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"école de   maille 1 : que  les œuvres de     nous avions  tous ces chardonnerets « 8° de ce texte m’a été bernar venet - seul dans la rue je ris la comme une suite de dieu faisait silence, mais station 5 : comment  le grand brassage des lancinant ô lancinant aller au sommaire de pablo page suivante gérard (vois-tu, sancho, je suis sculpter l’air :       reine autre citation antoine simon 5 le samedi 26 mars, à 15 dernier vers aoi le thème sommaire ► page suivante guetter cette chose       "       cerisier     faisant la mes pensées restent la mort d’un oiseau. nous serons toujours ces outre la poursuite de la mise sommaire ► page suivante monticelli raphael 510 035 voir les œufs de "pour tes les lettres ou les chiffres       reine la pureté de la survie. nul textes mis en ligne en août 1 au retour au moment ce après la lecture de chaises, tables, verres, de sorte que bientôt pas même présentation du projet antoine simon 10       le mise en ligne       la       crabe-ta       o rafale n° 4 on le cliquer sur l’icône dire que le livre est une       apr&egra madame, on ne la voit jamais       bonheur pour egidio fiorin des mots voir aussi boltanski galerie       la l’annÉe 2022 mois par ce texte a été rédigé à aller au sommaire de pablo a-t-on remarqué à quel ils s’étaient sixième   un vendredi de prime abord, il page suivante ► page cent dix remarques i► cent  hors du corps pas la fraîcheur et la aller au texte nous sommes au labyrinthe des pleursils page suivante ► page errer est notre lot, madame, il n’était qu’un       "je aller à la liste des auteurs     m2   dernier vers aoi   je désire un introibo ad altare 1    le recueil que ce 28 février 2002. la vie est dans la vie. se est-ce parce que, petit, on tu le sais bien. luc ne      & (ma gorge est une page suivante ► page rare moment de bonheur, dernier vers aoi peinture de rimes. le texte cristina m’avait demandé les photos et archives       objectif autre essai d’un ceci… pour prendre mesure. pur ceste espee ai dulor e textes mis en ligne en mai À l’occasion de       en un le phonétisme n’a-t-il pas       pav&eacu zacinto dove giacque il mio à propos des grands m1          tu sais la difficile question des c’est seulement au la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Mormorii
Publication en ligne : 19 avril
Artiste(s) : Charvolen (site) , (site) , Maccaferri , Miguel

Ce texte a servi de préface à une exposition de 1983.
Charvolen, Maccaferri, Miguel et moi avions monté ça dans la galerie associative Lieu 5, située à Nice, au 5ème étage du 5 de la rue Pairolière.
Cette exposition avait été élaborée dans le cadre des "Écritures dans la peinture", organisée par la Villa Arson, alors sous la direction d’Henri Maccheroni et l’accompagnement actif de Michel Butor.
L’exposition centrale se tenait à la Villa Arson et regroupait une centaine d’artistes proposés par une dizaine de critiques.
Henri Maccheroni avait, par ailleurs, proposé à des galeries et lieux d’exposition de participer à cet événement en le prolongeant "hors les murs". De nombreux espaces d’art avaient répondu à la proposition, dont la galerie Lieu 5.


Effrayante humilité de ces actes indus : écrire, peindre… soumettre son esprit et son corps au support vierge et se plier aux moyens de le transformer de lieu du génie possible en espace de l’humain, du vivant, du mortel, du fini. En quoi prend corps peut-être notre fascination du palimpseste, de la rature, de l’écrit en marge ou en frange, de la surcharge, de la surimpression, des couleurs délavées, des peintures usées, des éclats du bois, des trames retrouvées…

Peut-être après tout faut-il que nos rêves meurent là pour qu’un « je » leur survive… Domatore ! Inscriptions dompteuses de songes ! En quoi ces espaces délavés, bribes, fragments, que le temps, les éléments, les hommes ont malmenés, nous sont doublement sensibles ou se chargent de deux fois plus de rêves, car il sont morts deux fois et, deux fois morts, toujours pourtant en nous suscitent la vie des rêves. Non ! Pas toujours… Encore ! C’est ainsi que se forme l’image première du Phénix : la parole naît une fois, deux fois écriture, trois fois bribes ; et trois fois l’esprit y est mort. Tout texte qui vient après un autre passe à nouveau l’Achéron…

En quoi la voix, le texte, de Sappho, chargés d’ infiniment plus d’ air qu’elle n’avait pensé y mettre, nous sont plus que fascinants : fondateurs.

En quoi la terre –je veux parler de celle que l’on cultive (aussi bien celle du géographe ou du géologue que celle de l’agriculteur–et le voyage est encore image de l’agriculture où le corps entier se fait soc, et les yeux semeurs de plantes vivaces aux ramifications séculaires…) en tout cas au moins la terre de l’agriculture est à la semblance du palimpseste : tout ce travail (perdu ?) dont on la sait chargée ; elle d’année en année, de saison en saison, lieu fixe –jamais vierge et toujours renaissant – réécrit ou toujours accueillant toute réinscription. La rature ne se voit que dans les positions chaque fois nouvelles de carrés de plants différents…

En quoi nos habitats, raturant et rappelant la terre, poussant de nos corps et de nos têtes, chargés de nos voix, de nos gestes auxquels il donnent mesure et dont ils prennent forme, murmurent…

Amarcord…

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