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  cinq approches "le renard connaît textes mis en ligne en       dans le ce jour là, je pouvais accéder à l’article pour jean-louis cantin 1.- le voici devant la toile       allong&e i en voyant la masse aux sur l’erbe verte si est d’abord quelques douze (se fait terre se petits rien 4 et 5 (env. 7cm À la loupe, il observa c’est la peur qui fait       journ&ea pour accéder au recueil,       en À max charvolen et vers la lettre ouverte au ils s’étaient s’égarer on attention beau la deuxième édition du pour accéder au pdf,       la antoine simon 13 la fraîcheur et la roland barthes : propos       "je page d’accueil de 30 décembre 1963. revue page suivante ► nous le chêne de dodonne (i) lien vers la totalité des raphaël monticelli :       m’       baie dernier vers aoi éphémère du 6 octobre page précédente retour les dessins de martine orsoni 1) notre-dame au mur violet il nous aura laissé       é lors de la fête du livre iii sur l’eau a) au grÉ madame est toute   saint paul trois page 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vacarme des couleurs, <img852|left> forest À alessandra  au mois de mars, 1166       pass&eac rossignolet tu la cent dix remarques i► cent "l’art est-il       voyage sommaire ► page suivante madame, c’est notre dans les hautes herbes i.- avaler l’art par antoine simon 2       dans la toujours les lettres : du bibelot au babil encore "mais qui lit encore le pour robert       et tu lire le texte dans l’innocence des  ce mois ci : sub il arriva que textes mis en ligne en avril     &nbs il est le jongleur de lui bernard dejonghe... depuis       mouette présentation du projet à la bonne la terre nous sous l’occupation paru en ce mois de juin 2021, dans ce périlleux le recueil de textes la galerie chave qui       sur le coupé le son à par max et andré       midi     sur la       deux       avant il a surgi sans crier je suis bien dans un texte que j’ai quand il voit s’ouvrir,  l’entretien page d’accueil de je suis occupé ces pas sur coussin d’air mais vertige. une distance       soleil   dits de nous avancions en bas de page suivante page le flot pâle des maisons  référencem aller à la liste des edmond, sa grande       fourr&ea  pour de dernier vers aoi passent .x. portes, al matin, quant primes pert page suivante ► page page précédente retour vers stat silva dolorosa bernard noël, droits retour à la recherche rare moment de bonheur, deux ajouts ces derniers 1- nous sommes dehors.    courant  dans toutes les rues   la production aux george(s) (s est la  de même que les aller à la bribe suivante  les éditions de nous serons toujours ces avant dernier vers aoi page d’accueil de lorsqu’on connaît une cent dix remarques i► cent       dans       l’ le phonétisme n’a-t-il pas année 2018 ► année 2020 pour marcel cliquez sur l’icône textes mis en ligne en mars    7 artistes et 1 là-bas, dans le pays des et il fallait aller debout rafale n° 10 ici moi cocon moi momie fuseau il n’était qu’un     pourquoi tu monde imaginal, bruno mendonça comme c’est    de femme liseuse page 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est une       alla À l’occasion de le 28 novembre, mise en ligne d’abord trouver un titre. pour visionner     nous avions       l’ madame est la reine des pour accéder au texte au page suivante ► page aller au sommaire de pablo allons fouiller ce triangle c’est un peu comme si, page suivante ► page dernier vers aoi   elle dit la main qui fut le l’instant criblé les éditions de la passe du titrer "claude viallat, rafale après la lecture de cher.e.s ami.e.s vous pouvez attendre. mot terrible. elle réalise des à yvon quand une fois on a de proche en proche tous aller à la bribe suivante page suivante ► page today i eat my   six formes de la soudain un blanc fauche le couleur qui ne masque pas page suivante ► page vous pouvez directement me dernier vers aoi page d’accueil de  c’était c’était une très jeune l’odeur de ce  si, du nouveau     pluie du comment entrer dans une préparer le ciel i où l’on revient page suivante ► page clers fut li jurz e li l’impression la plus rafale arbre 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THIERRY RENARD

à la mémoire de Christian Bobin
© Thierry Renard
Publication en ligne : 28 novembre 2022

à la mémoire de Christian Bobin

 

« J’ai mis ma main dans la main de la Mort

Mais je la tiens autant qu’elle me tient

Et ses doigts d’os craquent entre les miens

Quand je m’endors m’endors m’endors m’endors »

Louis Aragon, Les Adieux

 

J’ai perdu un ami

qui lisait dans les yeux des enfants

et qui était aussi l’ami des oiseaux

des arbres des brins d’herbe

des feuilles d’automne

des cailloux des chemins

 

J’ai perdu un ami solitaire marchant

au milieu des forêts au bord des rivières

un ami pour qui le temps semblait

le plus souvent suspendu

un ami qui évidemment se tenait

à l’écart des bruits du monde

des passants un peu trop pressés

et des esprits malveillants

 

J’ai perdu un ami qui aimait autant

les petites choses de la vie ordinaire

que les livres des bibliothèques

J’ai perdu un ami qui prétendait

ne rien désirer ne rien savoir

mais qui pourtant connaissait

bien mieux que quiconque

la longue chevelure des femmes

et la couleur changeante des saisons

 

J’ai perdu un ami qui dansait sur l’eau

qui chantait en silence le soir à la veillée

parmi de vieilles ombres et des fantômes

qui disait les choses sans les dire

et dont les paroles les plus hautes

étaient plus légères qu’une plume

un ami de la pluie du soleil et du vent

 

J’ai perdu un ami qui avait appris

à lire dans le cœur des mortels

et dont pourtant chacun des mots

d’un coup de baguette magique

pouvait rendre toute chose immortelle

un ami encore dont le rire était contagieux

 

J’ai perdu un ami qui me reconnaîtra.

 

Saint-Julien-M.-M., le samedi 26 novembre 2022 ;

Vénissieux, le lendemain

 

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