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Écoute, bûcheron, arrête juste un j’aurai donc vécu sur dorothée vint au monde pour hélène dubois 1) à sylvie  monde rassemblé vous avez       au 1 la confusion des madame, on ne la voit jamais alla lingua lingua madre de mes deux mains pas même textes mis en ligne en avril dernier vers aoi ce qui fait tableau : ce viallat © le château de       l’ page suivante ► page   anatomie du m et rita est trois fois humble. cent dix remarques i► cent    seule au page suivante ► page etudiant à       neige       m’ quand les mots granz fut li colps, li dux en « (…) et il page suivante ► christ a ++++   sur le papier   jn 2,1-12 :   les un titre : il infuse sa vers ponctuations ou aux mots noyés dans quant carles oït la eurydice toujours nue à lancinant ô lancinant bernard noël, un nous de (ô fleur de courge... page suivante ►   les jean dubuffet : honneur   si vous souhaitez dentelle : il avait ce mot comme à la hâte cent dix remarques i► cent a la femme au       &       en deux et tout avait dernier vers aoi c’est ici, me aller au sommaire de pablo       une histoire de signes . pour accéder au pdf de le poiseau de parisi mon     [1] l ces estampes illustrent le fête du livre       objectif       descenda       retourn& 1. passera-t-on par l’eau quelques photos la question du récit       banlieue textes mis en ligne en au matin du « h&eacut       les "ces deux là se antoine simon 9 page d’accueil de il y a bien là, dans aller à la bribe suivante       dans le page suivante ► page un jour nous avons m1           " quelques photos et c’était dans « pouvez-vous cent dix remarques i► cent clxvi deus li otreit (la sue) pour jean-louis cantin 1.- sur la toile de renoir, les       magnolia la visite de la fondation abords de l’inaccessible page d’accueil de sommaire ► page suivante retour au pdf sui generis  référencem le texte qui suit est, bien    si tout au long       pour marie-hélène retour à la recherche equitable un besoin sonnerait quatre si la mer s’est a ma mère, femme parmi depuis quelques années se dernier vers aoi  pour le dernier jour ils sortent page suivante       (   le texte suivant a nous avons affaire à de carissimo ulisse, torna a rafale page d’accueil de l’homme est un tunnel sans fin et, à pénétrer dans ce jour, « 8° de les terrasses abandonnées page d’accueil de       nuage  pour de percey priest lake sur les le samedi 26 mars, à 15 abu zayd me déplait. pas des quatre archanges que     les fleurs du "l’art est-il les éditions colophonarte et encore   dits la fraîcheur et la       pass&eac sommaire des al matin, quant primes pert  le livre, avec pour bruno charlotte, in aller à la liste des auteurs quelques textes béatrice machet vient de le chêne de dodonne (i) dernier vers doel i avrat, sept (forces cachées qui si tu es étudiant en mougins. décembre pour le prochain basilic, (la mise en ligne       st sommaire ► page suivante avant dernier vers aoi madame aux rumeurs un verre de vin pour tacher       ce qui d’ eurydice ou bien de paysage de ta mathieu bénézet : mon "nice, nouvel éloge de la de pa(i)smeisuns en est venuz       jardin  l’écriture in the country page suivante ► page page suivante ► page la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Journal intermittent, décembre 2001

/ article dans revue

Artiste(s) : Thupinier

Le journal intermittent est né en 2001. Pour des raisons professionnelles, j’avais quitté la présidence de l’association des amis de l’Amourier, laissant la place à Alain Freixe. Les amis m’ont alors demandé de garder une présence dans l’association, par exemple en intervenant dans le Basilic, la gazette de l’association. J’ai alors proposé l’idée d’un "journal" que je tiendrais à leur demande quand la place le permettrait dans le Basilic.
C’est ainsi qu’aujourd’hui encore, de façon intermittente, à leur demande, je poursuis ces petites interventions.
Je reprends toutes ici, dans l’ordre chronologique... Et comme leur forme et leurs sujets correspondent à l’esthétique des Bribes, je les place dans cette rubrique...

(On peut consulter tous les numéros du Basilic à l’adresse https://www.amourier.fr/gazette-basilic/)


Petit souvenir d’école
J’avais cinq ou six ans, je devais être au cours préparatoire... notre instituteur nous avait distribué des gabarits en carton de la carte de France... Là, parmi d’autres informations que j’ai oubliées, en gros caractères, s’inscrivait la phrase suivante :
“Enfant, voici ton pays...”
Ne parlons ni de mon trouble de petit Italien, ni de mes discussions avec le maître, ni de mes vaines recherches
pour trouver, en Italie, une carte analogue.
Il m’est resté ce rêve de donner à tous les enfants d’Hommes des cartes analogues et qui leur diraient aussi précisément : “ Enfant, voici toutes les œuvres du monde, elles sont à toi, voici tous les livres qui ont été écrits, ils t’appartiennent. ”
Il m’est resté ce rêve, et il ne me quitte jamais...

À propos de Légendes de Martin Winckler
Depuis le 1er septembre, et jusqu’à la fin février, Martin Winckler tient le “ feuilleton ” des éditions P.O.L., que vous pouvez retrouver à l’adresse suivante : des éditions [1] Ce feuilleton se présente comme une autobiographie qui explorerait la vie de l’auteur en passant par les vecteurs de “légendes” : de la photo de famille aux séries B de la télévision en passant par la bande dessinée, le cinéma, les événements, familiaux ou collectifs... Je suis pris par des sentiments fort divers en suivant ce feuilleton... Mais peu à peu se dessine une œuvre qui peut-être donne une forme nouvelle au genre de l’autobographie et qui, à coup sûr, est en train de changer le statut de ce que l’on appelle la culture populaire. En tout cas, ça vaut le coup. Allez-y voir !

À propos de l’exposition de Gérald Thupinier au MAMAC de Nice, jusqu’au 20 janvier 2002.
Petit à petit le musée de Nice expose les peintres qui travaillent à Nice, même s’ils ne sont pas répertoriés, estampillés, classés...
L’exposition de Gérald Thupinier est impressionnante. Il est rare de se retrouver face à un ensemble d’œuvres aussi “présentes” et qui – paradoxalement ?– questionnent aussi violemment la disparition, ou l’évanescence... Un petit critère psycho-physique personnel : quand je regarde les œuvres de GT dans le musée, j’ai l’impression de flotter. C’est une impression analogue à celle que connaît, parfois, le rêveur. Je sais alors que cela signifie que ce n’est plus l’espace physique dans lequel j’évolue qui me sert de référence – ce n’est donc plus le sol sur lequel je pose mes pieds – mais l’espace de l’œuvre exposée...

À propos du bâtiment de la nouvelle médiathèque de Nice à vocation... régionale, dit “la tête au carré”. Imaginez ça... Il n’y a plus d’oreilles, plus de narines, plus de bouche, plus d’yeux, plus de crâne, plus de cerveau. Rien ne peut plus entrer ici. Rien ne peut plus en sortir. Il ne resterait plus que ce fameux mouvement de menton, assez mou malgré tout... Moi, ça me fait froid dans le dos...

©Editions de l'Amourier, tous droits réservés

Notes

[1je n’ai pas retrouvé cette rubrique sur le site des éditions POL (note d’avril 2022)

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