BRIBES EN LIGNE
      fourr&ea abu zayd me déplait. pas il y a des titres qui i) dieu doit-il présenter la toile ou, du moins, la  hier, 17 le numéro exceptionnel de     sur la pente villa arson, nice, du 17 quelque temps plus tard, de comme c’est cristina de simone : le bruno mendonça avait son 1. passera-t-on par l’eau "et bien, voilà..." dit dernier vers aoi références : xavier       page d’accueil de À propos de fata en et encore   dits je suis celle qui trompe présentation du projet encore la couleur, mais cette  dernier salut au textes mis en ligne en mai page précédente retour     pourquoi tu on peut croire que martine j’ai relu daniel biga,       le vent c’était une antoine simon 22 seins isabelle boizard 2005 cliquer sur l’icône       vaches ici, les choses les plus aller à la bribe suivante page d’accueil de de soie les draps, de soie j’ai perdu mon "mais qui lit encore le dorothée vint au monde       apparu il ne s’agit pas de cent dix remarques i► cent mouans sartoux. traverse de voir les œufs de       m’    courant à sylvie       apr&egra retour au texte il y a tant de saints sur       sabots       l’ cristina m’avait demandé la route de la soie, à pied, ++++   en prenant acte page suivante page les installations souvent, page d’accueil de       dans en 1958 ben ouvre à       qui   en grec, morías       o aux barrières des octrois aller à la liste des auteurs village de poussière et de exposition et ouvrage de le géographe sait tout j’ai en réserve  dans toutes les rues la fraîcheur et la   né le 7 clers fut li jurz e li dernier vers aoi naviguer dans le bazar de quant carles oït la préparer le ciel i m1       présentation du projet un nouvel espace est ouvert normal 0 21 false fal  pour jean le  hors du corps pas 1254 : naissance de comme un prÉliminaire la antoine simon 10 huit c’est encore à macao grise  les premières sommaire ► page suivante page suivante ► page les terrasses abandonnées deux ajouts ces derniers apaches : aller au texte nous sommes       je fais j’ai donc aller à la liste des auteurs       il toute une faune timide veille       &       sur la normalement, la rubrique jamais si entêtanteeurydice dernier vers aoi  dans le livre, le     sur la rafale fête du livre page suivante ► christ a antoine simon 6 attendre. mot terrible. page suivante ► page morz est rollant, deus en ad « amis rollant, de       les       il aller à la bribe suivante il y a des objets qui ont la vous êtes textes mis en ligne en ++++   sur le papier ecrire, la vie en dépend, la réserve des bribes « l’essentiel est pour andré villa arson d’exposition en en introduction à antoine simon 24 voir aussi boltanski galerie l’homme est derniers vers sun destre il arriva que un homme dans la rue se prend il faut aller voir pour raphaël textes mis en ligne en avril et tout avait accéder à l’article commençons donc par le dernier vers aoi vers le sommaire des recueils alberto arbasino : branches lianes ronces nous dirons donc exposition de la série ma mémoire ne peut me chaque automne les page suivante page madame 1 madame est la des quatre archanges que arbre épanoui au ciel page d’accueil de en ceste tere ad estet ja À alessandra page d’accueil de quand il voit s’ouvrir, pour accéder au texte dessiner les choses banales toute trace fait sens. que agnus dei qui tollis peccata le flot gris roule contre epuisement de la salle, pour alain borer le 26 c’était une très jeune dans la caverne primordiale grande lune pourpre dont les dans le respect du cahier des avant dernier vers aoi et si au premier jour il commençons donc par aller vers bribes, livres 1   ciel !!!! j’aime chez pierre voici quelques années,   ces notes pour michèle gazier 1)       le depuis ce jour, le site Ç’avait été la 5) triptyque marocain page suivante ► page aller au sommaire de pablo chaises, tables, verres, percey priest lake sur les page suivante ► ce pays que quand un critique français pour accéder au pdf, l’odeur de ce ouverture d’une toutes sortes de papiers, sur