images de châssis qui donnaient ainsi à voir, hors d’elles, les espaces où elles étaient posées, tandis que MC, retirant un rectangle de toile, de l’intérieur du triangle de toile, et les plaçant en regard l’un de l’autre (c’est ce qu’avait fait aussi MM avec son espace virtuel) renvoyait construisait la vision d’un autre espace plastique et d’un manque plastiquement traité…

Cette esthétique… du retrait donc, plus que du manque m’est sans doute d’autant plus apparue chez A et M C. que les œuvres de MM et MC occupaient un espace dont toutes les autres œuvres ou presque avaient été.. retirées… Mais il m’est apparu aussi que c’est une esthétique qui doit sa logique même aux nécessités du bâti… Et où étions nous donc sinon dans un espace -le bâti- qui ne se définit que par le fait qu’il est délimité. L’espace à vivre, comme un retrait des murs…

D’un certain coté, je me suis demandé si ce que disais être un manque n’était pas en fait, la métaphore même d’un espace à vivre : quand le moulage est mis à plat, quand la couleur, se retirant, crée cette réserve chatoyante au creux du béton, ce qui manque, là, c’est peut-être, tout simplement, le lieu où justement nous habitons, moulage d’espace construit, où nous pourrions vivre, utopie du bâti…

Ce retrait -plastique- en somme, c’est la place de celui qui regarde, c’est la maison du regard…

Messages

  • A la lecture de ton texte après l’expos chez les Candela quelques formulations ont fait question :

    Le mou / le dur

    Couleur fonctionnelle / couleur ornementale

    Pourquoi le bâti ?

    Je vais essayer de prendre les notions point par point sans trop mélanger (ça va être dur)

    Le mou / le dur

    Chez Max : c’est le rapport entre toile et bâti c’est à dire deux objets distincts séparés dans l’espace qui vont à la rencontre l’un de l’autre. c’est un détournement du rapport toile / châssis. Le châssis rigidifie et formalise la toile. Le bâti rigidifie momentanément la toile et la formalise sauf que cette formalisation n’est pas codifiée mais particulière : elle figure un espace du bâti en même temps que son absence.

    Le mou chez Max c’est deux temps séparés dans le temps ce qui donnerait mou / dur / mou. Le mou c’est ce qui révèle le dur puis l’abstrait comme chez les Fauves où le rejet du ton local abstrait la figure. D’où son inquiétude constante de la perte de la révélation du dur, d’où peut-être son attachement aux escaliers.

    Ce qu’il y a de commun et de différent entre Max et moi est dans le rapport au temps :

    Max deux actions dans le temps mais qui peuvent être très lointaines (le dur s’abstrait quand il le veut) et cet éloignement il le figure par des indices de passages.

    Moi deux actions dans le temps qui sont définies par l’irrémédiabilité du dur.

    C’est la respiration de la vie et la taille des objets auxquels Max s’affronte qui définissent le manque plastique. C’est un manque programmé car on imagine mal Max ne s’arrêtant plus de recouvrir, toute chose étant liée, au risque de ne plus jamais dévoiler, résolvant ainsi ses problèmes de stockage, d’accrochage… et tombant dans ces pratiques ou l’idée aussi intéressante soit-elle, toute puissante, emprisonne la pratique et tue instantanément l’évolution possible de la pensée et sa pratique dans la durée de l’existence (Opalka). (je savais que je mélangerais)

    Chez moi : le mou et le dur sont deux états séparés par le temps et c’est le manque de temps qui défini le manque plastique. Le mou et le dur sont deux moments des matériaux utilisés. Les temps de passage d’un état à l’autre sont différents d’un matériau à l’autre et c’est cela qui crée le manque : lorsque le temps de l’un permet l’action (décoffrage) le temps de l’autre est volé.

    Chez Max, le dur est donné, il est là (dur mou dur mou) (je ne ferai aucune analogie)

    Chez moi, il doit être produit (mou dur mou dur) (je ne ferai aucune analogie)

    Chez moi, on pourrait dire que le rapport mou / dur figure le temps (espace ? et manque d’espace ?)

    Chez Max, le rapport dur / mou figure l’espace (temps ? et manque de temps ?)
    On voit qu’il y a comme une inversion ; c’est pour ça que l’on va si bien ensemble, nous sommes les contraires d’une même chose.

    Usage fonctionnel ou ornemental de la couleur.

    L’usage fonctionnel de la couleur est-il un moyen de se détourner de l’usage ornemental de la couleur ? Disant fonctionnel, je dis que, prioritairement, elle sert à autre chose que sa fonction spectaculaire liée immédiatement au plaisir. Nous disions déjà, il y a quelque temps, "marquer une différence" (ce qui est une constante dans l’histoire de la peinture) mais disant cela nous voulions mettre l’accent sur la raison des dispositions colorées plutôt que sur l’apparition spontanée, inconsciente, des différences colorées, nous voulions bannir l’irrationnel ou penser l’irrationnel non comme une volonté supérieure à l’état humain mais comme l’émergence d’un vide à combler par la pratique et le langage malaisé qu’elle produit.

