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voudrais je vous       la page d’accueil de       " si elle est belle ? je page suivante ► page       vaches allons fouiller ce triangle montagnes de page suivante ► page       l’     le "et bien, voilà..." dit il aurait voulu être le ciel est clair au travers   les m1       josué ne il tente de déchiffrer,         ouvrir la série des pages parmi les éditeurs beaucoup de merveilles merci à la toile de dernier vers aoi autre citation page suivante ► page nos voix aller à la liste des auteurs sur l’erbe verte si est ce 28 février 2002.   ciel !!!! sors de mon territoire. fais lire la réponse de michel dans le respect du cahier des       un page suivante ► page "le renard connaît rêve, cauchemar, (ô fleur de courge... effrayante humilité de ces       que de       quinze approche du continent a l’écrivain… comme si textes mis en ligne en onzième alla lingua lingua madre albertine textes mis en ligne en juin ils avaient si longtemps, si   est-ce que       fourr&ea vers le sommaire des 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RAPHAËL MONTICELLI

Fioretti à Armand
Publication en ligne : 18 février 2023
Artiste(s) : Scholtes

Fioretti pour le peintre Armand Scholtès
avec les murmures de Saint François d’Assise
1986


Laudatu sii, mi Signore, per sora luna e le stelle ;

In celo le hai formate clarite e pretiose e belle.*

 

elle

est l’image

première de toute

la mystérieuse

humilité

je simplement

retiens

le souffle à peine du

papier déchiré

c’est un oiseau

(* Voici une part du bonheur : regarder la lune, les étoiles ; simplement les voir : belles, précieuses, lumineuses ; et savoir que tu es né de la même matière qu’elles)

++++

Laudatu sii, mi Signore, per frate ventu

E per aere, e nubilu, e serenu, e onne tempu,

Per le quale a le tue creature dai sustentamentu.*

 

la douceur dans la feuille

s’éteint le printemps

nous revient l’écorce

à nouveau sent la montée

des sucs de la terre

le printemps nous revient

c’est une troublante

image

 dans

l’eau d’une

source

cachée

c’est

ce qui

(* Voici une autre part du bonheur : sentir, par tout le corps, le vent, l’air et le nuage ; goûter le temps qu’il fait, quel qu’il soit ; savoir que ta vie, comme toute vie, s’alimente à ces sources-là.)

 

++++

 

Laudatu sii, mi Signore, per sor’acqua,

La quale è multu utile, e umile, e pretiosa e casta.

 

tu

avances

bras ballants

paumes tournées vers

l’avant

je

cherche sans

savoir si

je

serai quand je

saurai

dire

(* Voici encore une part du bonheur : tu vois l’eau qui coule, ou s’apaise, tu l’entends, tu l’absorbes, tu sais qu’elle retrouve en toi la même fluidité et les mêmes retenues. Et elle t’éblouit, utile, humble, précieuse et pure).

++++

Laudatu sii, mi Signore, per frate focu,

Per lu quale inallumini la nocte,

Et illu è bellu, e jocundu, e robustissimu, e forte.*

 

tu

dis ce que dit

le vent

qui naît

l’eau

 qui sourd

la feuille

qui

fuit

papier

déchiré

que

ramassé

(* Voici une part supplémentaire du bonheur : un feu naît pour éclairer la nuit. Il est beau, joyeux, robuste et fort. Tu sais que ta vie se consume de la même ardeur).

++++

Laudatu sii, mi Signore, per sora nostra matre terra,

La quale ne sustenta e guverna,

E produce diversi fructi, e coloriti fiori, et erba.*

 

or des humbles

tremblante minceur

de la canisse

éclat du ciment

aux reflets d’argent

et de plomb

écorce du platane les bords de ses brisures

dessinent des jours inconnus

entre les doigts

des arbres

le

ciel

splendeur de la feuille

de chêne

piquée de temps

paillettes ternies

de la rouille

feuille quand

le temps fait son oeuvre

il ne reste plus

d’elle

que

les

nervures

 

mots d

échirés

m

ot dé

mot tenu

la

re re

rete

rete

nue

le mot

le mot r

re

rete

te

nu

(* Voici la terre, la part la plus profonde du bonheur : tu t’en nourris, et tu te confondras avec elle, dans l’explosion des fruits, des couleurs et des herbes.)

++++

Laudati sii, mi Signore, per sora nostra morte corporale,

Da la quale nullu omu vivente po scampare.

Guai a quilli che morrano in le peccata mortali.*

 

miroir

tremblant

au bord    des sources

c’est          lu

l’hu

l’humilité

c’est         l’humi

lité

l’humble

l’humble

non l’humilié

(* Voici la part ultime du bonheur : se savoir mortel, et en vivre)

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