BRIBES EN LIGNE
      ".. aller à la liste des auteurs textes mis en ligne en juin la poésie, à la antoine simon 12 le vieux qui les ruelles blanches qui commençons donc par  tu vois im font chier la tentation du survol, à le chêne de dodonne (i) présentation du projet raphaël monticelli 30 juin il semble possible denis roche : sauver la vie c’est ne a propos de quatre oeuvres de carissimo ulisse, torna a on cheval     chant de       bâ l’ami michel antoine simon 9 chaises, tables, verres, napolì napolì villa arson d’exposition en pure forme, belle muette, elle dit la main qui fut le page suivante ► page       les madame des forêts de la chaude caresse de       bien josué ne       pourquoi tromper le néant       dans la rafale a-t-il page précédente retour "le renard connaît i voici. "il y aurait eu un aller au sommaire des textes mis en ligne en mai à la bonne       bruyante       sur      & je déambule et suis         cent dix remarques i► cent antoine simon 24 je ne saurais dire avec assez retour au pdf sui generis pour andré villers 1) pour accéder au pdf, à claude held patiente la   d’un coté, page suivante ► page d’abord l’échange des       & dans le monde de cette d’ eurydice ou bien de le grand combat :       le page suivante ► je suis né dernier vers aoi la pureté de la survie. nul la force du corps,       gloussem   voici donc la aller à la bribe suivante       allong&e dans l’innocence des si c’est ça,   la production pour m.b. quand je me heurte un homme dans la rue se prend raphaël monticelli : le "patriote", zacinto dove giacque il mio normalement, la rubrique sous ce titre inspiré de la pas même  ce mois ci : sub et voici maintenant quelques paroles de chaman tu la mort, l’ultime port, quatrième essai de avant propos la peinture est c’est seulement au je n’ai pas dit que le textes mis en ligne en juin antoine simon 3       nuage moi cocon moi momie fuseau page suivante ► page tout le temps est là sièges i mes doigts se sont ouverts       sous la question du récit dernier vers aoi     longtemps sur sommaire des contributions tout en travaillant sur les sauras-tu lui répondre       la deux ce travail vous est page suivante ► page a quelques exceptions près stèle       alla  les trois ensembles       une sainte marie, c’est un peu comme si, torna a sorrento ulisse torna il arriva que cet univers sans   encore une et combien raphaël monticelli 30 juin posté sur facebook sorti de j’aime chez pierre clers fut li jurz e li       bonheur       voyage j’pense à toi bruno écrire comme on se le 28 novembre, mise en ligne retour vers le musicien ouvrir la série des pages aller au texte nous sommes       dans le un besoin de couper comme de   *   libre petites proses sur terre page suivante ► ce pays que une errance de grande lune pourpre dont les page d’accueil de     &nbs vos estes proz e vostre rafale n° 7 un polenta un soir à paris au voir les bifaces de b. je meurs de soif antoine simon 17 tant pis pour eux. petit souvenir madame 1 madame est la le travail de bernard tout mon petit univers en     faisant la il y a longtemps, les carnets éclaboussés 1 leonardo rosa six de l’espace urbain, je me souviens qu’à propos comme un prÉliminaire la     hélas, pour daniel farioli poussant des voiles de longs cheveux dernier vers aoi     double alocco peinture en morz est rollant, deus en ad page suivante ►   les « 8° de à yvon « oui,       s’ quand un critique français dans un clignement de dans les horizons de boue, de textes mis en ligne en mathieu bénézet : mon     vers le soir page suivante ► page rêve, cauchemar, dans la caverne primordiale     pourquoi tu dans le vacarme des couleurs, le 26 août 1887, depuis  dernier salut au       je me la vie est dans la vie. se cette machine entre mes de pa(i)smeisuns en est venuz     ton plaisir etudiant à       sur le je n’aime pas ce monde.     dans la rue la références : xavier il faut laisser venir madame textes mis en ligne en mars aller vers bribes, livres 1     le cygne sur page suivante ► page       sur la une fois entré dans la on dit qu’agathe   entrons maintenant À la loupe, il observa qui d’entre nous le géographe sait tout c’est la chair pourtant antoine simon 23    si tout au long textes mis en ligne en juin chère florence l’évidence "ah ! mon doux pays, quelques photos       chaque des conserves ! sophie calle à beaubourg... seins isabelle boizard 2005 juste un mot pour annoncer       parfois elle réalise des eurydice toujours nue à       maquis  dans toutes les rues pour jacky coville guetteurs c’est une sorte de dernier vers aoi présentation du projet page d’accueil de cent dix remarques i► cent il y a des soirs où le preambule – ut pictura       retourn&       grappes       sur le éphémère du 2 baous et rious je suis dans ce périlleux 1er moins quinze hiver       deux jean dubuffet : honneur de profondes glaouis de mes deux mains al matin, quant primes pert le scribe ne retient en europe enfin, c’est la les mots te viennent que tu marie-hélène le corps encaisse comme il « pouvez-vous dernier vers aoi       au fond le franchissement des petit matin frais. je te vers jean-jacques, peintre pour accéder au texte,   le texte suivant a textes mis en ligne en avril * il te reste à passer depuis ce jour, le site  la lancinante       au  si, du nouveau vers le sommaire des recueils       longtemp les photos et archives       cerisier antoine simon 13 la vie humble chez les       quinze bribes dans le nid de page d’accueil de chers élèves du collège m1       cristina m’avait demandé toutes ces pages de nos ajout de fichiers sons dans au rayon des surgelés pour accéder au pdf, sommaire ► page suivante pour frédéric et que dire de la grâce       pé si grant dol ai que ne préparer le ciel i je t’enfourche ma un texte venu de l’autre pénétrer dans ce jour, sommaire ► page suivante la mort d’un oiseau. able comme capable de donner il avait accepté textes mis en ligne en page précédente retour derniers de proche en proche tous       apparu       vaches  pour le dernier jour sculpter l’air : page suivante ► page abstraction voir figuration nous dirons donc textes mis en ligne en avril bruno mendonça       à       pass&eac  au travers de toi je aller à la liste des auteurs (elle entretenait face aux bronzes de miodrag le dernier recueil de   les       objectif page suivante ► page tendresse du monde si peu ils avaient si longtemps, si et si tu dois apprendre à lorsque la langue dérape, le cristina de simone : le bernard dejonghe... depuis juste un ou aux mots noyés dans     chambre tout le problème ce poème est tiré du au matin du et te voici humanité reprise du site avec la antoine simon 15       soleil aller à la bribe suivante page suivante ► page journée de marché ou souk ou max charvolen, martin miguel       é   est-ce que sommaire ► page suivante de pareïs li seit la j’ai changé le       "       apr&egra       journ&ea « non, peut-être       pass&eac equitable un besoin sonnerait       en d’abord un curieux       ruelle   en grec, morías art et territoire durant roland barthes : propos     [1] l fragilité humaine. a inishmore chaque plante est rafale n° 10 ici   anatomie du m et     le quando me ne so itu pe antoine simon 7 jamais si entêtanteeurydice       force pour écouter ce moment de questions de temps suivi de <p présentation du projet       o aller à la bribe suivante rafale aller à la liste des auteurs epuisement de la salle, dans l’effilé de vous, dont l’âme, le       dans la et…   dits percey priest lake sur les toute une faune timide veille saisies de frontières tout pour visionner la       un       la on préparait aller à la liste des auteurs aller vers le musicien nègre       la la parol

Retour à l'accueil
XLV

Clefs : citations , Josué , langue , lieux

Toutefois je m’estimais parfaitement en droit de présenter des excuses au baron, et surtout à la baronne

 laquelle

- comme je ne vous l’ai peut-être pas encore dit, avait la plus belle paire de cuisses qu’il ait jamais été donné à une main d’homme (d’homme seulement me direz-vous ? Je ne saurais répondre à cette question. Quoiqu’à vrai dire, j’aie mon idée là-dessus : certains parfums, certaines odeurs ne trompent guère) de palper. Il lui restait jusque dans l’intimité (mais peut-on dire que nous étions intimes ? L’intimité n’est hélas pas le fruit naturel de la baise) une sorte de hauteur naïve et même la retenue du frémissement de ses fesses répondait assez à l’idée que je me faisais d’une baronne

  Elle était, à vrai dire encore (car je vous ai promis n’est-ce pas de dire vrai) baronne comme j’étais duc ou prince … Alors ?

Autre forme de la folie de Josué
oui… je suis assez d’accord avec vous. Le livre
oui… je suis d’accord avec vous ce livre
  avec vous j’ai effectivement
  j’ai
oui… je suis
oui, c’est tout-à-fait ce que j’ai ressenti en écri
   qu’en somme
écrire était le nécessaire contrepoint de vivre et je suis heureux que vous l’ayez ressenti quant à vous dire comment j’en suis arrivé à penser mon livre comme pratiquement indistinct du vécu, en faisant partie si vous préférez, je crois que je le dois au vécu qui a été le mien et celui de tant d’autres je
quant à dire
quant à vous dire
pour vous
mais pour répondre à votre question
que j’ai
je crois que
  pense que je fais partie de cette classe d’hommes
  de cette catégorie de
Je crois, pour répondre à votre question, que j’ai abordé la littérature et l’art en général
et plus généralement l’art comme tant d’autres de ma génération, de mon milieu, de ma classe ; si vous préférez toute nouvelle oeuvre lue, toute création comprise, assimilée, l’était à la suite d’une si évidente bataille contre notre ignorance, contre les pesanteurs de notre environnement immédiat, contre le mépris et la superbe de ceux qui savent
Nous n’avons
nous
rien ne nous a été donné, nous n’avons rien perçu de naturel dans notre rapport à l’art, et chacune de nos découvertes était un acquis bouleversant notre quotidien, dans lequel nous trouvions les raisons et les forces et la nécessité de savoir plus et davantage
oui
oui… oui…
Ma vie s’est multipliée au contact des oeuvres d’art.
Ecrire, composer ou peindre n’est pour moi que donner le résultat de la multiplication, mais en même temps c’est parce que j’ai pratiqué la peint
atiqué la littérature que
tiqué la littérature -ou que j’ai essayé de le faire
C’est parce que j’ai cultivé
 (oui cultivé est le mot)
  mot
C’est parce que j’ai cultivé -oui, cultivé est le -
cultivé les contacts les plus survis les plus suivis avec la peinture
recherchés avec la peinture que j’en suis arrivé à me dire que l’art ne pouvait pas se penser en opposition avec la vie que la question n’avait pas de sens
C’est grâce à la pratique de l’art
C’est dans la pratique de l’art que je me suis rendu compte
que pratiquer l’art c’est pratiquer
C’est noter des produits si je puis reprendre l’image de la multiplication.

Non, non… je ne m’explique pas un tel succès, à vrai dire je ne pensais pas qu’un tel livre pût se vendre, qu’il pût même tenter un éditeur. Ça a même été ma première surprise voyez-vous, une réponse positive dès
très vite une réponse positive, un contrat extrêmement séduisant
un contrat séduisant
un contrat qui me permet de consacrer
  de passer plus de temps à mon activité artistique
l’écriture ; oui, oui, vraiment surprenant, mais après tout,
j’expliquais cela
oui vraiment surprenant, mais finalement pas vraiment inexplicable, tandis que le succès auprès de public que
oui
tandis que le succès auprès des lecteurs cela était à l
cela était a
cela était surprenant et inexplicable
Non, non, ce n’est pas du mépris, comment dire, un tel livre
comment dire, un livre de ce genre ne me paraissait pas de nature à pouvoir
ne me paraissait pas
comment dire, un bouquin comme celui-là ne me semblait pas assez séduisant.

Protée… Poisson aveugle des eaux enchaînées des grottes
Coucher de soleil sur les îles dalmates… Impossible photo. Vue chaque fois différente sans doute. Le long de l’année, le long des ciels de l’année, le long des années des siècles.
Vanité de vouloir, comme on dit, saisir l’instant. Quoi ? Comment ? Les rouges diffusent, s’étalent, se transforment, sans à-coups, de la couleur d’un sang qui fuit, à celle des roses qui passent, qui gagne les bleus de la mer et du ciel qu’elle unit tandis que s’assombrissent en des vert-bronze les masses tourmentées d’îles végétales. Et au-dessus de tout des nuages gris-fumée d’incendie parcourent l’espace qui s’éteint.

  AOI

 

©Editions de l'Amourier, tous droits réservés

Réagir à ce texte

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP