Madame a des odeurs sauvages que le vent noue. L’écouter est affaire de hure. De soies frémissantes et de boues profondes. Bauges au loin dans les forêts.
Le pebre d’aï, la sauge, le serpollet, la menthe, l’herbe brisée, les pourrissements minuscules, les liquéfactions, les excréments subtils, les amoniacs d’une oronge défaite, Madame, ce sont là vos atours, dans nos forêts familières.