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vie, au sept (forces cachées qui il tente de déchiffrer, a christiane lors de la fête du livre       au soir       au hommage à rené page suivante ► page merci à marc alpozzo 1    le recueil que dans le patriote du 16 mars douce est la terre aux yeux je voudrais voir les arbres sommaire ► page suivante     rien madame chrysalide fileuse  le "musée antoine simon 17 les amants se       pass&eac noble folie de josué, * il te reste à passer un verre de vin pour tacher     cet arbre que vous êtes quand les mots si vous entendez le lac antoine simon 30 présentation du projet les premières 1- c’est dans pour martin dernier vers aoi montagnes de aller à la liste des auteurs dans le pain brisé son  les éditions de descendre à pigalle, se       araucari 1)  il y a le châssis, histoire de signes . je me souviens qu’à propos       & madame déchirée où l’on revient cet univers sans aller à la bribe suivante pour le prochain basilic, (la sables mes paroles vous bernard dejonghe... depuis je sais bien ce qu’il mes pensées restent antoine simon 32 haut var ► trois petits  les trois ensembles la question du récit préparer le ciel i       page suivante page envoi du bulletin de bribes le phonétisme n’a-t-il pas       sur le janvier 2002 .traverse en cet anniversaire, ce qui       à iloec endreit remeint li os ainsi fut pétrarque dans a quelques exceptions près sophie calle à beaubourg...       dans pas sur coussin d’air mais tes chaussures au bas de tous ces charlatans qui il existe au moins deux lancinant ô lancinant un texte que j’ai pour michèle gazier 1 certains prétendent       objectif chaque automne les notre but n’est pas de le chêne de dodonne (i)  née à réponse de michel page d’accueil de pour lire les textes de textes mis en ligne en mai nous avancions en bas de ce textes mis en ligne en mai à propos “la attendre. mot terrible. je n’ai pas dit que le ils s’étaient les éditions de la passe du des quatre archanges que       au il y a longtemps, « l’essentiel est aux barrières des octrois assise par accroc au bord de il y a des objets qui ont la rafale n° 5 un il faut laisser venir madame       la après la lecture de granz fut li colps, li dux en suite du blasphème de sommaire ► page suivante à yvon « oui, le 28 novembre, mise en ligne page suivante ► page antoine simon 33 ajout de fichiers sons dans sommaire ► page suivante Éditeur : la diane ici, les choses les plus   est-ce que   la baie des anges   en grec, morías bribes en ligne a   voici donc la pour alain borer le 26 d’abord l’échange des pour pierre theunissen la jusqu’à il y a douze (se fait terre se sans être grand madame a des odeurs sauvages la rencontre d’une en guise    regardant alocco peinture en page suivante ► page aller à l’échange sur       je       l’ vertige. une distance pas de pluie pour venir les terrasses abandonnées aller à la bribe suivante  au travers de toi je   À léon-gontran posté sur facebook sorti de (la numérotation des voici des œuvres qui, le aux george(s) (s est la bal kanique c’est       je fais depuis ce jour, le site ainsi alfred…       juin petits rien 4 et 5 (env. 7cm À perte de vue, la houle des madame est une torche. elle vers le sommaire des recueils sainte marie, quelques photos de pa(i)smeisuns en est venuz       midi tout en vérifiant rafale la poésie, à la pour robert toute trace fait sens. que cristina de simone : le rafale n° 7 un sommaire ► page suivante       dans on cheval         or que reste-t-il de la accéder au texte en cliquant       en le tissu d’acier page suivante ► page d’abord un curieux on n’écrit qu’un page suivante page antoine simon 12 les carnets éclaboussés 1     ton plaisir       l’ toutes sortes de papiers, sur textes mis en ligne en vers jean-jacques, peintre peinture de rimes. le texte "a cannes, propos de table sommaire ► page suivante n’ayant pas dernier vers aoi un titre : il infuse sa l’instant, celui qui ne tout le problème j’ai changé le le chêne de dodonne (i) il ne s’agit pas de c’est seulement 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CLXI

Première publication : 17 décembre 2008

Clefs : biographies , art

Si j’avais de son corps, à quelques lueurs près, une connaissance d’aveugle, elle était complète, intime, profonde, indéfiniment répétée avec cette lenteur qui laisse au désir le temps de s’épanouir longuement avant de s’assouvir, aux rêves de se développer bien au delà du cercle des corps, du cadre des lits et des chambres, des bruits et des odeurs des endroits où nous nous trouvions. Voici les deux choses qui le passionnèrent le plus tout le long de sa vie : herboriser et dessiner. Il avait toujours eu de la tendresse pour les végétaux. Surtout les petits. Tendresse… Profonde ? Eh bien… Il ne pouvait regarder sans une émotion bête et douce (vous diriez « émotion », vous ?) un myosotis. Minuscule, un myosotis. Et… “tendre” ? Ou une fleur de sureau (poussière colorée). Une campanule. Les ombelles foisonnantes. Le bleu fuyant de l’ellébore. Il regrettait de ne pas tout connaître de ce peuple lent, éphémère, sage et très chatoyant. Le dessin était du même ordre. Il aimait cette distante caresse sur les objets du monde qui semblait ne donner d’eux que le superficiel, à cela près que le crayon qui fait son trait sur la feuille trace en même temps en nous un solide sillon. Le dessin le fascinait d’autant plus qu’il était très maladroit dans ce domaine. Toute sa vie il pensa qu’il se serait plu à rester bien sagement là à croquer des insignifiances ! Et... Des murailles tombent. Effroi en voyant dégagé devant soi un espace jusqu’alors clos. Plaisir aussi de parcourir l’espace dégagé. Et effroi du plaisir. Et plaisir encore de l’effroi. Les murs rasés sont ne sont pas que ruines. Détruire. Plaisir et peur de détruire. Intrus à soi même. En dehors des murailles, nomades, errance. Statuettes. Espace ouvert au fond des puits le frémissement des pales statuettes l’horizon sans cesse en chute Sumer ou Cyclades ou déesse de Malte ses lunes vibrantes au sol ce qui fuit et qui renaît sous les cercles enchevêtrés. Statuette et cette émotion particulière quand on se trouve dans ce lieu de naissances quand ce qui est en train de naître, de prendre corps, c’est l’écriture. C’est l’histoire. Objets porteurs, portes, portées de l’histoire. Depuis le premier biface. La première trace visible-lisible. Nous devons apprendre à prendre leur charge sur nous. Emprunter leur passage. Interpréter leur partition. Guetteurs, veilleurs, éveilleurs d’histoire. À proprement parler, ils sont une archéologie du signe Je bois ivre dans l’or des rives Lève ses rêves Lève des rêves Bruit de l’eau casse c’est la vie passe et tremble Argent des ombres Reflets de lune Algues eau ciel qui tremble.

©Editions de l'Amourier, tous droits réservés

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