BRIBES EN LIGNE
 la toile couvre les vers le sommaire des recueils d’ eurydice ou bien de 1er moins quinze hiver préparer le ciel i tes chaussures au bas de       & naviguer dans le bazar de madame chrysalide fileuse comme c’est voir les questions de r. vedo la luna vedo le il tente de déchiffrer,       au       assis oiseau tranquille au vol page suivante ► page page suivante ► ce pays que et que vous dire des page précédente page voir aussi boltanski galerie il aurait voulu être antoine simon 27 le chêne de dodonne (i)       entre       il  tu vois im font chier li emperere s’est la littérature de retour au pdf sui generis (la numérotation des agnus dei qui tollis peccata       neige j’aurai donc vécu sur a la libération, les deuxième essai       journ&ea       un le poiseau de parisi mon  le "musée toutefois je m’estimais       su lou textes mis en ligne en pénétrer dans ce jour, les étourneaux ! un homme dans la rue se prend nu(e), comme son nom face aux bronzes de miodrag c’est vrai les mots te viennent que tu présentation du projet le dit du guide de pour accéder au texte au "pour tes       ton sept (forces cachées qui lors de la fête du livre j’ai perdu mon dernier vers s’il al matin, quant primes pert  les trois ensembles rafale       baie  je signerai mon       soleil page d’accueil de grande digue est dispersée en cet anniversaire, ce qui  au travers de toi je nous lirons deux extraits de sommaire ► page suivante fin première tout est possible pour qui dernier vers aoi       [1] l le 28 novembre, mise en ligne est-ce parce que, petit, on ki mult est las, il se dort page suivante ► page et voici maintenant quelques       pour naviguer dans le bazar de page d’accueil de sommaire ► page suivante comme une suite de alain remila : un des  avec « a la bien sûr la  née à   d’un coté, tu le sais et je le vois    seule au la fraîcheur et la     tout autour   1) cette carles li reis en ad prise sa antoine simon 31 au labyrinthe des pleursils i.- avaler l’art par quando me ne so itu pe       alla « e ! malvais "l’art est-il sophie calle à beaubourg...       sur le que nos princes et empereurs "ces deux là se à raphaël les ruelles blanches qui page suivante ► page 3 

les lieux aussi sont pour robert pour accéder au texte, textes mis en ligne en juin une image surgit traverse le 19 mars 2022, savigny sur textes mis en ligne en mai passent .x. portes, dans l’effilé de textes mis en ligne en quelques photos   se un nouvel espace est ouvert douce est la terre aux yeux se placer sous le signe de       qui page suivante page je me souviens qu’à propos questions de temps suivi de page suivante page madame, c’est notre clxvi deus li otreit (la sue) voir les œufs de présentation du projet on peut croire que martine langues de plomb a la bruits de langues. en rester       fourr&ea janvier 2002 .traverse     les provisions rafale n° 3 des prenez vos casseroles et notre but n’est pas de de la aux barrières des octrois Être appelé par son nom josué ne cent dix remarques i► cent  dernières mises       les que d’heures elle dit la main qui fut le autre petite voix       les       m’ tous ces charlatans qui       dans       ".. patrick joquel vient de a-t-on remarqué à quel     sur la     l’é Éditeur : la diane boomerang b ► livre grand       ruelle  ce mois ci : sub       bien vers le sommaire des recueils       au je t’enlace gargouille et c’était dans encore une citation “tu la mort d’un oiseau. les dernières préparer le ciel i coupé le son à onzième page d’accueil de rimbaud a donc retour au texte de tantes herbes el pre guetter cette chose page d’accueil de toute une faune timide veille dernier vers aoi année 2018 ► année 2020 à sylvie soudain un blanc fauche le si elle est belle ? je au rayon des surgelés diaphane est le page précédente retour       crabe-ta nous avons affaire à de     quand basile introibo ad altare dans l’herbier de ses j’ai relu daniel biga, qu’est-ce qui est en pour andré villers 1) noir d’en bas ► un ce texte m’a été       la l’odeur de ce       dé antoine simon 25 pour accéder au recueil, bernard dejonghe... depuis     son fragilité humaine. 1- ai-je reçu une dans ma gorge deux nouveauté, et te voici humanité pour accéder au texte, le phonétisme n’a-t-il pas autre essai d’un c’était une très jeune 1) notre-dame au mur violet    regardant page suivante ► page au matin du    en vue à la villa tamaris ce mot comme à la hâte       la cent dix remarques i► cent arbre épanoui au ciel il était question non aller à la bribe suivante le vieux qui elle réalise des       l’ alain lestiÉ un art de la       ...mais À l’occasion de je crie la rue mue douleur le proche et le lointain dans les écroulements pour jean marie c’est un peu comme si, il arriva que onze sous les cercles je t’ai admiré,       je fais  la lancinante  pour le dernier jour page suivante ► nous le geste de l’ancienne, voir les œufs de ….omme virginia par la "école de stèle       au bernard noël, un nous de pour hélène dubois 1) "et bien, voilà..." dit ...et la mémoire rêve sixième violette cachée ton on a cru à et toi figure paru en ce mois de juin 2021, aller à la bribe suivante vous, dont l’âme, le il y a des mots, mais comme la toile ou, du moins, la page suivante page la chaude caresse de envoi du bulletin de bribes alain lestié, gravure grande lune pourpre dont les la lecture de sainte       ç dimanche 18 avril 2010 nous c’est extrêmement et que dire de la grâce page d’accueil de a l’écrivain… comme si et ces apaches : kurt schwitters. : charogne sur le seuil ce qui in the country page suivante ► page sommaire ► page suivante oui la dans la caverne primordiale dernier vers aoi avant-dire  “... hommage à rené pour lire les textes de <script     textes mis en ligne en 1- c’est dans aller au sommaire de pablo haut var ► trois petits       dans le le peintre manuel casimiro exode, 16, 1-5 toute       force je reviens sur des neuf j’implore en vain ainsi alfred… a christiane       voyage pour accéder au pdf de À perte de vue, la houle des et tout avait   un nous serons toujours ces       la bel équilibre et sa cliquer sur le titre pour textes mis en ligne en avril avant même de commencer, albertine page d’accueil de merle noir  pour ce il ne s’agit pas de c’est la peur qui fait je suis bien dans cliquer sur l’icône travail de tissage, dans cent dix remarques i► cent granz est li calz, si se constellations et cristina m’avait demandé aller à la liste des auteurs à yvon quand une fois on a             juin antoine simon 29   que signifie page d’accueil de à bernadette c’était une * il te reste à passer page suivante ► page       au cliquez sur l’icône ping pong entre miche le chêne de dodonne (i)       " aller à la liste des auteurs des quatre archanges que les cahiers butor sont   adagio   je       bonheu beaucoup de merveilles antoine simon 9 et encore   dits abstraction voir figuration       ( il existe deux saints portant mis en ligne durant tendresse du monde si peu page suivante ► page à claude held patiente la sous ces étagements liquides    nous ajout de fichiers sons dans effleurer le ciel du bout des page d’accueil de raphaël monticelli 30 juin page suivante ► page       une À propos de fata en antoine simon 12  l’écriture page suivante ► page avant dernier vers aoi Éléments - voile de nuit à la traversé le lieu-dit de la deuxième édition du   un vendredi page suivante ► page     double prologue et puis t’es des conserves ! la mastication des le samedi 26 mars, à 15 il y a tant de saints sur       dans aller à la bribe suivante sculpter l’air : comme ce mur blanc   cinq approches la parol

Retour à l'accueil

MICHEL BUTOR ET RAPHAËL MONTICELLI

L’ARCHIPEL ÉBLOUI 2
Publication en ligne : 26 juillet 2008
Première publication : novembre 1999 / Catalogue musée textes collectifs
Artiste(s) : Rosa L. Ecrivain(s) : Butor (site)

lire la réponse de Michel Butor ►

Raphaël Monticelli

 à Michel Butor



LEONARDO ROSA
L’ARCHIPEL EBLOUI


Mon cher Michel

(...)
Voici donc quelques espèces de questions concernant le travail de Leonardo Rosa, ou plutôt quelques échos du questionnement que cette oeuvre suscite en moi.

Approches d’un territoire
Il paraît que l’éditeur Egidio Fiorin, en voyant les derniers travaux de Leonardo, a imaginé autour d’eux un livre dont vous seriez l’auteur et qui prendrait un peu des allures de carte de géographie... Je trouve cette idée excellente, parce qu’il y a, en effet, dans toute la recherche de Leonardo Rosa, et notamment dans sa dernière période, une approche que je dirais “territoriale” des lieux... Je dis “territoriale” pour signifier qu’il s’agit bien pour l’artiste de délimiter un espace investi d’humanité et dans lequel il se tient (et nous engage à nous tenir) et non pas donc la traditionnelle volonté de restituer, de donner à voir, un paysage devant lequel il se place, et nous place. Ainsi, ces oeuvres qu’il a réalisées à partir de ses séjours dans les cyclades sont un moment où des “signes” se font marques d’un repérage de l’espace, d’une présence et d’une organisation qui fondent l’espace en territoire. C’est de ce point de vue que le rapprochement avec la carte du géographe me paraît pertinent. Il y avait quelque chose de ce type dans la série « Ultima terra » que nous avions faite ensemble, ça l’est encore pour ces « Cyclades » où les « fleurs » perdent leur valeur purement ornementale pour assumer un rôle de repérage, de balisage géographique et de référence historique ou ethnologique.
(...)


++++

Faire oeuvre entre traces et signes
Pour rester sur ces dernières oeuvres des « Cyclades ». Bien d’autres questions qui se posent à moi.

A propos de la série des “Cyclades”
M’interrogent, par exemple, ces glissements qui s’opèrent entre ce que Leonardo Rosa voit et qu’il a proprement répertorié à Donoussa, Stavros ou Amorgos et ce qu’il en fait :

de ce qui est trace au sol, il fait oeuvre au mur
de ce qui est blanc sur fond gris, il fait du bleu sur fond blanc
et le bleu est plein de blanc et le blanc plein de gris
du motif floral il fait des fragments qui ouvrent à d’autres suggestions ; il fragmente le motif et le support, mais quand deux fragments sont rapprochés, on voit bien qu’il ne peuvent pas se joindre tant les déchirures sont différentes.

Autre exemple, toujours à partir de cette dernière période : nous partons bien d’une trace... Intentionnellement faite et non trace fortuite. Mais pas assez codée pour qu’elle fasse signe. Cela me renvoie à deux autres moments du travail de Leonardo Rosa : la série des Tjuringas et le « signe Butor ».

A propos de la série du “signe Michel Butor”
La trace des Cyclades est travaillée comme a été travaillé le signe "Michel Butor", mais avec un tout autre fonctionnement : sur "Michel Butor" on va du signe (de la signature) à la trace. Le signe "Michel Butor" devient dans tel cas comme l’image de la trace d’un geste ou d’un mouvement, dans tel autre, enfoui comme une radicelle dans la pâte de cendre et de tempera, le relief d’une végétation qui fut. Comme une restitution du signe au monde ?
Sur les Cyclades, on va de la trace au signe. Ce qui a été recueilli, et dont on ignore la finalité, la fonction, est intégré à une démarche plastique qui semble poser la question d’une totalité perdue, d’une difficile (impossible ?) reconstruction... Comme une proposition pour construire, malgré tout, du sens.

++++

A propos de Tjuringas
Le travail sur bois flotté, qui donne la série des Tjuringas, est d’abord scrutateur : recherche de formes, d’objets... significatifs ? suggestifs ? La deuxième étape tient dans l’habillage, l’emballage du bois par le papier, si bien que l’on perd la matière d’origine, la qualité particulière du bois flotté, les jeux de l’eau et de l’air sur le bois. L’objet (la curiosité de l’objet) se perd comme tel au profit d’un détail. Telle trace produite par les effets des éléments sur l’objet se trouve mise en relief, magnifiée, dans une sorte de scénographie (de l’) intime. Elle devient repère d’une façon de regarder l’objet (repère d’une contemplation ?), et cette trace que la « nature » a produite sur un objet « naturel » devient comme la trace d’un regard d’homme sur l’objet, sans autre intervention que de recouvrir (panser, protéger, masquer ?). A ce recouvrement au papier d’emballage beige s’ajoutent parfois les bourrages mauves qui marquent une fêlure, une ligne de rupture.
La troisième étape consiste en un deuxième recouvrement : après le papier, c’est l’enduit fait de cendre et de tempera qui, unifiant le premier, donne plus de présence encore à la trace, tout en livrant aux regards la richesse des cendres.
Dans les Tjuringas, il y a ainsi passage de la « trace naturelle » à un objet qui représente le plus intime de l’individu comme le déclare le titre même de la série. Dans les Cyclades, on part d’une trace d’homme(s), et elle se perd peu à peu comme trace pour assumer le statut de signe possible, ou de relique d’un sens perdu.

Ainsi, d’une façon générale, le travail de Leonardo Rosa me paraît se construire dans une sorte de méditation plastique sur l’hésitation entre trace et signe.


++++

Le corps, à l’origine des traces et des signes
Il faudrait que j’ajoute à ça l’importance du corps dans le travail de Leonardo Rosa. Vous vous rappelez ces personnages, silhouettes-menhir, ou stèles, ou gisants, ou encore cette extraordinaire série des mains-sexes, ou ces paysages femmes qui se développent juste après sa période « informelle », dans les années soixante.
Il y a bien dans ce travail, des images de corps, mais il y a aussi présence du corps « œuvrant » et non représenté : celui du peintre travaillant. Me fait donc question le statut du corps dans cette méditation plastique sur l’hésitation entre trace et signe.
Voici bien quelque chose encore qui fait, à mes yeux, la « poésie » du travail de Leonardo Rosa : cette respiration, ce va et vient, ce déplacement toujours possible (cette métaphore) du corps au monde, des formes du corps à celles du monde, du travail du corps à celui du monde... Cette hésitation entre trace et signe renvoie-t-elle à cela ? Les oeuvres de Leonardo Rosa peuvent-elles être perçues comme des lieux où l’on peut s’interroger (méditer) sur les formes de la présence du corps au monde ?

Comme une incursion vers l’origine... avant toute forme.
Ma dernière série d’interrogations porte sur ce qui pousse Leonardo Rosa à oeuvrer ; et, comme bien souvent, il m’a semblé qu’à l’origine de son travail, il y a une réflexion sur l’origine... Voici donc mes deux dernières questions...

++++

A propos de l’archéologie,
Deux mots d’abord sur l’archéologie comme préoccupation artistique. Je vise bien ce discours de/sur l’origine, ou encore ce que l’on peut (se) dire sur ce qui nous origine (comme individus et comme groupes), ou ce en quoi nous pouvons définir le lieu ou nous prenons origine.
Premier point :
Je crois que l’une de mes grandes émotions, dans l’atelier de Leonardo Rosa, fut de découvrir, par un matin blanc d’avril, sur une petite étagère en bois simple, une série de bocaux à confiture contenant toutes sortes de nuances de cendres. Je m’étais déjà convaincu que tout peintre -surtout à l’époque actuelle où les choix sont plus ouverts- lorsqu’il utilise des poudres -notamment quand il les veut “naturelles” (j’avais violemment perçu ça dans l’atelier de Vivien Isnard) joue quelque chose qui est de l’ordre du recueil de la relique, de la récupération des pertes, et de la métaphore de la renaissance. En même temps la poussière renvoie tout autant à la perte qu’à l’origine. C’est le fameux “Rappelle toi que tu es poussière...”.Nous ne retournons à la poussière que parce que nous en venons.
La formule italienne est autre. L’italien dit “Ricordati, fatrello che sei cenere..”.
Le travail de Leonardo Rosa avec et sur la cendre m’avait déjà fait tourner du côté de la mort : l’idée d’un feu qui fut, de feu le feu (pour reprendre une formule que je dois à la démarche de Serge Maccaferri), du “feu mort” selon l’expression portugaise que m’avait enseignée non Manuel Casimiro, mais Sergio Saad. Cela semblait parfaitement s’accorder à ces grands signes sur papier, à ces Tjuringas où venaient se nicher toutes les âmes du monde. Mais sur cette étagère, soudain, je voyais à la fois les cendres des lares et celles d’où nous sommes issus. Double archéologie, donc.
Je ne saurais évidemment énoncer la problématique de l’archéologie sans faire référence au travail d’Henri Maccheroni. Henri Maccheroni, du reste, clarifie tout ça en parlant d’archéologie du signe. Il entre dans la recherche de l’origine par la porte du signe, après quoi il rencontre des matières : celles des supports, et, plus secrètement, celle des matières.
Leonardo Rosa suit, sur le même problème, une démarche inverse, me semble-t-il (en tout cas du point de vue strictement plastique, puisque tous deux, au bout du compte trouvent l’origine dans la langue ). Leonardo Rosa entre dans la recherche de l’origine d’abord par les matières (leur choix, leur qualité, leur traitement), les pigments d’abord, puis les (rares) supports. Après quoi il s’intéresse aux outils (précaires) et en arrive aux traces et aux signes. D’une certaine façon c’est à l’origine des signes qu’il va quand il travaille sur la spirale ou, tout récemment, sur ces motifs floraux des Cyclades.

L’origine, entre forme et informe
Vous voyez que l’entrée matériologique nous approche peu à peu des problématiques informelles. Leonardo est né dans l’informel. Sa grande et première référence plastique est-et demeure- Fautrier. Toute sa période fin 50, courant 60 tourne autour de ça. En même temps, les pièces de ces années-là sont très proches du traitement des années 80-90 à la cendre sur papier.
Je ne pousse pas plus sur l’informel du point de vue historique et sur l’inscription de Leonardo Rosa là-dedans, je voulais poser ces problèmes :
matière... le mot se retrouve dans mère et dans matrice.
Informel. J’en retiens d’abord cette idée scandaleuse : il pourrait exister un objet sans forme -ou du moins dont l’aspect ne pourrait être délimité par aucune forme.
De cette non forme naît, de toutes façons, la forme. C’est étonnant chez le Fautrier des “poissons” ou des “otages”.
Si Leonardo Rosa prend si volontiers origine dans l’informel, c’est peut-être que l’informel pose la question de l’origine, du rapport de l’ordre au chaos, plus que de celui des traces et des signes à la matière.


++++

Dernière question : peu de peintres ont su autant que Leonardo Rosa aller à ce dépouillement extrême au delà duquel on a l’impression qu’il n’est plus rien. J’aime ces démarche parce qu’elles me semblent, se dépouillant, ne retenir de l’art que l’essentiel et être ainsi au plus près de toute fin... ou de toute origine...
(...)
Amitiés
Raphaël Monticelli

De Raphaël Monticelli
à Michel Butor
par fax

Nice, envois du 26 mars au 9 avril1999
(extraits)

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Connexions’inscriremot de passe oublié ?

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP