BRIBES EN LIGNE
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le page suivante ► page textes mis en ligne en mai neuf j’implore en vain       voyage si tu es étudiant en       é ses mains aussi étaient à yvon « oui, À perte de vue, la houle des la fraîcheur et la   anatomie du m et rafale n° 5 un page suivante ► page textes mis en ligne en août la brume. nuages aller à la bribe suivante lorsque martine orsoni     sur la pente textes mis en ligne en juin au labyrinthe des pleursils on a cru à aller à la bribe suivante les articles mis en ligne en page suivante page       alla 1. il se trouve que je suis effleurer le ciel du bout des  hors du corps pas le 26 août 1887, depuis embrasement du mantra gore des quatre archanges que lire le texte à la bonne si j’avais de son pour le prochain basilic, (la clquez sur j’ai changé le nous serons toujours ces l’une des dernières la strada n° 27, je ne sais pas si dans le monde de cette le recueil de textes l’impression la plus       grimpant       le dans les rêves de la ainsi fut pétrarque dans voir les œufs de ne pas négocier ne "l’art est-il un texte venu de l’autre accoucher baragouiner       mé j’ai ajouté le tissu d’acier  je signerai mon       à pour visionner dernier vers aoi dont les secrets… à quoi j’ai travaillé avant propos la peinture est le lent déferlement       " dernier vers aoi le nécessaire non max charvolen, martin miguel approche d’une coupé le son à les amants se aller à la liste des auteurs  epître aux un jour nous avons revue     les fleurs du madame est une textes mis en ligne en avril antoine simon 19 rafale n° 10 ici sommaire ► page suivante       enfant si grant dol ai que ne outre la poursuite de la mise il semble possible     au couchant ils s’étaient villa arson d’exposition en       la pie       apr&egra inoubliables, les pour frédéric oui la à propos “la et si au premier jour il l’homme est i.- avaler l’art par dernier vers doel i avrat, 19 mars 2022, savigny sur nous dirons donc naviguer dans le bazar de lire chronogaphie (bribe 133 frédéric vedo la luna vedo le ecrire les couleurs du monde       neige là-bas, dans le pays des sculpter l’air :   j’ai souvent dernier vers aoi de l’autre  au mois de mars, 1166 antoine simon 18 encore un peu de patience la toile, d’avatar en et que dire de la grâce antoine simon 20 page précédente ► page cet article est paru sables mes paroles vous       (       baie préparer le ciel i station 5 : comment     oued coulant trois tentatives desesperees bien sûr la antoine simon 14 il souffle sur les collines la danse de régine robin, je suis pour accéder au texte je crie la rue mue douleur       gentil sommaire ► page suivante       " dieu faisait silence, mais clere est la noit e la madame est une torche. elle         sous ces étagements liquides les installations souvent, la mort, l’ultime port,       une       sur le quai des chargeurs de dans le vacarme des couleurs,       bonheur pour julius baltazar 1 le pour m.b. quand je me heurte page suivante ► page pour hélène dubois 1) raphaël monticelli 30 juin je n’aime pas ce monde.    seule au page précédente page dorothée vint au monde « h&eacut l’envers de diaphane est le     faisant la il y a des objets qui ont la alocco peinture en       tourneso cristina de simone : le   si vous souhaitez "et bien, voilà..." dit l’appel tonitruant du a la fin   il ne resta elle réalise des page d’accueil de aller à la bribe suivante textes mis en ligne en autre essai d’un dernier vers aoi n’ayant pas naviguer dans le bazar de j’arrivais dans les gardien de phare à vie, au a supposer que ce monde aller à la bribe suivante en une, une œuvre de mon cher pétrarque,  née à antoine simon 17 page suivante ► page vous dites : "un dernier vers aoi aller à la bribe suivante naviguer dans le bazar de page suivante ► page toute trace fait sens. que    nous attendre. mot terrible. vous êtes  si, du nouveau le dernier recueil de monticelli raphael 510 035 page d’accueil de page suivante ► page   les deux ajouts ces derniers haut var ► brec pour pierre theunissen la sophie calle à beaubourg... ainsi alfred… ce qui fascine chez le temps passe dans la pour michèle auer et le chêne de dodonne (i) village de poussière et de jamais si entêtanteeurydice à yvon quand une fois on a mult ben i fierent franceis e le 23 février 1988, il face aux bronzes de miodrag (À l’église       quand "mais qui lit encore le elle ose à peine page suivante ► page sommaire ► page suivante derniers textes mis en rêve, cauchemar, le scribe ne retient aller à la liste des antoine simon 13 ► les mots du désir à ici, les choses les plus vers le sommaire des recueils raphaël monticelli : tu retour vers le musicien le poiseau de parisi mon page d’accueil de dans le respect du cahier des villa arson, nice, du 17 station 1 : judas j’pense à toi bruno pour accéder au texte, je me souviens qu’à propos merci à marc alpozzo     l’é  il est des objets sur et nous n’avons rien ainsi va le travail de qui avant-dire  “...       fourr&ea dernier vers aoi page suivante ► page 1- nous sommes dehors.     de rigoles en on croit souvent que le but page suivante ► page pour maxime godard 1 haute qui d’entre nous marcel alocco a cliquez sur l’icône la communication est on dit qu’agathe (ô fleur de courge... retour au pdf sui generis pour marcel page d’accueil de j’aime chez pierre dans le patriote du 16 mars   (à       nuage page suivante ► page le coeur du Écoute, bûcheron, arrête l’entreprise dont je me À peine jetés dans le quelques photos vers musica maestro ! recleimet deu mult petit matin frais. je te page suivante ► page siglent a fort e nagent e histoire de signes .       longtem  dernières mises lorsqu’on connaît une   un voir les œufs de antoine simon 30 bien sûr, il y eut  le "musée la route de la soie, à pied, aller à la liste des auteurs ki mult est las, il se dort       le pour sophie, magali et notre but n’est pas de sa langue se cabre devant le     [1] l pour bruno charlotte, in je déambule et suis ce n’est pas aux choses pour accéder au texte, dans l’innocence des       juin c’est la peur qui fait   on n’est       dans aller au sommaire des textes mis en ligne en juin dernier vers aoi   rafale n° 3 des li emperere par sa grant tendresse du monde si peu carissimo ulisse, torna a difficile alliage de paysage de ta abords de l’inaccessible alocco en patchworck © présentation du projet introibo ad altare vers le sommaire des recueils textes mis en ligne en     double eurydice toujours nue à       "j& il était question non madame est toute passet li jurz, la noit est page suivante ► page dernier vers aoi madame déchirée cent dix remarques i► cent dans la caverne primordiale   iv    vers intendo... intendo ! iii sur l’eau a) au grÉ page suivante page les parents, l’ultime voir les questions de r. préparer le ciel i       à la parol

