BRIBES EN LIGNE
      ".. nous serons toujours ces elle disposait d’une d’abord quelques avant dernier vers aoi dans les hautes herbes un texte que j’ai arbre épanoui au ciel de proche en proche tous cette machine entre mes le grand combat :       nuage dernier vers aoi sommaire ► page suivante  jésus avant propos la peinture est morz est rollant, deus en ad ouverture d’une encore une citation “tu sous la pression des    au balcon haut var ► brec  au mois de mars, 1166 dernier vers aoi page suivante ► page dernier vers aoi aux barrières des octrois clquez sur si elle est belle ? je vers le sommaire des recueils le chêne de dodonne (i)       le rafale n° 3 des vers la lettre ouverte au préparer le ciel ii ++++   en prenant acte sommaire des contributions bribes dans le nid de dans les carnets à claude held patiente la frères et la strada n° 27, questions de temps suivi de dessiner les choses banales page d’accueil de "l’art est-il normal 0 21 false fal il n’y a pas de plus textes mis en ligne en avril   le texte suivant a il regarde il écoute il g. duchêne, écriture le mise en ligne d’un petits rien 4 et 5 (env. 7cm clxvi deus li otreit (la sue) marie-hélène générations     du faucon page d’accueil de pour accéder au texte, onze sous les cercles la visite de la fondation vers ponctuations le galop du poème me Être appelé par son nom sa langue se cabre devant le le voici devant la toile l’erbe del camp, ki dans ma gorge une image surgit traverse le antoine simon 13 quel ennui, mortel pour         &n le géographe sait tout       le village de poussière et de pour hélène dubois 1)       il le long de l’ombre il y a des mots, mais comme comme une suite de saisies de frontières tout dont les secrets… à quoi   ces sec erv vre ile et que dire de la grâce       sur le vertige. une distance   tout est toujours en aucun hasard si se où l’on revient ++++ il y a, dans mon       assis a claude b.   comme une cent dix remarques i► cent il y a tant de saints sur je me souviens qu’à propos ce jour-là il lui cent dix remarques i► cent rafale n° 12 où derniers textes mis en de la on peut croire que martine tout en travaillant sur les ecrire, la vie en dépend, accéder à l’article j’ai travaillé au rayon des surgelés tant pis pour eux. page d’accueil de vers la première cliquer sur l’icône à yvon « oui, toulon, samedi 9 là-bas, dans le pays des 10 vers la laisse ccxxxii       aujourd           surgi et c’était dans sur la toile de renoir, les au centre des quartiers de page suivante ► page oui la page précédente page textes mis en ligne en régine robin, le "patriote", me  pour le dernier jour deux mille ans nous       l’ réponse de michel 1- ai-je reçu une sous ce titre inspiré de la portrait. 1255 : page suivante ► page "ah ! mon doux pays, pénétrer dans ce jour,       deux dernier vers aoi ils sortent le temps passe dans la iii sur l’eau a) au grÉ je serai toujours attentif à page suivante ► page et que vous dire des 19 mars 2022, savigny sur avant-dire  “...  la lancinante l’impossible a propos de quatre oeuvres de je suis occupé ces chercher une sorte de nous avancions en bas de sophie calle à beaubourg...       le page suivante ► page ce qui importe pour       rampant dernier vers aoi rm : tu as décidé c’est seulement au gardien de phare à vie, au       fourmi&n creuser de la langue, outil et ces 1.- les rêves de des quatre archanges que raphaël monticelli 30 juin a quelques exceptions près antoine simon 20 naviguer dans le bazar de voir document expo boltanski madame a des odeurs sauvages madame 1 madame est la et ma foi,       en deux sommaire ► page suivante station 7 : as-tu vu judas se ne pas négocier ne macao grise mathieu bénézet : mon cent dix remarques i► cent sequence l’eau froide de l’anse un survol de l’annÉe quelque chose les dessins de martine orsoni embrasement du mantra gore les céramiques et leurs une fois entré dans la aller à la bribe suivante  au travers de toi je antoine simon 21 pour michèle auer et gérard page suivante ► page les petites fleurs des pour georges présentation du projet les mots te viennent que tu si c’est ça,       é le phonétisme n’a-t-il pas       dans le à sylvie dernier vers aoi ce qui aide à pénétrer le les embrassées , cantilène c’est à caminito que quand les mots textes mis en ligne en page suivante page d’accueil de sous ces étagements liquides sous l’occupation <p présentation du projet       voyage d’un côté joseph a pour sens "dieu année 2018 ► année 2020 deux ajouts ces derniers cliquer sur l’icône je lui ajoute trois petits       dans le train premier cristina de simone : le       quinze       dans dernier vers aoi antoine simon 19 pour andré       la       soleil et toi figure bien sûr, il y eut l’envers de un homme dans la rue se prend s’il lui faut, en dépit de page suivante ► page madame déchirée       le bernard noël, un nous de pour andré villers 1) josué ne antoine simon 2       (   au milieu de alla lingua lingua madre chaises, tables, verres, et tout avait       quand les cahiers butor sont     pour accéder    courant essai de nécrologie, rafale ço dist li reis : page suivante ► page dans les horizons de boue, de à bernadette pour écouter la lecture, page d’accueil de       m’       la elle ose à peine la pureté de la survie. nul voir les bifaces de b. il a surgi sans crier voici quelques années, noir d’en bas ► un i en voyant la masse aux     tout autour raphaël monticelli 30 juin présentation du la littérature de page suivante ► page       fourr&ea       et aller à la liste des rien n’est plus ardu bruits de langues. en rester ce mot comme à la hâte madame, vous débusquez       sur le la fraîcheur et la [voir le texte de cummings et encore   dits couleur qui ne masque pas  de même que les       "       la       le il ne sait rien qui ne va éphémère du 6 octobre pour sophie, magali et il y a des titres qui préparer le ciel i page précédente ► de       l’       gloussem la terre nous       banlieue       et tu exposition de la série       je me premier vers aoi dernier       magnolia       en sors de mon territoire. fais       baie textes mis en ligne en avril       pav&eacu À peine jetés dans le    si tout au long tout mon petit univers en il existe deux saints portant écrire comme on se une errance de       au pas     dans la rue la textes mis en ligne en août       au       apr&egra face aux bronzes de miodrag vers jean-jacques, peintre de soie les draps, de soie       mouette page d’accueil de la terre a souvent tremblé 5) triptyque marocain pour jean marie des voix percent, racontent aller à la bribe suivante   *   libre vers le sommaire des recueils la prédication faite le tissu d’acier l’odeur de ce page d’accueil de attendre. mot terrible. voir les œufs de je crie la rue mue douleur       le ciel page d’accueil de       objectif sommaire ► page suivante       la  pour jean le la vie est dans la vie. se       au soir a) le chemin de fer 1) la si j’avais de son tu le sais et je le vois       ma d’abord un curieux pour visionner accorde ton désir à ta mouans sartoux. traverse de c’est un peu comme si,   pour théa et ses dernier vers aoi       six rita est trois fois humble.   1) cette approche d’une clere est la noit e la dans le pain brisé son beaucoup de merveilles pour accéder au texte, paysage de ta le vieux qui textes mis en ligne en juin page précédente le café sommaire des a-t-on remarqué à quel "le renard connaît 3 