dernier vers aoi   chercher une sorte de   iv    vers       à ço dist li reis : aller au sommaire des il y a quelques livres, démodocos... Ça a bien un sous l’occupation sommaire ► page suivante attelage ii est une œuvre lorsqu’on connaît une clere est la noit e la cinq madame aux yeux   entrons maintenant je reviens sur des comme une suite de page suivante ► page essai de nécrologie, chers élèves du collège nous lirons deux extraits de       pass&eac le 23 février 1988, il textes mis en ligne en de proche en proche tous jacques kober : les sommaire des pour jean marie       en page suivante ► page antoine simon 27  je ne voulais pas six de l’espace urbain, le travail de bernard il y a bien là, dans     cet arbre que la terre nous page précédente retour quand on arrive de new-york madame, on ne la voit jamais d’abord l’échange des petit matin frais. je te quatrième essai de       s’ préparer le ciel i sommaire ► page suivante merci à marc alpozzo non, björg, s’il  c’était le lourd travail des meules       baie frères et       &nbs art jonction semble enfin equitable un besoin sonnerait page suivante ► page le corps encaisse comme il   si vous souhaitez à yvon quand une fois on a albertine la mastication des rafale n° 9 un depuis le 20 juillet, bribes à claude held patiente la nos voix ce 28 février 2002. et que dire de la grâce éphémère du 2       droite pas une année sans évoquer et que vous dire des page suivante ► r.m. a toi carles li reis en ad prise sa       pour " je suis un écorché vif. dernier vers aoi toutefois je m’estimais       voyage le chêne de dodonne (i) au rayon des surgelés bernar venet - dernier vers aoi il regarde il écoute il pas facile d’ajuster le vue à la villa tamaris ensevelie de silence,  le "musée les céramiques et leurs à yvon « oui, elle réalise des un texte que j’ai vers les voix de l’ange petits rien 4 et 5 (env. 7cm pour accéder au texte, aller à la bribe suivante avec marc, nous avons là-bas, dans le pays des pour accéder au texte, comment entrer dans une   maille 1 : que "nice, nouvel éloge de la mult ben i fierent franceis e alain lestiÉ un art de la dans les rêves de la       sur le avant-dire  “... quelques photos il existe deux saints portant toujours les lettres : des voiles de longs cheveux ouvrir f.a.t.a. i ► le toi, mésange à si elle est belle ? je la poésie, à la       le page suivante ► page et nous n’avons rien   pour théa et ses       nuage page suivante ► page pour pierre theunissen la thème principal :       rampant vers le sommaire des recueils je t’enlace gargouille  dernières mises page suivante ► page laudatu sii, mi signore, les carnets éclaboussés 2 vers la première       les page suivante ► page ils avaient si longtemps, si la tentation du survol, à "le renard connaît vous pouvez directement me carissimo ulisse, torna a dernier vers aoi préparer le ciel i je n’ai pas dit que le pour gilbert ce texte a été rédigé à       journ&ea       parfois madame, vous débusquez dernier vers aoi page d’accueil de à le chêne de dodonne (i) page suivante ► page page d’accueil de quai des chargeurs de       ç un titre : il infuse sa autres litanies du saint nom dans l’innocence des       sur viallat © le château de la liberté de l’être  au travers de toi je qui d’entre nous j’arrivais dans les     surgi       bien l’eau froide de l’anse attention beau difficile alliage de préparer le ciel i à la bonne c’est la chair pourtant tout le problème  il y a le châssis, page suivante ► page vers la deuxième nous serons toujours ces une image surgit traverse le page d’accueil de   au milieu de dernier vers aoi ■ cézanne en peinture le nécessaire non reprise du site avec la       la 10 vers la laisse ccxxxii approche du continent pour maxime godard 1 haute beaucoup de merveilles ping pong entre miche     tout autour cent dix remarques i► cent carmelo arden quin est une bribes en ligne a pour michèle auer et gérard   adagio   je granz fut li colps, li dux en prenez vos casseroles et la parol

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RAPHAEL MONTICELLI

Horizon Plume - Horizon Puits
Publication en ligne : 31 décembre 2015
/ catalogue d’exposition
Artiste(s) : Baviera

Nous serons toujours ces marcheurs
ces errants 
rêvant d’abris
rêvant 
de dormir comme loups en tanière
rêvant de retourner au fond des grottes silencieuses
pour y faire grandir nos rêves
touchant le dehors du bout des doigts
caressant dans l’ombre les ombres du dehors
aspirant la lumière

toujours marchant

Peintre
la toile immobile nous met en mouvement
quelque chose 
quoi
met le regard en mouvement
et qui la regarde 
part
à la poursuite du regard

Nous serons toujours ces marcheurs
vers les horizons plumes

Nous serons toujours ces rêveurs d’improbables
ouvrant du bout des doigts
avec de l’ombre de l’air du sang de l’eau
des brèches de lumière
sur les parois des ombres souterraines

Peintre nous voici chez toi
ce dehors de soleil et pluie 
terre et pierres
et fils d’herbes accrochés aux pierres 
dans la terre
sous le soleil et la pluie
éclairs de nuit trouées nuages
oiseaux chasseurs
guêpes et abeilles frelons moustiques araignées lombrics
et parmi les fleurs
les graminées les herbes sèches de l’été les neiges noires

plus loin
arbres en hordes ordonnées au flanc des collines
procession de marcheurs le long des crêtes
peuples oiseaux
renards daims sangliers animaux furtifs
et ceux plus secrets 
timides
qui se faufilent glissent et se terrent

le grand monde du dehors
un souffle mince agite
des cheveux d’herbe
plus léger que ces murmures
porteurs de mots

Partout des voix
elles tiennent
le discours confus
des mélodies à notes disjointes de feuilles heurtant des feuilles ou sur elles-mêmes dansant
les sifflements

ces voix
courant sous l’eau
allument la mèche des larmes 
et
à mots informulés 
elles nous disent

Nous sommes ces marcheurs

Peintre
nous voici chez toi
l’atelier
ce dedans de toi qui s’évade de toi

tu y as tendu
les pièges de la lumière et de l’eau
ordonné les flacons des essences
tamisé les odeurs et les poudres du monde où se condense le monde
les corps dissociés
matières élémentaires
le miel la cendre et le nid des phénix

Dedans
Ton corps
frontière poreuse
le monde 
sans cesse s’y engouffre
par portes fenêtre bouche yeux oreilles narines
bruits odeurs chants cris
par myriades 
images

Peintre
tu es le lieu de l’ouvrage
attentif aux gouttes de lumière
elles font un grand remue-ménage en toi
attentif à la moindre aspérité des peaux
sur lesquelles la lumière du dehors
et la lumière du dedans
font des jeux d’ombres colorées

et tes couleurs
ont de ces nuances que l’on croit avoir vues
une fois 
peut-être
fugace
jeu du soleil entre deux herbes
entre deux pierres 
peut-être
jamais vues

Tu es l’atelier

Là haut
les galaxies de ton cerveau
et les étoiles filant à travers ton corps jusqu’à ta peau
tes membres
elles donnent forme à tes gestes
forme à tes formes

ligne de faille
courbe d’un vol
espace d’un cri
un chant lointain
se pose creuse
l’horizon puits

Plus haut
c’est le lieu des éclosions des naissances
l’horizon s’y désoriente
les lignes s’y dispersent
les arcs s’y effilochent
tu ébrèches le haut du ciel
troues le vide
pour le combler

des soleils désaltérés
ouvrent des sables en fusion
un ciel d’eau désorienté se souvient de la terre
de sa sueur d’archange en proie au doute
parmi des clameurs d’oiseaux
des fouillis de vagues
et l’odeur de l’iode qui passe sur la peau

Là-haut
dedans est un autre dehors
dehors un autre dedans

c’est l’envol du Phénix
le lieu de l’œuvre

Nous serons toujours ces marcheurs
peuple d’errants 
poussés par les soifs
la faim 
fuyant les haines 
rêvant
rêvant
l’horizon apaisé

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