BRIBES EN LIGNE
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preliminaire prenez 3 aller à la bribe suivante toulon, samedi 9       la       le Éditeur : la diane madame 1 madame est la al matin, quant primes pert de l’autre quant carles oït la préparer le ciel i la force du corps, voici l’homme aux deux clers est li jurz et li page suivante ► page pour daniel farioli poussant neuf j’implore en vain c’est seulement au page d’accueil de * il te reste à passer   saint paul trois antoine simon 32 carles respunt : l’attente, le fruit pour anne slacik ecrire est malgré ses formules aller à la bribe suivante les terrasses abandonnées j’aime chez pierre page suivante ► page pour alain borer le 26 très malheureux... page suivante ► page pas facile d’ajuster le       marche       sur le   voici donc la a christiane dernier vers aoi le chêne de dodonne (i) abords de l’inaccessible       vu les alocco peinture en page suivante ► page d’un côté eurydice toujours nue à le peintre manuel casimiro       vaches toi, mésange à  au travers de toi je station 1 : judas       il les éditions de la passe du un verre de vin pour tacher       fleurett alain lestié, gravure j’ai en réserve  ce qui importe pour sites de mes le chêne de dodonne (i) tandis que dans la grande à propos des grands pure forme, belle muette, les cahiers butor sont aller à la bribe suivante textes mis en ligne en août page suivante ► je suis né de toutes les page d’accueil de cent dix remarques i► cent « amis rollant, de pour jean-louis cantin 1.- edmond, sa grande antoine simon 10       dans la   (dans le creuser de la langue, outil       sur les l’odeur de ce   on n’est dans les carnets kurt schwitters. :   *   libre la mort d’un oiseau. mathieu bénézet : mon nous avancions en bas de     m2   on a cru à les textes mis en ligne antoine simon 33 page précédente retour  la toile couvre les   maille 1 : que antoine simon 15       la dieu faisait silence, mais epuisement de la salle, pour visionner aller au texte nous sommes art jonction semble enfin       assis voir document expo boltanski       ç c’est vrai  martin miguel vient     double       un ► les mots du désir à page suivante ► page naviguer dans le bazar de 1- c’est dans     rien a-t-il exposition de la série rafale n° 10 ici       à pour accéder au pdf,  de même que les nous dirons donc le dernier recueil de je lui ajoute trois petits villa arson, nice, du 17 il regarde il écoute il pour raphaël       qui janvier 2002 .traverse il faut aller voir madame des forêts de ouverture de l’espace page précédente retour à page suivante ► page     [1] l je suis maintenant il connaît le antoine simon 13  pour de sous ce titre inspiré de la l’évidence l’eau froide de l’anse pour rico roberto   ce la terre nous       descenda       vu les (de)lecta lucta   sommaire ► page suivante un besoin de couper comme de laudatu sii, mi signore,       la immense est le théâtre et   (à  pour jean le <p présentation du projet une image surgit traverse le cristina de simone : le cent dix remarques i► cent issent de mer, venent as portrait. 1255 : sommaire des contributions quand un critique français   cinq approches cet univers sans quelques autres village de poussière et de la parol

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Transfert et transfiguration
Publication en ligne : 17 juillet 2008
Première publication : 5 novembre 2004 / le Patriote
Artiste(s) : Charvolen (site) , (site)

 Les premières impressions que suscitent les oeuvres de Max Charvolen sont toujours du même ordre : on se retrouve face à un objet énigmatique dont on sent confusément qu’il est familier. Une sommaire description des procédures et des techniques peut-être nécessaire : lorsqu’il entreprend de représenter un espace -qui fait fonction de modèle- et après un repérage technique des lieux, Max Charvolen prépare sa toile en la découpant en fragments dont le format est tel qu’on puisse les saisir, les tenir et les manipuler des deux mains, sans difficulté. Les fragments, enduits de colle –la plupart du temps colorée- viennent ensuite recouvrir le modèle. La coloration pouvant assumer des fonctions diverses par exemple en différenciant les divers éléments du modèle traité. Le modèle reste alors en l’état, au moins le temps du séchage. Cette phase peut durer des années. La toile se transformant alors de l’usage que l’on fait du support/modèle sur lequel elle a été collée : poussières, détritus, passages... Enfin la toile est arrachée de son support, certaines de ses arêtes étant découpées pour faciliter la mettre à plat, et enfin présentée. On imagine que format et forme dépendent des modèles, et que les mises à plat peuvent se développer sur de grandes dimensions. Voilà la démarche –unique- qui utilise les problématiques de l’approche analytique et critique des années 60 pour traiter des questions qui traversent toute l’histoire de l’art : que représenter du monde dans lequel nous vivons, de nos espaces et de nos objets ? Comment le représenter ? Dans quels lieux et dans quels contextes ? Comment passer des trois dimensions de l’espace physique, aux deux dimensions de l’espace plastique ? Comment justifier les formats que nous employons et les formes que nous leur donnons ? Comment rendre compte du monde, par la peinture ? Comment le penser ? Comment donner sens et raison à notre approche sensible du monde ? Peut-on remotiver –rendre sens- au symbole en le reconstruisant / reconstituant sur ce qu’il symbolise d’abord : l’espace physique dans lequel nous évoluons ? La dernière série, présentée à Nice puis à Ivry, est dite des « sondes »... Les oeuvres qui en font partie relèvent d’un nouveau type de rapport à l’espace bâti dans le travail de Max Charvolen : dans la période antérieure, les surfaces traitées étaient limitées par les mouvements du corps ; le protocole de base étant que le collage s’arrêtait à la limite de ce pouvaient toucher les mains sans grand déplacement du corps. Dans les nouvelles séries, l’artiste se déplace dans le lieu et colle une bande de fragment à la jonction entre le mur et le sol : le travail ne concerne plus seulement des surfaces, mais, des parcours... La bande collée va ainsi « sonder » l’espace environnant... Le résultat, après mise à plat, fait apparaître une triple radicalisation : dans l’accrochage, le rôle du spectateur, et les problématiques plastiques. Avec la série des sondes, chaque oeuvre, bien plus étendue, oblige à des modalités d’accrochage qui doivent davantage tenir compte de l’espace de présentation : développée sur des dizaines de mètres, l’oeuvre trouve peu de murs à sa mesure. Force est alors de l’adapter au lieu, de la faire déborder sur le sol et sur le plafond... Pour tout espace où elle est présentée, elle est alors forcément autre. Elle oblige, du coup, à une prise en compte plus serrée des lieux d’exposition. Ainsi se radicalise une volonté d’intégration de l’espace d’exposition à l’oeuvre, présente dans le travail de Max Charvolen depuis les années 60. Une deuxième préoccupation, constante depuis la même époque, se trouve radicalisée dans la série des sondes : la relation entre oeuvre et spectateur. Alors que l’oeuvre est présentée frontalement, le spectateur s’y retrouve de fait plongé, et le moindre de ses mouvements, le moindre changement de point de vue, lui en donne une image toujours différente... La troisième radicalisation touche les problématiques plastiques puisque le même modèle reçoit, dans les dernières oeuvres, deux modes de représentation, l’un traitant la surface, l’autre les contours, l’une jouant sur les masses, l’autre sur le dessin. Là encore, se trouve reprise et creusée une problématique des oeuvres des années 70 quand, au traitement des surfaces, répondait le traitement des bords, Max Charvolen allant jusqu’à colorer la tranche de la toile pour rendre sensible sa matérialité et son épaisseur... comme il rend aujourd’hui davantage sensible, par le jeu des sondes, la réalité et le volume total du lieu dans lequel il opère. Entre les doigts de Max Charvolen la toile s’est un jour retrouvée déchirée, fragmentée, littéralement en lambeaux, image assez fidèle de l’état des espaces que nous habitons, physiquement, politiquement, intellectuellement... Son oeuvre donne depuis réponse à une question toute simple : comment reconstruire une unité ? Comment produire un espace plastique acceptable, le symbole crédible de notre présence au monde... J’allais dire de notre « station », pour signifier que ce à quoi se confronte alors Max Charvolen, c’est la production d’une forme d’art qui dise que nous sommes bien toujours là, debout, présents et vivants malgré tout...

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