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ISABELLE CARRÉ

Parcours
© Carré Isabelle
Publication en ligne : 29 janvier

quelques photos d’œuvres ►

« Je ne crois pas aux choses mais aux relations entre les choses » Georges Braque

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » Lavoisier
 

« Le doute est père de la création » Galilée

Sensible et curieuse, entre passé, présent et avenir, mon regard porte sur ce que nous sommes et ce qui nous entoure. Après des études spécialisées dans la chimie des molécules odorantes, je découvre l’Art aux Ateliers de l’école des Beaux-arts de Marseille en 2007 où mon besoin de créer se révèle. Un an plus tard, j’intègre - sur concours - l’Ecole des Beaux-arts de cette même ville. En design d’espace un sujet attire mon attention « Contact, Ecart, Equilibre. Créer une sculpture ». Les mots résonnent. Contact : Aller au plus proche, Ecart : Prise de recul, Equilibre : Harmonie. Ils font sens et stimulent ma créativité qui, libre, prolifère dans de multiples directions pour donner naissance à un corpus de recherche sur le volume.

Mes découvertes de l’architecture, des explorations artistiques du Bauhaus et des travaux de l’avant-garde russe sur les formes géométriques, l’espace et le mouvement ont une influence considérable sur mes recherches. C’est au Moma, lors d’un voyage à New York en 2008, que je découvre le constructivisme. Les compositions New Man de Lissitzky et AXX de Moholy Nagy m’interpellent. Plus tard, ce sont les travaux de recherche sur la reconstruction de l’image des cubistes Pablo Picasso et Georges Braque, la couleur et le rond de Sonia Delaunay, le cabanon du Corbusier, les maisons « bulle » d’Antti Lovag, les anamorphoses de Georges Rousse et les suspensions d’Ernesto Neto.

De ces expériences, je comprends que mon intérêt pour l’art nait de ce qu’il suggère comme possibles dans les relations pouvant être tissées entre l’Homme, l’Espace et la Matière. Il me procure un champ de liberté et d’expérimentation inépuisables. Associées à un brin de curiosité, mes perceptions sensorielles stimulées par mon approche scientifique de l’odorat et du goût puis artistique de la vision et du toucher favorisent ma faculté à trouver des idées que je note dans des cahiers de recherche et que je consulte régulièrement.

Ma démarche est intuitive et expérimentale. Elle repose sur une recherche souvent inconsciente de la différence et de l’éveil de mes sens au contact du monde que j’explore. Mes principales sources d’inspiration sont : la Nature - du minéral au végétal - l’Homme pris dans sa globalité - corps, esprit, fonctionnement - et mon environnement.

A partir de procédés graphiques et plastiques, je cherche de nouvelles formes esthétiques. Dessins, peintures, collages, sculptures, installations sont les techniques que j’explore. De leur confrontation et association, je réalise des créations où résonnent et se croisent des notions fortes comme la construction prise dans le sens de l’élévation et le mouvement que j’apparente à la vie et à l’évolution.

Les formes que je travaille empruntent aux mondes de la géométrie, du minéral et de l’organique. La droite, le rond et la courbe sont des formes récurrentes dans mes créations. Elles sont liées aux souvenirs de leur rencontre. La Lozère, terre de mes ancêtres, fut un terrain propice à l’observation de la Nature durant mon enfance. Du paysage karstique révélant grottes et dolines, j’observe également les traces de l’érosion sur les innombrables rochers et galets façonnés par l’eau et le vent. Grimper, caresser et lire ces formes étaient des jeux fréquents éveillant mes sens et mon imagination à la rêverie et à la construction d’abris de fortune.

Lors de mes études, l’observation de l’atome et de la cellule humaine ont également contribué à la mémorisation des formes arrondies et à me questionner sur leurs fonctions.

Les collages représentent la part la plus importante de mon travail de recherche. Mon attrait est spontané pour cette technique. Je les réalise à partir de photos de matériaux de construction : formes bétonnées industrialisées, ferraillage, gaines en mousse pvc, bois etc. Je les imprime puis les découpe en suivant par- fois les formes observées et les recombine sur des toiles cartonnées ou feuilles de papier. Parfois j’associe le dessin pour souligner, fermer ou prolonger une forme ou bien de la peinture acrylique pour détacher les formes des fonds ou encore du vinyle bleu pour augmenter les contrastes. Je réorganise l’espace, trouve de nouvelles formes et de plans d’observation où le regard circule, s’arrête, se perd, repart, questionne. Je construis... Je construis avec des éléments du réel « plats ». Faits d’ombre et de lumière, ces jeux révèlent formes, profondeurs et textures. Je cherche, je teste, je crée jusqu’à ce que les formes apparaissent et s’équilibrent entre elles. Tout m’est permis et les combinaisons s’enchainent au rythme de mes découvertes.

En sculpture, les matériaux que j’utilise sont majoritairement issus de la construction : grillage, fil de fer, tubes PVC, mousses de polyéthylène ou de mon quotidien : emballages, bois, cartons... Je m’intéresse à leur élévation et déformation et n’hésite pas à les combiner pour analyser les effets produits et les réinvestir dans de nouveaux dispositifs.

Mon intérêt pour la couleur à travers la peinture intervient plus tardivement. Des couleurs primaires que j’applique en aplat sur des formes géométriques, je passe à une recherche sur les effets produits par le medium même. Je cherche l’harmonie des couleurs et la texture. Ce travail me préoccupe car je m’y sens peu à l‘aise.

Durant la première période de confinement liée au Covid, mon sujet de peinture évolue sur l’Humain. Etrange sensation. Tout est à l’arrêt. C’est un monde en dérive que j’observe. Je sens l’impuissance, l’in- certitude et l’angoisse. Un besoin de m’exprimer sur des grands formats se manifeste comme si mon corps tout entier demandait à bouger et à pénétrer la toile. Je réalise une série de toiles noires en acrylique intitulée « La chute » où des personnages évoluent sans repères dans l’espace. De différentes tailles, cer- taines atteignent deux mètres.

En novembre 2020, mes collages passent de la deuxième à la troisième dimension. En m’inspirant des formes géométriques travaillées dans mes collages, je réalise, sans étapes préliminaires, des séries de ma- quettes en carton. Ce matériau retient mon attention pour la chaleur qu’il dégage, sa couleur terreuse, ses surfaces planes et son collage rapide. Par ces jeux de construction spontanés, j’explore les principes de la composition libre à trois dimensions et m’intéresse à l’expressivité des formes.

En parallèle de cette recherche, je ré-expérimente une écriture spatiale initiée en 2011 lors de ma re- cherche sur un projet mettant en relation une structure déformable avec un danseur. A partir d’un tissus de cuisine monochrome dont la texture me rappelle la douceur de la peau humaine et du fil de fer que je glisse entre des bandes découpées de ce tissus, j’obtiens des structures-sculptures souples et légères. Cette expérience me conduit à l’exploration de la verticalité par le traitement de la courbe et à aborder la réversibilité de la déformation du matériau par contact de tout ou partie du corps.

De par ces nouvelles approches, ma sensiblité sur le volume architectural se précise. Etape par étape,ma démarche cherche à comprendre l’évolution de la forme architecturale dans l’espace et le temps. Cependant une notion encore peu explorée dans mes recherches mais qui suscite depuis longtemps ma curiosité pour en comprendre et traduire les effets perceptibles, est le traitement du volume en deux et trois dimensions par : le grand format. Une étape importante dont l’exploration est freinée par la recherche de matériaux nouveaux, d’un lieu adapté et de partenaires.

En octobre de cette même année, ma rencontre avec Dominique Prévost me conduit à la gravure à l’atelier Le Safranier d’Antibes. Là, je m’initie aux différentes techniques de la gravure pour travailler la composition et la couleur mais surtout les effets de textures que je teste sur des compositions extraites de mes collages et des formes libres. Aussi je mets au point des plaques à partir d’aliments secs que je décalque par grattage sur du papier pour créer des paysages imaginaires où la Nature apparait sous des formes minérales et végétales.

Ne perdant pas de vue mon approche du grand format, j’intégre Sofab en juillet 2021. Dans cet atelier de prototypage de Telecom Valley basé à Sophia Antipolis, je m’initie au logiciel de modélisation 3D : Fusion 360 ainsi qu’aux nouvelles techniques de fabrication : impression 3D, découpe laser, fraiseuse à commande numérique etc. L’utilisation de ces machines outils me permettent de réaliser, avec de nouveaux matériaux, des maquettes de mes sculptures architecturales cartonnées, de pousuivre mes recherches sur une structure déformable interactive et d’envisager des déclinaisons de « Modules kars- tiques » (cf la partie Ateliers)

Tout en poursuivant ces explorations je souhaite étendre ma démarche, non seulement au grand format et à l’interactivité mais aussi à la fonctionnalité de l’objet et à la scénographie ; mon projet céramique « Modules karstiques » m’ayant influencée dans ces approches. Aussi travailler sur des projets artistiques de plus grande envergure liés à l’architecture, aux industries du mobilier, du textile et de la parfumerie suscitent mon intérêt. Cependant, peu expérimentée à cela, je cherche des partenaires où l’écoute et le partage de compétences sont privilégiés. C’est le chemin que je désire prendre pour continuer à réaliser mes rêves et à les transmettre.

“ Lorsqu’on rêve tout seul, ce n’est qu’un rêve
Alors que lorsqu’on rêve à plusieurs, c’est déjà une réalité. L’utopie partagée, c’est le ressort de l’Histoire.”
Hélder Câmara

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