    Est-ce vraiment une différence entre nous ?

    La fonction de la couleur chez Max est de marquer des plans ; chez moi elle est de remplir, de marquer, d’occuper un volume mais de creuser aussi ; la peinture se fait outil.

    Chez Max, elle est visuelle, rétinienne, c’est une étendue ; chez moi elle est aussi visuelle, elle part d’un plan mais, matérielle, elle n’arpente pas elle fouille, elle pénètre, elle s’engouffre (cela nous oppose). Il est à l’extérieur, je suis à l’intérieur d’une même entité.

    Il est évident que Max choisit la qualité de ses couleurs comme c’est le cas pour moi

    Chez moi l’effet coloré peut être dû à des mélanges imprévus ; chez Max les rapports colorés sont imprévus, ils correspondent à tel type de développement.

    Il y a incontestablement (?) un aspect ornemental dans les résultats obtenus chez moi comme chez Max.
    Personnellement je ne nie pas le plaisir de la couleur. Comment advient-il ? C’est simple. Puisque je remplis, ce qui est le fondement du travail, sachant le temps du creusement, pourquoi me priverai-je de la différence colorée ?

    D’autre part remplir avec du béton et de la couleur marque l’hésitation ou l’oscillation entre des sphères de production, ou, plutôt, leur osmose produit une autre (nouvelle ?) façon de représenter. L’utilisation de plusieurs couleurs et leur jeu est peut-être la persistance du passé dans mon travail, mais cette référence est peut être nécessaire.

    En gros je pense que les usages fonctionnel et ornemental de la couleur ne sont pas forcément opposables, du moins ils peuvent coexister. L’essentiel est qu’ils produisent un sens nouveau.

    Il me semble évident que l’on ne peut pas bannir la couleur d’une pratique quelle qu’elle soit, au risque de bannir la pratique elle-même. La question, pour nous, était, et est encore : « peut-on utiliser les moyens traditionnels de la peinture tout en réfutant les résultats qu’elle a produits, inappropriés aux rapports au monde que nous vivons ? » C’est-à-dire : « peut-on être représentatif de ce monde en utilisant encore ces moyens ? » Le temps dira si nous sommes archaïques, ce que les pratiques alentour sembleraient nous dire.

    Pourquoi le bâti ?

    Pourrait-on imaginer Max recouvrant une pelouse et grimper aux arbres ? (dans un jardin il chercherait le figé, le dur dur, le monument)

    Pour Max, le bâti en tant que modèle fait référence au tableau (le mot est d’ailleurs souvent utilisé dans le bâtiment). Max. recouvre d’abord des tableaux. Le tableau s’étant désagrégé, était-ce possible de le remplacer par quelque chose de complètement distinct surtout en en conservant ses autres éléments ? Le glissement au mur était des sortes de retrouvailles :

    La rigidité et l’origine.

    Mais ce mur bâti a posé d’emblée des questions de limites et c’est le corps qui en a assumé la mesure mais le corps était trop prégnant du moins l’objet bâti insuffisamment figuré d’où la nécessité de bouger et d’explorer au-delà, jusqu’où ? On a vu Max aller toujours plus loin jusque dans la démesure en regard des lieux d’exposition possibles à la limite de ses possibilités de transport, de stockage, de manipulation.

    Max est toujours allé à la conquête de la réserve et la réserve s’en est trouvée renforcée. On le voit aussi dans son rapport aux objets plus petits, une fois qu’il en a fait le tour, il réitère et persiste créant ainsi non pas des réserves mais des objets d’absences mettant ainsi l’objet en réserve.

    Chez moi c’est pareil concernant le tableau mais le rapport au mur n’est pas un rapport au mur construit mais au mur se construisant. Différence essentielle qui marque notre différence visuelle.

    Qu’est-ce qui fait que je m’arrête de remplir ? Qui pourrait me détourner de la volonté de construire une autre Babel ?

    Le poids, le volume donc le transport, la manipulation, le stockage…d’où cette volonté de montrer l’inachevé ou d’utiliser des morceaux à assembler et comme cet abandon ou cette conquête de la réserve sont de l’ordre de l’étendue, de la surface, de l’extérieur et que la pratique est aussi (surtout ?) tournée vers l’intérieur j’en explore l’altérité. La réserve intérieure n’est pas une conquête,(serait-ce un repliement, une retraite, une débâcle ?) c’est une béance, une absence de temps, une construction du retrait, une Babel inverse. La métaphore peut-être du manque qui nous taraude mais qui construit le désir, l’envie la vie.

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Connexions’inscriremot de passe oublié ?

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP