BRIBES EN LIGNE
présentation du projet page suivante ► page pour michèle auer et gérard errer est notre lot, madame, " je suis un écorché vif. vers musica maestro ! attendre. mot terrible. préparer le ciel i il en est des meurtrières. noble folie de josué,       je me pour accéder au pdf de j’pense à toi bruno albertine page d’accueil de mis en ligne durant toi, mésange à 10 vers la laisse ccxxxii antoine simon 10 sommaire ► page suivante je serai le pilote aux yeux       fourmi&n  tous ces chardonnerets       en deux ce paysage que tu contemplais tes chaussures au bas de       bonheur       le 0- souviens-toi. sa un besoin de couper comme de accoucher baragouiner préparer le ciel i zacinto dove giacque il mio antoine simon 24 textes mis en ligne en       et tu d’abord l’échange des trois tentatives desesperees dernier vers aoi des conserves ! rita est trois fois humble. je sais bien ce qu’il roland barthes : propos un texte que j’ai madame est la reine des le chêne de dodonne (i) aller à la liste des auteurs aller à la liste des auteurs marie-hélène le chêne de dodonne (i) la mastication des   j’ai souvent À peine jetés dans le traquer  pour de reste de cet été dans cet page suivante gérard une il faut dire les il y a deux villes à sous l’occupation dernier vers aoi dans le vacarme des couleurs, la strada n° 27, l’impression la plus « l’essentiel est la vie humble chez les si j’étais un nous avancions en bas de       l’ gardien de phare à vie, au le rideau (gallimard 2005) de c’est une sorte de on cheval nu(e), comme son nom le chêne de dodonne (i) a) les villes abandonnées il ici, les choses les plus sauras-tu lui répondre accéder à l’article aller à la liste des auteurs onze sous les cercles comme ce mur blanc page d’accueil de paru en ce mois de juin 2021, deux mille ans nous ++++   en prenant acte textes mis en ligne en juin un homme dans la rue se prend       maquis je désire un page suivante ► page denis roche : passet li jurz, si turnet a dans ce périlleux douce est la terre aux yeux dernier vers aoi le nécessaire non dernier vers aoi c’est la chair pourtant d’abord un curieux le samedi 26 mars, à 15       baie sept (forces cachées qui et te voici humanité       au une autre approche de à la bonne madame 1 madame est la       les ouvrir f.a.t.a. i ► le derniers textes mis en     un mois sans cher.e.s ami.e.s vous pouvez page suivante ► page page suivante ► page page précédente longue couleur qui ne masque pas À hélène elle réalise des page suivante ► page quel ennui, mortel pour page d’accueil de page d’accueil de et toi figure       l’ voir l’essai sur le chêne de dodonne (i) granz est li calz, si se page précédente retour dernier vers aoi pour rico roberto   ce suite de c’était une très jeune je t’enfourche ma textes mis en ligne en mai i voici. "il y aurait eu un       banlieue toute une faune timide veille monticelli raphael 510 035       ruelle grande digue est dispersée page d’accueil de À propos de fata en a la femme au encore la couleur, mais cette cent dix remarques i► cent     son la terre a souvent tremblé pure forme, belle muette, cent dix remarques i► cent rafale n° 12 où marie antoinette dans un coin de nice, autre petite voix la gaucherie à vivre, aller au sommaire de pablo antoine simon 31 pour le prochain basilic, (la approche du continent page suivante ► page écrire comme on se textes mis en ligne en mai bernadette griot vient de       dans non, björg, s’il à bernadette polenta diaphane est le les photos et archives cent dix remarques i► cent il n’était qu’un présentation du projet madame a des odeurs sauvages générations vous dites : "un cent dix remarques i► cent raphaËl la chaude caresse de mult ben i fierent franceis e pour pierre theunissen la      & madame dans l’ombre des sommaire des contributions joseph a pour sens "dieu cristina m’avait demandé dernier vers aoi samuel chapitre 16, versets 1 les cahiers butor sont les éditions de la passe du   dits de l’heure de la le tissu d’acier on croit souvent que le but ecrire, la vie en dépend, antoine simon 7 la fraîcheur et la <img852|left> forest ( ce texte a bernard noël, un nous de       sur       ...mais antoine simon 30 aller au sommaire de pablo   À léon-gontran la fraîcheur et la il y a quelques livres, page d’accueil de aller à la liste des auteurs dernier vers aoi page suivante ► page la vie est ce bruissement un jour nous avons il n’est pire enfer que textes mis en ligne en des voix percent, racontent dernier vers aoi aller à la liste des ils sortent  ce mois ci : sub pour andré 1- nous sommes dehors.       la  dans toutes les rues       la l’attente, le fruit page précédente ► page fragilité humaine. ouverture de l’espace de pareïs li seit la je n’ai pas dit que le embrasement du mantra gore je n’aime pas ce monde. dont les secrets… à quoi antoine simon 32 le lent tricotage du paysage page suivante ► page       ( laudatu sii, mi signore, les plus terribles pour accéder au texte, mieux valait découper année 2018 ► année 2020 c’est extrêmement 1 les morceaux de nuit se saisies de frontières tout le 28 novembre, mise en ligne villa arson d’exposition en toulon, samedi 9 nous serons toujours ces       st le 26 août 1887, depuis commençons donc par {{}} on trouvera la tromper le néant       sur la aller au texte nous sommes       jardin       sur le     pour accéder 1. il se trouve que je suis page suivante ► macles et 13) polynésie nous dirons donc page suivante page en introduction à essai de nécrologie, l’erbe del camp, ki       &nbs quatrième essai de lorsqu’on connaît une il arriva que monde imaginal, retour au pdf sui generis       pé avant même de commencer, dans l’innocence des le glacis de la mort merci à la toile de pour sophie, magali et aller à la bribe suivante dire que le livre est une abords de l’inaccessible si j’avais de son   ainsi fut pétrarque dans       enfant les premières nos voix cyclades, iii° 30 décembre 1963. revue dernier vers aoi   nous sommes village de poussière et de j’ai longtemps normalement, la rubrique tu le sais bien. luc ne textes mis en ligne en juin petits rien 4 et 5 (env. 7cm cet univers sans sommaire ► page suivante abstraction voir figuration voir les œufs de si vous entendez le lac bal kanique c’est       à li emperere par sa grant envoi du bulletin de bribes       ç       fleur ++++ il y a, dans mon station 5 : comment je voudrais voir les arbres   (dans le photos de frédéric "ah ! mon doux pays,     double     sur la pente antoine simon 20       assis madame est une sommaire ► page suivante le coeur du nice, le 8 octobre quelque temps plus tard, de les amants se le vieux qui préparation des corps ce texte m’a été pour écouter ce moment de       sur le       dans la       six au labyrinthe des pleursils       la buttati ! guarda  parmi les éditeurs sors de mon territoire. fais sommaire ► page suivante je ne sais pas si       dé   les     l’é haut var ► brec    en 1 au retour au moment page suivante ► page sommaire des contributions marcel alocco a   en grec, morías creuser de la langue, outil si c’est ça, le "patriote", alocco peinture en josué ne malgré ses formules lorsque la langue dérape, le     faisant la 199* passé galerie "sine sommaire ► page suivante le chêne de dodonne (i) 1254 : naissance de on préparait préparer le ciel i  le grand brassage des langues de plomb a la j’ai relu daniel biga, rafale     ton plaisir ses mains aussi étaient pour robert année 2019 ► albert les carnets éclaboussés 2 aller à la bribe suivante textes mis en ligne en août la prédication faite textes mis en ligne en juin non... non... je vous       alla  les éditions de et que dire de la grâce aller à la bribe suivante       parfois aux barrières des octrois a grant dulur tendrai puis page suivante ► page page suivante ► page difficile alliage de il pleut. j’ai vu la bruno mendonça avait son alain remila : un des la parol

Retour à l'accueil

Alain Pruvost m’a demandé à deux reprises de préfacer les expositions qu’il organisait avec le groupe Quartz. Celle-ci date de 1992. Elle s’est tenue au Castel des Arts à Vallauris.
On trouvera la liste des artistes exposants en page 3. Merci aux lecteurs de me signaler mes éventuels oublis.
Le site du Groupe Quartz est accessible en cliquant sur le lien à droite du titre sur le net, en haut à gauche de cette page.


En guise d’avertissement

Cher Alain Pruvost

Je vous livre -et vous dédie- ce texte... Il n’était évidemment pas question pour moi de citer tous les artistes que présente l’exposition. Il n’était pas non plus dans mes intentions de dresser un bilan historique ou une présentation critique de l’ensemble.

Bien sûr les objets -l’objet d’art en particulier- sont habités aujourd’hui, irrémédiablement, par Dada, Duchamp, Breton, le Pop Art, le Nouveau Réalisme, ils disent notre modernité et cette sorte de conscience malheureuse qui la suit... Mais ils s’ancrent aussi dans la profondeur de notre vie quotidienne, de nos faits et gestes les plus anodins, les plus inaperçus ; ils sont portés par une vie bien plus longue, au moins aussi longue que notre histoire ; ils sont aussi porteurs de ce que nous ne pensons pas savoir de nous -et que nous vivons- images de notre quotidien, échos mythiques des temps d’avant l’histoire qui nous disent encore si bien que nous finissons parfois par croire aux archétypes.

J’ai été surtout sensible à un regard, à une pérégrination, c’est à dire à cette démarche de pèlerin que vous faites et que vous faites faire... C’est cette pérégrination là que j’ai voulu traduire dans le texte que je propose aux visiteurs : guide aléatoire, jalons d’un poétique jeu de piste où chacun peut chercher à retrouver les oeuvres, dont il est question et que j’ai décidé de ne jamais citer.

++++

VOIES

pour Alain Pruvost

tu laisses tes pieds aller leur rythme retrouver à chaque foulée la terre rêver de s’y enraciner fraterniser avec les moindres végétaux les vies ténues tes poumons tranquillement se chargent et se déchargent de la douceur des transparences ta tête est si proche des arbres les plus hauts entourée d’air de lumière errant parmi les peuples d’oiseaux c’est le temps de la promenade tu marches sensible aux jeux du vent de l’ombre aux effets de chaleur sur la peau bruits craquements bavardages

tu retrouves ici ta vie les humbles objets de ta vie tu les regardes ils sont à voir choses habituellement utilitaires ou votives tu prends le temps dans le moindre objet de reconnaître le travail dont il est chargé le temps de lui rendre son temps tu sais alors l’antique tradition qui soumet la terre à la main au corps à l’esprit à des savoirs si anciens que dans chaque nouvel objet fait tu rêves d’une permanence du faire

tu sais aussi que souvent nos objets les plus familiers prennent des aspects inattendus que le rêve ou une disposition particulière du corps un étagement inhabituel donnent à un vêtement des proportions dérisoirement monstrueuses que le moindre objet le moindre lieu la moindre parcelle de notre peau peuvent donner lieu à des transformations qui inquiètent ou séduisent selon qu’ils se pétrifient sous le regard des gorgones ou qu’ils s’incarnent comme le firent les ossement pierreux que Pyrrha lançait par dessus son épaule pour repeupler le monde au lendemain de déluges

la rouille prend ici des aspects princiers d’or vieilli ornant des bidons que l’on aurait cru destinés aux décharges publiques des containers s’illustrent éclatants les outils du paysan et du menuisier se changent en chrysalides d’on ne sait quels énormes papillons tu prends le temps de l’insolite tu sais que tu sauras voir parfois autrement les jeux du temps sur les enduits les métaux les céramiques la porcelaine ta peau ton visage

les lieux s’inventent l’espace respire autrement fragments d’ architectures ouvertes sur des villes qui ne furent jamais bâties colonnes de temples virtuels jeux de l’air et du feu bétons cordages ferraillages c’est le fer que tu cherches celui de nos constructions squelette de nos monuments qui part en membres en torses en chevelure structure mise à nue rappel souvent tragique de nos triomphes architecturaux du siècle dernier
l’espace s’éblouit ouvertures entre peinture et sculpture entre mer et ciel entre tout et rien infimes portes de l’immense

tu composes avec la vie des plantes le bois qui se marie à la pierre on l’a vu parfois pousser incompréhensiblement d’un rocher comme nous il garde l’empreinte des caresses des griffures des coups des douleurs autour d’eux il se construit se structure se donne forme tu le sais ses feuilles sèches retrouvent avant de tomber en poussière des teintes de terres des aspects minéraux comme elles nous venons de la terre et nous prenons à la terre à ses pierres à ses plantes les poudres les sucs dont nous teignons peignons notre corps dans de dérisoires postures de légendes traitées comme par dessus la jambe dans de vils matériaux de synthèse ou le caressant si violemment que nous en glaçons la toile la peau le sexe vulve devinée terriblement glacée terriblement offerte et si lointaine

tu le vois même si toute figure est absente il te reste les couleurs leur inexplicable force la toile maculée de puissants jets d’encres de sang de boue de sperme de larmes de pluie l’émotion des violences la force rageuse des pinceaux tu sais qu’il y faut la patience de l’art qui broie ses pigments poussières si éclatantes cendres chatoyantes qu’il lie auxquelles il donne corps dont il cherche à garder l’éclat la fraîcheur mais ils se perdent la lumière ternit dès qu’on veut des doigts la saisir l’arrêter la garder cendres ou poussières alors que l’on retrouve dans cette autre patience du ponçage

tu vas dans le coeur de la terre des éléments de l’air du feu terre enfumée les images nous fuient ou nous les fuyons dans les recouvrement dans la spirale figure des tourbillons des constellations ou du principe chimique de la vie

tu te rappelles enfin cette histoire ambiguë selon laquelle Orphée le poète ne peut conduire son amour à la vie qu’aveugle qu’il pose son regard sur lui il disparaît

++++

Les artistes du groupe Quartz sur la Croisette...

Merci de me signaler d’éventuels oublis ou erreurs

Andaluz Eduardo
Autard Georges
Baey Pierre
Beppo
Boni Paolo
Caminiti Martin
Cantin Jean Louis
Charvolen Max
Collet Roger
Culas-Bonin Odile
Dejonghe Bernard
Dutertre Pierre
Etienne Martin
Farioli Daniel
Finidori Thierry
Gardelle Michel
Gérard Anne
Girel Alain
Groschene Claude
Ibanez Guy
Jeangeorges Stanislas
Josse Pascal
Maccaferri Serge
Melgrani Gilles
Miguel Martin
Tomek Kawiak
Krefeld Rosemarie
Pagès Bernard
Paoli Paola
Pastorelli Louis
Pedinielli Gilbert
Plagnol Serge
Recker Thomas
Ritchie Nigel
Romeda Bruno
Roy Olivier
Rufas Alain
Saliceti Alex
Siffredi Max
Simonet Pascal
Sommerhalter Philippe
Tanagra
Tanner Isabelle
Theunissen Pierre
Thibaudin Monique
Thiry Albert
Torque Jean-Marie
Triger Solange
Thupinier Gérald
Uro Jean-Luc
Vivier Nadin
Varlan Claude
Vernassa Edmond

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Connexions’inscriremot de passe oublié ?

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP