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THIERRY RENARD

Remplir ce vide
© Thierry Renard
Publication en ligne : 16 avril

à Raphaël Monticelli

« Le sentiment du tragique qui court à travers notre littérature ne date pas d’hier. Il a couru à travers toutes les littératures depuis qu’il en existe. Mais c’est vrai que la situation historique lui donne aujourd’hui son acuité. C’est que la situation historique suppose aujourd’hui la société universelle. Demain Hegel recevra sa confirmation ou le démenti le plus sanglant qu’on puisse imaginer. »

Albert Camus, Actuelles, chroniques 1944-1948

*

Je suis né sans la foi, sans aucune couleur aux joues. Issu, indiscutablement, d’une famille athée des deux côtés, même si du côté italien de la force, et ce n’est pas du tout un cliché, quelques superstitions chrétiennes ont pu traverser les siècles et subsister jusqu’à ce jour.
Je suis né athée, et alors ? Peut-être ai-je, tout bonnement, souhaité me sentir libre dès les commencements de l’existence.
Finalement, j’ai grandi dans l’ignorance des croyances, et je ne m’en suis pas pour autant mal porté. Certains disent, même, au contraire.

Ensuite, il y a eu le réconfort apporté par les livres, voire la fièvre des lectures. Il y a eu la découverte des poètes et des penseurs révolutionnaires, des esprits les plus libres. Karl Marx, en particulier. Dans sa Critique de la philosophie du droit de Hegel, il a notamment écrit que la religion permet de justifier les inégalités sociales. Elle permet au prolétariat de mieux les supporter. Elle laisse le peuple dans l’illusion que sa condition n’est pas si terrible. Elle lui donne des exemples des bienfaits de la souffrance. Elle permet, enfin, de surmonter les conditions d’une vie privée d’intelligence et d’imagination.
La religion conforte le pauvre dans sa pauvreté, elle bloque le passage à l’action. Ainsi, Marx dénonce l’effet anesthésiant de la religion comme force de l’aliénation. Chez les opprimés, la nécessité de la religion serait la conséquence de l’oppression elle-même : « La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple. »
Marx pense, en effet, que la racine de la croyance religieuse se trouve dans les conditions de vie misérables de la plus grande partie de la population.

C’est moi, et c’est la nuit. Pas d’image et pas de poème, rien qu’un signe destiné aux amis, aux proches… Un signe de nuit, dans l’obscurité de la nuit, mais déjà, un peu, un tout petit peu, installé dans la lumière des jours à venir.
La vraie vie nous traverse, partout, tout le temps.
La vraie vie n’est plus ailleurs.

Alors, affrontons tous les tourments même les plus vains. Affrontons la réalité en face. Face à face. Face contre face. Brûler n’est pas répondre, a dit à peu près ceci, en son temps, Camille Desmoulins.
Alors on essaie de répondre, on fait ce qu’on peut. On fait ce qu’on dit. On essaie de ne pas sombrer dans la nuit du langage. On fait bonne figure. On refait surface, régulièrement.

Parfois les mots mentent, parfois les mots manquent. D’autres fois, les mots sont là pour nous permettre de réagir. De rebondir. Il y a des mots, des verbes aussi. Aimer. Fraterniser. Tendre (le bras, la main, vers l’autre). Ouvrir (son cœur – à l’autre). Partir. Grandir. Vivre. Vivre encore. Exister, surtout.
Cette nuit, je vois les amis venir à ma rencontre, jusqu’à moi. Je les vois dans mon rêve ordinaire.
Ne cédons pas au marasme, au chaos. Essayons de garder les yeux grands ouverts. Essayons, par-delà les murs du silence, de redonner à la langue toute sa noblesse.
C’est moi, et c’est la nuit. La vie, la vraie vie, tout le temps nous traverse. Elle n’est plus ailleurs, je le confirme. Elle est ici.

Qu’est-ce qu’une journée bien remplie ? C’est un jour où l’on a accompli sa mission, du début jusqu’à la fin. C’est maintenant. C’est tout à l’heure. C’est le présent déjà dans le futur. Hier, longue traversée du jour. Déjeuner en partage. Plusieurs temps de rencontres et de lectures. Des échanges nécessaires. Des courriers. Enfin, l’atelier d’écriture du soir, à la « maison », avec Christophe et les fidèles compagnons de route.
Le repos du guerrier n’est venu que plus tard, vers la nuit triomphante. Sommeil lourd, réparateur.
L’aube ensuite s’est levée sans faire grand bruit. Petit déjeuner du matin. Un autre jour a commencé.

Lire et relire, encore et toujours. Poèmes ou proses. Vers libres et essais. Je suis comme je suis. Sans doute un esprit destructeur pour les uns et, pour les autres, sûrement un esprit naïf et désinvolte. Sans doute, aussi, un égoïste, car je suis transporté dans une aventure bien plus grande que moi. Que nous. Je suis, voilà tout.
Je suis un navire qui a quitté le quai et qui maintenant navigue sur des flots tumultueux. J’ai, à ce propos, souvent parlé de mission (le mot a mal vieilli, et n’est plus tellement à la mode).
Aventure ou mission, j’assume !

Lire et relire. Toujours. J’entends le cri des injustices, je vois la misère sociale. Frappé de plein fouet. Mais j’en appelle cependant au réalisme. Ni radicalité dangereuse. Ni inertie, ni faiblesse. Ni la pleine lumière du jour. Ni la sombre obscurité de la nuit. Mais l’aube, le réveil lucide, la bonne mesure et, en même temps, la folle allure.
Communiste et libertaire, démocrate et républicain. Un ringard, en somme. Dépassé. Décalé. Et bientôt recalé. Mais, pourtant, j’avance, et je recule rarement.
Il est déjà presque minuit. Je suis comme je suis, c’est un fait. Et malgré les incertitudes et les fatigues de la route empruntée, malgré toutes les difficultés de ces temps, je reste fidèle à quelques principes, fidèle, assurément, et très fortement déterminé.

Je suis né sans la foi et, avec les années, j’ai fini par rencontrer une certaine forme de spiritualité, en partie grâce à deux de mes proches, mon maître, Charles Juliet, et mon fidèle ami, Yvon Le Men. Le premier est un agnostique plein de sagesse, et le second un chrétien éclairé. Ils m’ont enseigné, tous les deux, le respect de l’autre et de ses croyances. Ils m’ont aidé, chacun avec ses mots, à développer ma quête du sens. Ils m’ont aussi, et surtout, appris la tolérance.
J’ai des amis croyants, je les respecte et je les comprends. Je n’ai jamais été un anticlérical acharné. J’ai des amis chez qui la foi est soit naturelle soit tourmentée. Le problème n’est pas là. Et, parmi les propos que je développe ici, si je mêle les émotions je ne les confonds pas. Je les mélange seulement pour les besoins de la cause.

Ce qui me préoccupe aujourd’hui, voire ce qui m’obsède, ce sont les assauts répétés des forces du mal qui se cachent derrière le voile du religieux. On peut le dire, je crois, sans courir le risque de se tromper, depuis le 11 septembre 2001 le monde a terriblement changé. Nous assistons, quelquefois impuissants, à de nouvelles guerres de religion.
On se souvient des attentats de l’année 2015, des sanglants conflits, en Syrie, en Afghanistan ou ailleurs, de la récente guerre, encore inachevée, en Ukraine. On se souvient de tous les malheurs du monde, des intolérances aveugles, des violentes attaques contre la liberté d’expression, des atteintes portées à la démocratie même.
Il y a les religions et il y a, aussi, le repli communautaire, qui en découle. Il y a les populismes et les autoritarismes de toutes sortes. Un affrontement, encore, Orient-Occident. Les chemins de la paix et de la justice sociale ne sont pas les plus faciles d’accès. Les libérer exige du courage. Et – arguments à l’appui – un grand nombre d’efforts et d’énergie.

Ce qui se passe au niveau mondial rend nerveux, fatalement. Les pluies noires de la consommation, de la pollution et de la corruption tombent forcément sur les toits ou sur le sol de nos banlieues. L’ascenseur social en panne, les inégalités grandissantes, le recul des rêves et des utopies, la haine de la République, le repli sur soi, la fin des mariages mixtes ou de l’union libre, l’envie, la jalousie, tout un tas de choses malsaines qui empêchent l’épanouissement et freinent les avancées souhaitées…
On voudrait vivre mieux, autrement. Alors on choisit le ciel, pour l’autre vie, meilleure. Ou les facilités du deal plutôt que les fièvres de l’idéal.

J’ai presque toujours vécu à la périphérie d’une grande cité. J’aime le peuple, son odeur et ses bassesses. J’apprécie aussi son humour et ses élans quelquefois généreux. J’en suis moi-même en partie issu de ce petit peuple que Karl Marx, encore lui, appelait le lumpenprolétariat.
Chez moi, certes, c’était le niveau juste un peu au-dessus. On savait lire et écrire. On avait appris à résister. Et, surtout, à penser librement.

Pour ma part, je me suis construit dans le goût du travail, et du travail bien fait : poète, comédien, animateur de revues et d’ateliers d’écriture, éditeur et, enfin, agitateur d’idées et d’émotions. Je n’ai jamais redouté le travail, c’est un élément vital, constitutif de l’existence. Il faut veiller, simplement, à le rendre plus juste et plus humain. Émancipateur. Libérateur.
Le travail c’est ce qui différencie l’homme de la bête. Être mortel, d’accord, mais laisser des traces de son passage sur terre. Être mortel, pourquoi pas, mais forcer le respect et le destin.
Communiste de naissance, et aussi travailleur du jour et de la nuit. Communiste affectif, et se battre, toujours, pour les déshérités. Que serait le repos, même mérité, même bienvenu, sans le labeur accompli ? Que pourrait valoir le droit à la paresse ou à l’ennui sans l’ardeur quotidienne, sans les pulsions de vie ? Pas grand-chose, sinon rien. J’ai des amis fainéants, qu’ils le restent.

C’est à l’aube que le vent se lève. C’est aujourd’hui et c’est demain. Le futur droit devant, le futur après le passé et le présent. Le futur regard de face, regard de côté. Le futur humain, en somme.
Mais notre vie, même si elle se projette, reste au présent. Chaque instant est immobile, dure le temps d’une réflexion ou d’une émotion. Chaque instant s’éternise quand il s’agit d’y voir plus clair, de retrouver le sens de la marche ou du combat.
Chaque instant, avant de s’éteindre, de passer à l’étape d’après, est une promesse et, un peu plus rarement, la caresse du temps. Du temps qui passe, du temps qui court, du temps qui fuit.
Les mots sont les victimes toujours innocentes du langage et de la passion. Les mots nous aident cependant à arrêter l’hémorragie des jours et l’incendie des nuits. De toutes leurs forces, même les plus faible, ils nous soutiennent – les mots. Quelquefois ils nous délivrent de nos liens. Voire ils nous empêchent de revenir sur nos pas. Ce sont les mots du jour et de la nuit.

Je suis né naguère, au siècle dernier.
Je suis né sans foi ni loi. Déjà libre.
Je suis né partout, parmi les livres de ma bibliothèque idéale.

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