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      le page précédente retour 7) porte-fenêtre textes mis en ligne en vous êtes     faisant la je crie la rue mue douleur       sur haut var ► brec vers ponctuations préparer le ciel i les cahiers butor sont page suivante gérard       il   les       nuage a grant dulur tendrai puis       grappes rafale n° 6 just do carcassonne, le 06 l’attente, le fruit page précédente ► page page suivante ► page antoine simon 16 faisant dialoguer       retourn& aller à la bribe suivante mult est vassal carles de la poésie, à la  la lancinante ce qui importe pour "tu sais ce que c’est 1- nous sommes dehors. pour frédéric li quens oger cuardise tout en travaillant sur les antoine simon 33 un jour nous avons « h&eacut arbre épanoui au ciel dieu faisait silence, mais dernier vers aoi 1 la confusion des la chaude caresse de vers le sommaire des recueils     " à la mémoire de christian       deux   si vous souhaitez il existe deux saints portant bruits de langues. en rester bernar venet - de mes deux mains aller à la liste des auteurs et ces quelques photos karles se dort cum hume notre but n’est pas de ► les mots du désir à rafale recleimet deu mult cher.e.s ami.e.s vous pouvez la bouche pleine de bulles aller à la bribe suivante me les cuivres de la symphonie       fleurett       st que nos princes et empereurs   est-ce que archipel shopping, la chaises, tables, verres, présentation du projet       dans le constellations et la pureté de la survie. nul pierre ciel     sur la dernier vers aoi (ô fleur de courge...       s’       fleur si tu es étudiant en bien sûr, il y eut on n’écrit qu’un clxvi deus li otreit (la sue) 1- ai-je reçu une joseph a pour sens "dieu       sur le       sur le il pleut. j’ai vu la   né le 7       le long       vu les       ce qui aller à la liste des auteurs 1.- les rêves de il aurait voulu être je suis occupé ces ce qui aide à pénétrer le au labyrinthe des pleursils 5) triptyque marocain pour alain borer le 26       le ciel préparer le ciel ii le samedi 26 mars, à 15 je suis 1. on est un peu fatigués de c’est une sorte de l’envers de textes mis en ligne en      & aller à la bribe suivante page d’accueil de page suivante ► page où l’on revient page suivante ► page dans ma gorge pure forme, belle muette, le dit du guide de à yvon « oui, ► abÉcÉdaire à jean traquer       "  zones gardées de attention beau accéder au texte en cliquant à sylvie reprise du site avec la sous la pression des al matin, quant primes pert       à    regardant petit souvenir encore la couleur, mais cette le nécessaire non   dits de       à viallat © le château de l’illusion d’une heureuse ruine, pensait     son   on n’est dix l’espace ouvert au présentation du projet a inishmore chaque plante est "et bien, voilà..." dit  avec « a la il faut aller voir page suivante ► page       page suivante ► page écrire comme on se dernier vers aoi eurydice toujours nue à je serai toujours attentif à       apr&egra       une pour anne slacik ecrire est antoine simon 25 attendre. mot terrible. écoute, josué, c’est ici, me monde imaginal,       dans le a-t-on remarqué à quel madame est la reine des antoine simon 17       "je station 7 : as-tu vu judas se cliquer sur l’icône le phonétisme n’a-t-il pas page précédente retour       objectif textes mis en ligne en mai pour accéder au texte au cent dix remarques i► cent       fourr&ea pour jacky coville guetteurs dernier vers aoi un texte que j’ai antoine simon 5 page suivante page ce 28 février 2002.       crabe-ta voir aussi boltanski galerie dans ce périlleux       parfois     une abeille de sommaire des contributions sauver la vie c’est ne alocco peinture en les carnets éclaboussés 2 dernier vers aoi dernier vers doel i avrat, il regarde il écoute il iii sur l’eau a) au grÉ art et territoire durant les étourneaux ! voudrais je vous page précédente retour douce est la terre aux yeux pour jean-louis cantin 1.- quand un critique français jamais si entêtanteeurydice il ne s’agit pas de sors de mon territoire. fais textes mis en ligne en avril et toi figure normal 0 21 false fal       entre références : xavier       les       dans le       chaque nos voix page suivante ► page ouvrir f.a.t.a. i ► le raphaël monticelli 30 juin c’est un peu comme si, page suivante ► page si c’est ça, village de poussière et de       au les lettres ou les chiffres page précédente longue    de femme liseuse accorde ton désir à ta creuser de la langue, outil i voici. "il y aurait eu un aller à la bribe suivante préparer le ciel i il y a deux villes à elle dit la main qui fut le page suivante ► page vue à la villa tamaris   nous sommes a claude b.   comme une   ces sec erv vre ile vers jean-jacques, peintre sommaire ► page suivante quel étonnant inoubliables, les page suivante page antoine simon 30       va ton dans l’innocence des le ciel est clair au travers voici l’homme aux deux une image surgit traverse le le vieux qui cent dix remarques i► cent pur ceste espee ai dulor e nous dirons donc travail de tissage, dans merci à la toile de bel équilibre et sa  née à page suivante ► page alain lestié, gravure couleur qui ne masque pas       voyage retour au texte page suivante ► page rien n’est plus ardu       ruelle (À l’église 0- souviens-toi. sa les embrassées , cantilène textes mis en ligne en juin paru en ce mois de juin 2021, page suivante ► page 3 

les lieux aussi sont bribes en ligne a     double aller au sommaire de pablo frères et « voici  pour jean le comment entrer dans une présentation du projet derniers vers sun destre madame est une charogne sur le seuil ce qui tu le sais et je le vois     du faucon le temps passe dans la beaucoup de merveilles page d’accueil de aller à la bribe suivante voici quelques années, bribes en ligne a monticelli raphael 510 035 ce qui fascine chez cliquetis obscène des le lent déferlement       quand autres litanies du saint nom   À léon-gontran l’une des dernières madame est toute   anatomie du m et préparer le ciel i clquez sur pour maxime godard 1 haute etait-ce le souvenir passent .x. portes, a l’aube des apaches, rm : tu as décidé       la juste un mot pour annoncer non... non... je vous attelage ii est une œuvre en ceste tere ad estet ja page suivante ► page tromper le néant la strada n° 27,       la       la avec marc, nous avons ] heureux l’homme textes mis en ligne en avril histoire de signes . leonardo rosa ils avaient si longtemps, si chercher une sorte de     vers le soir portrait. 1255 : merci à marc alpozzo       ç deuxième essai attendre. mot terrible.       m’ sommaire ► page on préparait des voiles de longs cheveux       tourneso tout le temps est là sièges il souffle sur les collines dernier vers aoi la brume. nuages onze sous les cercles  tous ces chardonnerets décembre 2001. polenta bernard dejonghe... depuis       la       soleil       ma aller à la liste des auteurs   il y a des mots, mais comme À l’occasion de pour hélène dubois 1) [voir le texte de cummings préparer le ciel i  les œuvres de       fourr&ea a l’extrémité du sur l’erbe verte si est i.- avaler l’art par chers élèves du collège       le pour philippe sainte marie, lorsque martine orsoni page suivante ► page il ne sait rien qui ne va page suivante ► page au seuil de l’atelier page d’accueil de  pour le dernier jour le chêne de dodonne (i) page d’accueil de rafale    7 artistes et 1 raphaËl ensevelie de silence,       qui le 26 août 1887, depuis a l’écrivain… comme si je rêve aux gorges issent de mer, venent as il nous aura laissé clere est la noit e la       dans quai des chargeurs de   entrons maintenant page suivante ► page le chêne de dodonne (i) naviguer dans le bazar de la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Musica Maestro !
Publication en ligne : 25 mars 2022

Voici un texte de 2004. Préface d’une exposition collective organisée par l’association niçoise stArt, il comporte deux parties. La première, Avant-œuvre, donne les circonstances de sa rédaction. La seconde Musica Maestro ! appartient au genre littéraire du centon.


vers Avant-œuvre

Mots, formules, phrases et images repris à

ABRIL, ALIOTTA, ALTMANN, BAYARD, BOIZARD, BONIFACE, BOSI, BOUJOT, CHARPENTIER, CHARVOLEN, DUPONT, ELI, FRANTA, GAUDET, GIOVANELLI, GODARD, GOALEC, HODEIB, KIKOTO, KAANTOR, KREFELD, LANDUCCI, LAURENT, LE BELLEC, LUCAS, LUCCHI, MAS, MICHEL, MIGUEL, MOULIN, MOREAU, NIVÈSE, PIANO, REYBOZ, ROSA, ROTTIER, SITER, TARIDE, THIBAUDIN, VERNASSA, VOLIOTIS

et mis en forme par Raphaël MONTICELLI

*

Dieu est sans aucun doute d’abord et avant tout musique....

++++

I

A peine une trace
aube de dialogue empreinte de temps
force insolite des exigences du bâti
à peine
la rencontre d’une ombre délavée
gris-pâle
et mes mains en débat avec mes images du dedans

A peine cette morsure ardente du manque
et l’exploration du regard
(ainsi l’écriture)
à peine un effet du temps
mes mains exploratrices d’inconnu
l’unique épure d’une trace
l’ombre d’une ombre s’effaçant
stratégies de la déraison

tout est dessinable
des vagabondages de l’âme
nul besoin de croquis
(et cette image inattendue de mannequins postés dans un hangar)
à peine une trace de mystère
à l’approche de l’intime
et mes mains transformatrices du connu

(on disait : « centrale poétique des traces »
on voulait dire « voici le lieu de l’origine »)
pas d’esquisse
mille dessins couvrent les murs
insémination de l’après par l’avant

pas d’esquisses
Juste une goutte de mystère
(encore inattendue cette image du hangar des charbonnages)
filiation entre connu et inconnu

Juste un soupçon de mystère

(des visions du « dedans ») on dit
« tout vient de fragments recueillis »
avant tout la béance
et encore on dit
« tout est né d’une visite d’atelier »
une tâche obligatoire
la prise directe de l’espace

Juste une poussière de mystère
Prima la main transformatrice de la tête
les fragments recueillis des reliefs d’un travail
la présence dans la clarté
(toujours cette image d’atelier inattendu)
l’effacement des constructions
rien
rien que cette trouée

Tout retourne à cette poussière du mystère
(dans la prévision des zones)
à ce qui sans cesse en surgit
le geste enseveli

Pas de dessin
(on dit : « c’est le hasard,
oui, le hasard d’une rencontre »)
pas de dessin :
seule l’association libre des matières

pas de projet
la lumière obligée. (...)
la surveillance des manques
Tout est là,
dans les poussières du mystère
la mesure des zones denses et aérées
tout y est : l’attention dans le voyage
et l’envol mal assuré de l’hésitation
mes mains leur dialogue avec la matière
et encore la colère
on dit : « au début il y a le voyage en pays lointain »
des outils
lointain voyage de la méditation
Mon Afrique des ténèbres
force biologique du dessin

et encore un dialogue qui naît
tout cet insoupçonné qui se projette sur la toile
le grain de sel du hasard
le fantôme de l’Afrique
mes mains leur intimité avec l’argile
Mes outils
le respect du temps qui passe
le disparate

Et c’est bien ainsi :
les prémisses d’un dialogue
un projet que porte la toile
la force d’un mouvement.
le surgissement même
le hasard des découvertes

et cette idée qui vient du ventre

++++

II
(
ou rien d’important mais
un éclair qui vient du ventre
les contraintes de l’architecture
non, non, (dit-on) pas d’avant l’oeuvre si ce n’est
ce regard qui porte au-delà du trait
la toile que nous habitons
mes mains et les confidences de la terre
le mutisme obstiné des dieux cet indicible « avant »
les métamorphoses de l’espace
la joie de la fébrilité
quelque chose de désespérant
le but insoupçonné

on dit :
« pas besoin de préliminaires »
sinon un outil (son parcours secret)
ce corps que nous vivons indicible « pendant »
la vocation de l’espace
la joie de la fertilité
la peur de l’autre

mes mains et leur dialogue avec ma tête
le feu jailli des paradoxes

pas de préliminaires
mais le plaisir seul d’accomplir
un outil au trajet invisible
Les esquisses de l’échappée
ce corps que nous sommes les leurres les projets
les fuites étourdies
le silence des dieux

la joie de l’éclair
la symphonie des percussions
les images et les livres
les œuvres d’art voisines
on dit : « éviter les préliminaires » laisser monter cette forme
laisser
le projet de porter
les navires de cyclopes
laisser
le temps qui passe
l’effondrement dans le réel

« pas besoin d’atermoiement »
les fleuves de rhinocéros
qu’il suffise d’une pensée
que germe le corps dans la toile
les stratégies du secret
l’artifice des danseuses

non rien sinon
l’accomplissement
un dessin sans cesse poursuivi
la toile dans l’espace l’obligation de se perdre
l’ombre cendrée des arbres calcinés

rien sinon ce fil à quoi tiennent les choses
la maturation des idées
pas besoin de la moindre attente

une apparition gris pâle le dessin
pour ne pas oublier l’idée de ce qu’il faut faire
la conscience de la poussière
la maturation des matières un détail de mur
l’essentiel le but ultime une ligne à peine visible
l’espace

« rien » sinon le dessin prospectif qui élargit notre vision
le testament des arbres
on dit, « rien »
sinon
l’image souple de tes seins
la maturation du bois
« non rien » que le point après le mot fin
« rien » si ce n’est ce monde extrême où nous vivons

le manuscrit de l’herbe morte
le dessin noirci du possible
ces fantômes qui font œuvre

la joie de respirer
« Rien »
que l’expansion du temps
l’envie qui domine et guide
l’espace que nous habitons
juste l’ébauche d’une ébauche
pour que viennent les apocalypses
« il n’y a pas d’avant » sinon
une intuition à vérifier
l’association des fragments de ma tête
la mine de plomb qui court sur le papier
la toile où nous vivons
on dit
« rien » sinon

le travail

++++

III
« rien »
que ce besoin cet échange à naître
les manuscrits de l’herbe brûlée
« rien » que la présence du modèle
avant toute abstraction
l’inspiration fraîche des vallées
l’air musical des montagnes
la peur mordante du sexe l’ensorcellement des forces
jouissance de l’ « incognita ».
l’angle d’attaque de la lumière

« rien »
l’émotion qui jonche un atelier une matière
il n’y a
ni dessin ni dessein
mais des yeux
l’exigence d’un échange
les cendres de la cendre
le temps passé qui fait son oeuvre
les calculs géométriques
la trace faible des origines
l’envol des voiles de pudeur

les ébauches « non ! pas de plan »
seulement nos yeux ouverts
le douloureux désir d’échange
la contamination des cultures
la peur du manque la fièvre
ce que l’on voit dans la rue
et le savoir qui fait son oeuvre
l’approche lente et les calculs des techniques

foncer plein pot dans la terre,
la recherche d’objets inédits
Rien sauf
le besoin de garder les yeux ouverts
ton regard qui scrute les choses
le matériau la peinture le corps
l’envie de faire l’idée qui germe
le fracas têtu des tam-tam
l’Incendie des idées
le dessin Le nu
la révolte

« rien » que les formes du corps où prend naissance l’abstraction
« rien »
les yeux ouverts sur l’homme
ce mal au ventre
l’exploration du trou noir

« moi » qui rebondit virevolte casse
« moi » enseveli au plus profond de moi
cette vision du dedans sur l’objet à construire
le plein pot de la peinture
la toile blanche
la beauté des égarements
les forêts en feu
l’orchestration du travail de la forme
la tentative de tout ce qui vient
l’humanité exploitée
la beauté dans la perdition
les idées souvent du vent

l’assemblage des pièces de bois
un questionnement du réel
une élaboration abstraite
l’humanité bafouée
« moi » qui éblouit un peu
l’incompatibilité entre les objets et l’art

« rien »
la volonté de rendre sensible un être au monde
Pompeï les derniers rivages des fleuves
le plein pot de la démesure
un apprivoisement du réel
le ventre ancestral des oliviers explose

humanité domestiquée

++++
IV

la haine des despotes
moi qui rabroue broie braille brave
le refuge sûr de la pierre
des bambous des encres des arches
les fresques de bordels anciens
nos constructions méticuleuses
les petits dessins jetés
le désir de liberté
les escapades solitaires
la mémoire sûre des pierres
un poème nouveau-né
le flirt avec le cosmos
des outils sur du vélin
l’ errance les égarements
la peur essentielle du feu
les petits dessins que l’on pousse
l’explosion des animaux
les variations de la lumière
toutes les questions de l’art
l’imprégnation de l’esprit des lieux
les pierres d’eau source de vie
le ruissellement des doigts
une nuit pleine qui passe
les présages des mers du Sud
les dessins que l’on pousse dans les pages des livres
l’insolite reconstruction du monde à ma façon

la quête de l’incompatible
l’interrogation du possible
la plongée dans l’intime
l’ arche échappées des déluges
les paradoxes de la Mer Morte
les tracés au millimètre
les brûlures du ciel et la désolation de la terre
un poème de la nuit
la fraternité des arbres
le refus du passé
le rituel de la pierre
un poème de la veille
le chatoiement bleu des écorces
les images floutées l’accroche à l’avenir
les changements de la lumière

l’image émergeant du papier
l’eau seconde de la pierre
les indiscrétions d’Eros
ce que je vois les nuits de veille
les arbres crucifiés
les parcours sur la peau des arbres
le silence du chaos
les naissances de l’ oeil

regard visée obturateur
la méditation de la pierre
le grains des yeux sur les terres déblayées
la germination du poème de la nuit
la caresse des cartes marines
les premières inquiétudes

trente ans de préliminaires

le négoce avec la lumière

les photographes que j’aimais
le vide le temps la fragilité
un fragment de tôle rouillée
ce que je sens l’empreinte d’une phrase
les désirs des anciens marins
la mémoire double des pierres
un fragment de bois
l’émotion qui se fait objet
l’harmonie sereine des pierres
un crayon une esquisse
ma façon de sentir les choses
l’avenir que l’on veut meilleur

préliminaires quotidien
une phrase du matin
la géographie des écorces
la méditation sourde des pierres
l’instant privilégié
que je vis
une forme au petit matin
la parole des sorciers
les préliminaires des heures

l’oeuvre d’avant qui appelle l’oeuvre d’après
les vitraux des cathédrales
le réconfort trouble des pierres
tous les spectacles du monde
ma manière de sentir les choses de la vie
la qualité de l’heure

tracés rythmes et couleurs

les terres de l’inachevé

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