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POESIE : pourquoi ? comment ?
© Nathalie Riera
Publication en ligne : 28 juin 2009
Ecrivain(s) : Riera

Travail de tissage, dans lequel se jouent, en simultané, les apparitions, disparitions, répétitions. Entrecroisement des temps, l’actuel comme l’ancien, qui nous renvoient leurs rayons.
 
Route, rivière. Où l’or peut encore se fondre. Or excite. Or des douceurs. Donner chair à la chaleur. Cheminer, défiler, précéder. Chair du rayonnement, du réel qui ne cesse d’être dévoilement.
 
Poésie quand l’écriture célèbre la dimension, la mensuration, la circulation, la frontière.
 
Poésie dans son action d’une esthétique du réel, d’échapper à toute doléance, dans son action non pas de description mais d’exhalaison, de chuchotement, d’invocation.
 
Un bocal aux poissons rouges, un champ de tournesol… il ne s’agit pas de faire s’enchaîner des plans d’images, mais de quelle manière la poésie est production, au sens où cela implique retrait, révélation.
 
Pas de description, mais du rythme. Poème étincelle. Poème à papillotement.
 
La poésie ne coïncide jamais avec bavardage, elle ne rejoint jamais que le lieu même de ce qui fait son énigme, au sein de son éther.
Aube ouverture : la poésie coïncide avec jouissance.
 
Monochromie de la terre, de la page. Eclairage. Cônes rétiniens.

 

 
 
 
Poésie qui fait tinter aux lèvres des notes en couleur chair et rose, à l’esprit et au corps des coloris de fruits et de fleurs. Adhérer à l’incarnat et au vivant. À l’instable.

 

 
 

 

Le frais des montagnes, le jardin du jour, tout ce qui peut suggérer les larges espaces où la Beauté nous fait avancer. Nous jouir.

 

 
 
Discrétion comme incolore.
 

 

 

 

Des mots dans l’encadrement d’une porte. Chaque jour un livre de poésie. Jour avec ses rocs et ses pics, qu’on aimerait or, air, palpiter avec lui à l’unisson. Elan, enlacement. Chaque jour verdure des mots. Chaque jour la langue que tu ébroues. Claquement.
En permanence dans l’air, par terre, à contre-jour, les mots, aux pas vifs.
 
 
 
 

 

 
 
Air frais sur la mémoire du même bleu que la mer. Chaque jour le large, mâts et cordages. La vie comme une eau qui s’effarouche irisée.
 

 

 

 

Bruit et bruissement de vivre, l’homme de tout son corps, avec tout ce qu’il a oublié et qui désormais lui est devenu secret.
Escapade Escarpement Œil et Terre Corde harmonique Sauter en hauteur

 

 
 
Respirer la joie. Parce que tant de beautés qui dorment en arrière de soi. Parce que toute espérance se trouve dans une poignée de terre, s’accroche à l’arçon de la selle. 
 
 

 

À travers champs dans la variation des herbes. Poésie parmi les lampes et les plantes.
 
Langue ample tremble.
 
 
 
 
 
©Inédit mars 2009
 

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