les lieux aussi sont li quens oger cuardise il y a des objets qui ont la   adagio   je inoubliables, les ■ cézanne en peinture  référencem       à abstraction voir figuration grant est la plaigne e large nous serons toujours ces ses mains aussi étaient  dernier salut au que nos princes et empereurs dernier vers aoi page suivante ► page après la lecture de pour jacky coville guetteurs la parol

Retour à l'accueil

ALAIN FREIXE

Pablo Neruda, une physique de la résistance III
© Alain Freixe

Trosième partie

Publication en ligne : 28 janvier 2023

Troisième et dernière partie du texte écrit à partir de l’intervention faite le samedi 16 juin 2018 aux 8e Rencontres Littéraires en Haute Provence à Lurs sur « La poésie est une arme chargée de futur » (Gabriel Celaya). Je le propose ici en hommage à Yves Bical - acteur, metteur en scène, auteur, éditeur et galeriste aux côtés de Christine Debras, sa compagne, tous deux organisateurs de ces rencontres - décédé le 01 mars 2022.


Aller au sommaire de Pablo Neruda, une physique de la résistance

Jean Marcenac avait bien raison d’insister sur le fait qu’il y avait image et image. Il s’agit bien de faire image – on les sait abondantes dans la poésie de Neruda – non pas simple allégorie mais bien de faire que les mots s’ouvrent à leur dehors. L’image serait alors le dehors de la langue, un processus par lequel l’écriture cherche à advenir à elle-même pour, sa tâche faite, disparaître. Un dévoilement du réel, une pénétration des apparences telle qu’elle laisserait sous nos yeux, pour nos oreilles, le sourire sans le chat…- Vous vous souvenez de ce passage d’Alice au pays des merveilles où ce qui étonne Alice c’est moins le sourire du chat du comté de Chester que son sourire qui subsiste alors que lui, le chat, a disparu – soit cela qui va nous étonner, nous surprendre, cela capable de nous toucher plein cœur, et de renouer pour un temps « la mélodie de notre âme » selon les mots de Mallarmé.


Image qui confère à l’analogie, non une portée mystique postulant l’existence d’un monde invisible ou d’une transcendance, mais d’une portée cosmologique qui permet de renouer avec un certain mystère du monde dans sa puissance germinative, dans sa capacité à toujours naître. Les images sont un mode d’approche du monde chez Pablo Neruda, une lunette d’approche qui suppose la synthèse du visuel et du mental, leur fusion à travers les mots. J’ose imaginer que Neruda aurait aimé ces mots de Joë Bousquet : « ni prose, ni vers, des présences ! » Pablo Neruda fait de l’image la chair et le sang du poème quand l’image n’est pas le moyen de quitter le réel mais au contraire le chemin à emprunter pour retrouver sa saveur âcre, profonde, mortelle.
Les images de Pablo Neruda creusent de tout leur air la réalité, ce que nous croyons savoir du monde, cela qui le rendait lisible – et donc visible – elles sont coups d’écarlate, éclairements, éclaircies, clairières dans la forêt des mots.
C’est par la vue que commence le scandale du monde. Le monde, ses horreurs, sont telles qu’elles mettent en déroute la poésie, que les mots reculent. Pourquoi la poésie de Pablo Neruda, un jour, ne parle plus du rêve, des feuilles, des grands volcans de (son) pays natal ? » Sa réponse, vous la connaissez :


Venez voir le sang dans les rues
Venez voir
Le sang dans les rues
Venez voir le sang
Dans les rues


Le rythme seul met l’œil à la rue, tranche la langue. Il n’y a pas d’image de cela, de l’horreur, pas plus qu’il n’y a d’image dans la nature » disait Pierre Reverdy et il enchainait « l’image est le propre de l’homme, car elle n’est image que par la conscience qu’on en a. »
Quand reviendra l’image, quand nous reprendrons pied dans la langue, c’est alors l’homme qui reviendra. Ramener à un ordre humain une réalité inhumaine tel est le pouvoir de la poésie, telle est le pouvoir de celle de Pablo Neruda.
Les choses du monde, les coups du dehors, ne s’imagent qu’après coup. Les choses sont d’abord appel. L’image vient les remplir après coup. Les choses sont des coups, les images des après coups. Le beau par exemple est d’abord appel, signe de présence avant d’être une belle représentation.
Ce que nous percevons d’abord ce sont des mouvements du monde…et jamais des images. Les images nous rendent la présence du monde. Toutes sont comme des
« départs d’infini » - l’expression est tirée des belles analyses du philosophe Arnaud Villani – qui sont signes de notre présence au monde dans sa capacité d’affection…

Car c’est lui, l’infini, qu’il nous faut suivre comme Pablo Neruda sut le faire même si parfois nous l’oublions au profit de ce qui dans le fini fait urgence : « J’allais, j’allais, je suivais l’infini » (p.170)
Qu’est-ce que suivre l’infini ? Quel est notre rapport à l’infini ?
L’infini n’est ni l’Azur, ni le Surréel, ni l’Utopie…L’infini n’est pas notre rêve mais le tissu dont nous sommes faits. Telle serait non la nature humaine – essence figée – mais notre humaine condition qui à l’intérieur de structures immodifiables nous autorise le pouvoir de tout changer.
Je ferai bien le portrait de Pablo Neruda en métaphysicien. En effet, la métaphysique n’est pas théorie de ce qui nous dépasse mais de ce qui nous soutient. Le mot grec Méta ne s’entend pas seulement comme le veut la tradition qui nous explique que le mot désignait dans la bibliothèque d’Aristote les livres venant après ceux traitant de la physique…mais bien avec et non pas au-delà, après. La métaphysique c’est ce qui nous ouvre à l’étourdissante physique du monde, à ses replis, à ses mondes enveloppés, à ses combinatoires. Elle nous donne de vivre avec tout cela, sans en périr. La poésie de Neruda nous replante l’épine de l’infini : ne pas collaborer avec le nihilisme, ne pas devenir de tristes consommateurs de la société marchande/du spectacle, ne pas céder à la Sensure, cette privation de sens dont parle Bernard Noël, mais rester debout, présents, présents à soi et aux autres, dans la lutte pour toujours plus de justice.


La poésie de Neruda est pleine de ces présences. C’est aussi sa manière à lui de se rendre présent au monde. Relevons que cette notion de « présence » est importante dans la poésie contemporaine non comme présence pleine insistant sur le là de la chose pour en souligner la solidité, l’autorité immédiatement convaincante mais plutôt son dérobement affirmatif. Si telle chose ou telle autre est présente, c’est bien de s’arracher à la mort et ce dans un geste où la chose se tient, suspendue, flottante et déjà passante… La présence arrache à la mort son caractère essentiel : l’absence trop présente, l’absence si présente qu’elle envahit tout l’être !


Quand on voit ainsi la mort, transmuée en sang, courir en transparence sous l’incarnat des roses, le vert des feuillages, rien auprès d’eux ne peut avoir odeur de mort. On a vu comment la forêt pouvait être salvatrice, comment elle escortait et aidait à l’occasion.
Ainsi croise-t-on bien des sauveurs dans la poésie de Neruda – cet arbre, cet oiseau, cette femme, cette belle pensée, cette belle image, ce son de guitare, ces vers…- présences rassurantes de ce qu’ils ont domestiqué la mort, qu’ils en font leur sang. Et qu’on ne s’y trompe pas ce n’est pas la mort qu’ils aiment - « Viva la muerte », c’était le cri des franquistes, c’est toujours le cri des fascistes, des intégristes de tout poil, des fanatiques – mais la vie ! Sauvent la poésie ceux qui se sont transfusés la mort à la manière de la terre qui se tait, écrira Pablo Neruda car « elle est au travail / recevant et naissant. En elle, « tout y pourrit (…) le soleil lui-même se pétrifie « et tout y naît pourtant jusqu’aux « étoiles vertes » (cf. Le Chasseur de racines) alors c’est la vie qu’ils célèbrent, la vie qui s’en arrache comme s’envole et plane le condor noir au-dessus mais avec la terre sous ses ailes !


Oui, la vie fut la belle querelle de Pablo Neruda.
Il me plaît ici évoquant Pablo Neruda, cette figure d’un résistant du sens de l’homme, de faire un signe vers cet autre résistant que fut le poète immobile de Carcassonne, après qu’une balle allemande devant Vailly le 27 mai 1918, le cloua aux mots, joë Bousquet qui dans une lettre inédite de 1940 à Jean Ballard, directeur de la revue des Cahiers du Sud, écrivait : « Ah ! Nous sommes de vrais méridionaux, des hommes de jour pur et d’eau courante, uniquement sensibles à la part renaissante de chaque chose qui dure. Nous savons qu’être, c’est devancer dans ce qui passe le souffle qui va l’emporter, participer ainsi de ce qui le ressuscite et ne saurait sans la collaboration perpétuelle de la mort, entretenir la vie. »
Jamais chez Neruda ce goût pour l’élémentaire ne passa et l’amour de la nature fut très tôt pour lui, « gisements de (sa) poésie. ». Jamais ce goût pour la vie prodigieuse de ce que le monde physique écrit sur lui-même, cette géographie (forêts, fleuves, du bio-bio à l’Amazone, sommets, glaciers…) qui fait socle, lieux où se ressourcer, ne s’est démenti. Là « se multiplie le feu » avec « tout autour », « la volonté », « (les) luttes de (son) peuple » et, bien sûr sa manière singulière de travailler, labourer, aérer la langue héritée, imposée de l’extérieur violemment par le conquérant, cette langue castillane, qu’en poète il amène à dire ce qu’elle ne peut pas dire : « Tout ce que je sais et donne / Tout ce que je chante / Cette matière / amour, la terre / la mer / le pain / la vie. » Enfin, son amour pour cette « lumière qui vint » - et toujours revient- « malgré les poignards », cette lumière qui nous parvient encore, lumière du peuple, chant de l’homme en lutte contre les injustices et pour la liberté, cet homme dont il disait qu’il devait « se faire entendre » et que c’était « au poète de trouver sa voix / de devenir son cri. »

C’est maintenant l’heure de la conclusion, celle du grand renversement. Le poète, et Pablo Neruda tout particulièrement est un conservateur. Et cette affirmation pourrait bien n’être paradoxale qu’aux yeux de ceux qui n’auraient pas en mémoire ces mots de René Char : « le poète est le conservateur des infinis visages du vivant ». Conservateur dans la mesure où l’enjeu d’une éthique de la poésie serait le maintien. Il s’agit toujours dans la poésie de maintenir l’homme à horizon d’homme.
Tel est l’humanisme de Pablo Neruda non un humanisme de convention – affadissement de celui issu de la Renaissance revisité au XVIII par les philosophes des Lumières – mais comme un processus de refondation permanente de l’éthique à travers ruptures et innovations. L’homme est bien l’avenir de l’homme…
L’homme ne possède pas son humanité comme un donné fixe et définitif mais comme une possibilité qui lui appartient de réaliser…ou pas.
L’homme n’est pas une entité abstraite, un contour figé, un ensemble de données éternelles, mais une exigence. L’homme n’est homme que dans la mesure où il estime qu’il ne l’est jamais assez. Maintenir : dans ce verbe, il y a la main. Et il y a tenir. Il y a la prise en main. La garde. La sauvegarde. On y entend, un prendre soin de… Redisons-le : il s’agit moins de l’homme en général que de ce qui en l’homme « compte pour homme », selon les mots d’Henri Michaux.
Il s’agit de l’homme comme de cet imprononçable qu’il est, de cette chance que la poésie dans ces manifestations multiples redresse, relève et fait passer. Les poèmes, ceux de Pablo Neruda tout particulièrement, sont les rendez-vous des hommes libres, la vie y passe.

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Connexions’inscriremot de passe oublié ?

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP