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cette machine entre mes       sur il y a longtemps, toi, mésange à       grappes de l’autre       en un de prime abord, il  pour jean le       mouette diaphane est le       la       que de réponse de michel le phonétisme n’a-t-il pas dernier vers doel i avrat, antoine simon 25 pénétrer dans ce jour,       magnolia    courant 1.- les rêves de il ne sait rien qui ne va pour le prochain basilic, (la  mise en ligne du texte et que vous dire des   pour olivier aller à la bribe suivante page suivante ► voici donc le tissu d’acier mieux valait découper etait-ce le souvenir       bien       nuage apaches : i) dieu doit-il présenter ecrire sur     dans la rue la saisies de frontières tout l’odeur de ce un texte que j’ai ajout de fichiers sons dans sommaire ► page suivante       montagne les éditions de la passe du carles li reis en ad prise sa vous, dont l’âme, le vers stat silva dolorosa nice, le 8 octobre station 7 : as-tu vu judas se     nous avions cent dix remarques i► cent       dans le rare moment de bonheur, page précédente retour         or page d’accueil de raphaël monticelli 30 juin “dans le dessin ouvrir f.a.t.a. i ► le  le grand brassage des       descenda « je définirai la       s’   en grec, morías le grand combat :  le livre, avec pour martin pour accéder au pdf de préparer le ciel i lu le choeur des femmes de printemps breton, printemps les éditions colophonarte  pour de c’est la chair pourtant des quatre archanges que page suivante ► page au rayon des surgelés     chant de pour michèle j’ai relu daniel biga, vers ponctuations il y a quelques livres,       apr&egra beaucoup de merveilles       pass&eac  les premières six de l’espace urbain, textes mis en ligne en mai parcourir les espaces ► cliquer sur le titre pour       mé mult est vassal carles de page d’accueil de abords de l’inaccessible dernier vers aoi pour qui veut se faire une présentation du projet   au milieu de antoine simon 30 aller à la bribe suivante dernier vers aoi page précédente longue pour accéder au texte au quant carles oït la je n’aime pas ce monde. roland barthes : propos     pluie du   j’ai souvent voir les bifaces de b. nous dirons donc face aux bronzes de miodrag passent .x. portes, À propos de fata en le proche et le lointain les dessins de martine orsoni       au au matin du  epître aux nous lirons deux extraits de encore un peu de patience ce qui fascine chez       enfant madame, on ne la voit jamais voir les questions de r. il avait accepté je reviens sur des je rêve aux gorges       vu les l’envers de creuser de la langue, outil pour visionner la jean dubuffet : honneur c’est la peur qui fait page suivante page passet li jurz, la noit est les textes mis en ligne le travail de bernard quand un critique français antoine simon 17 un soir à paris au textes rÉunis sous un titre la deuxième édition du éphémère du 2       dans voudrais je vous vers le sommaire des recueils carcassonne, le 06 sous l’occupation cliquez sur l’icône 1) je n’aime pas les gens ping pong entre miche clere est la noit e la       la       apr&egra       sous       sur les       dans le une autre approche de tout en vérifiant les céramiques et leurs       fleur le chêne de dodonne (i) il souffle sur les collines j’pense à toi bruno cliquer sur l’icône aller vers bribes, livres 1 d’un côté sommaire ► page suivante je ne sais pas si dernier vers aoi       les aller à la bribe suivante marie-hélène ouvrir la série des pages    seule au il faut laisser venir madame       le parcourir les espaces ►       jonathan pour michèle auer et gérard paien sunt morz, alquant hans freibach : cliquetis obscène des à la mémoire de christian je découvre avant toi alocco peinture en le coeur du accéder à l’article       reine page suivante page cyclades, iii° "le renard connaît page suivante ► page ce qui aide à pénétrer le année 2018 ► année 2020 [voir le texte de cummings   tout est toujours en le chêne de dodonne (i) lorsque martine orsoni frères et       l’ cristina m’avait demandé 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abstraction voir figuration le galop du poème me page suivante page deux ajouts ces derniers cher.e.s ami.e.s vous pouvez que d’heures  c’était le texte qui suit est, bien antoine simon 13 à bernadette  dernières mises vous pouvez directement me textes mis en ligne en mars       o pour angelo       au pas la force du corps, pour pierre theunissen la les amants se   encore une les petites fleurs des c’était une ce texte a été rédigé à       pav&eacu le geste de l’ancienne, l’impression la plus       baie et toi figure       si tu es étudiant en petit souvenir rêve, cauchemar, et combien             st page précédente retour tendresse du monde si peu vers la première   jn 2,1-12 : éphémère du 6 octobre la fraîcheur et la gardien de phare à vie, au le 26 août 1887, depuis 1er moins quinze hiver retour au texte page d’accueil de de pa(i)smeisuns en est venuz albertine et encore   dits pur ceste espee ai dulor e textes mis en ligne en clers est li jurz et li pour egidio fiorin des mots 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MICHAËL GLÜCK

cordes tendues le long des murs...
© Michaël Glück
Publication en ligne : 13 novembre 2020
Clefs : poésie , Glück , 2000-2004

vers la deuxième série : À Cadenet

vers la troisième série : de Saint Priest à Montpellier ►

cordes tendues le long des murs
à hauteur de femme
montée de Saint Esprit

d’une fenêtre ouverte
premier étage
tombe le bruit d’un tambour
de machine à laver

rythmes des rues
cris d’enfants
dans l’air flottent
les repas de midi

plus bas
vers le Vieux Port
les mouettes
l’impatience des mouettes

Marseille, le 13/11/02

++++

rues des villes
vigipiraptées

accoutumance
terreur douce

chacun marche
hors les chemins de la pensée

nous sommes
la sépulture
du criminel en nous

nous sommes
soumis

les uniformes sourient

Marseille, le 14/11/02

+++++

café le Suffren
10 h du matin gris
musique brésilienne
par la baie vitrée
forêt des mâts
au premier plan la police
municipale
verbalise
les mouettes au-dessus des étals de poissons
matraque hanche droite
talkie-walkie hanche gauche
café un euro
quatre-vingt centimes
surfez sans compter sur le cable
tramways
vieux chien vieille dame
à pas lents avancent
dans la lumière des warnings

Marseille, le 15/11/02

++++

taxi de la gare de Grenoble à l’hôtel
Belalpes de Seyssinet face à
la caserne des pompiers

j’entre par l’année de la mort de Staline
ma chambre est un nombre premier

le chauffeur m’a parlé de Saône et Loire
des tracteurs qui flottaient dans les champs

dans le train j’ai lu
Rapport de l’arpenteur
suivi de Thabor

ce soir Assia m’a offert
L’aube Isamaël

Seyssinet, le 17/11/02

++++

de l’hôtel au centre commercial
du centre commercial à l’hôtel
de l’hôtel au rendez-vous de travail
du rendez-vous de travail à l’hôtel
de l’hôtel au restaurant
du restaurant à l’hôtel
de la table de travail aux toilettes
des toilettes à la salle de bain
de la salle de bain au lit
du lit au livre
du livre à la lampe de chevet
de la lampe de chevet à la nuit

et les yeux ouverts dans la nuit

Seyssinet, le 21/11/02

++++

j’ai lu
le livre et l’écriture en chantier sur la ville
avec deux écrivains et une compagnie de théâtre
les enseignes du centre commercial
les panneaux routiers
les pictogrammes piéton piste cyclable
libération
l’agenda 2003
résidence d’automne d’Olivier Apert
le billet de train retour Grenoble-Montpellier
les consignes en cas d’incendie
un poème d’Abdelwahab al Bayati
relu ce que j’avais écrit

j’ai écouté la conversation de mes voisins au restaurant
ils ne parlaient que d’argent et de
relations de travail
de l’inhumanité
des relations de travail
de la destruction
dans le travail

dans l’après-midi était venu
le nom de Primo Levi

même lieu, même jour, nuit

++++

voices j’entends en moi la voix
de Cathy Berberian
voices faces
voix et visages

dysharmonies voix et visages souvent
où la fêlure

quoi se brise dans l’être

énigmes
quelles voix
quels visages
me bouleversent

et les corps

Seyssinet, le 22/11/02

++++

enfants endimanchés sur le seuil
la mère parle avec le vieil homme
tête ridée couverte d’un fès
broderies d’une langue
énigmatique

la femme est vêtue à l’occidentale
élégance modeste
sans tapage
robe sombre à motifs floraux
veste chaude
fourrure synthétique
sans vulgarité

elle parle
ses mains accompagnent sa phrase
rythmes lents
danse avec flux et reflux
au milieu de la langue arabe qui chante
cela que j’entends
ce mot
jarretelle

de quoi parle-t-elle au vieil homme

Montpellier le 24/11/02

++++

sous la pluie l’homme attend
la fin de la pluie
la lumière d’un mot

le pas dans la flaque
brouille le reflet

l’adieu des gares

le demie de cinq heures
tombe
sur l’asphalte

taxi pour cinq euro
jusqu’au théâtre

l’écho d’un rire
une abeille dans l’oreille

malgré la pluie

Aix-en-Provence, le 25/11/02

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