Des conserves ! Toujours des conserves !
hurlait-il
il hurlait : Des conserves ! Toujours des conserves !
La conserve, si quelque aimable lecteur, auditeur, spectateur ou (Oh ! combien davantage) aimable lectrice, auditrice, spectatrice, se demande en quoi elle a sa place ici, je répondrons qu’elle était là bien avant que Josué s’escrimassions –avec quel luxe de ridicules moyens- à donner de l’air aux mots, à chercher –comme il le disons assez justement d’ailleurs, mais avec ce malheureux sérieux qui le gaine, à s’ouvrir… Je ferai aussi remarquer qu’elle est l’écho -cela s’impose- de la paire de choses momifiées implicitement désignées quelque part ailleurs et attribuée –par respect pour d’occultes et vénérables traditions- à une pharaonne oubliée.