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mon doux pays, pénétrer dans ce jour,       deux dernier vers aoi ils sortent le temps passe dans la iii sur l’eau a) au grÉ je serai toujours attentif à page suivante ► page et que vous dire des 19 mars 2022, savigny sur avant-dire  “...  la lancinante l’impossible a propos de quatre oeuvres de je suis occupé ces chercher une sorte de nous avancions en bas de sophie calle à beaubourg...       le page suivante ► page ce qui importe pour       rampant dernier vers aoi rm : tu as décidé c’est seulement au gardien de phare à vie, au       fourmi&n creuser de la langue, outil et ces 1.- les rêves de des quatre archanges que raphaël monticelli 30 juin a quelques exceptions près antoine simon 20 naviguer dans le bazar de voir document expo boltanski madame a des odeurs sauvages madame 1 madame est la et ma foi,       en deux sommaire ► page suivante station 7 : as-tu vu judas se ne pas négocier ne macao grise mathieu bénézet : mon cent dix remarques i► cent sequence l’eau froide de l’anse un survol de l’annÉe quelque chose les dessins de martine orsoni embrasement du mantra gore les céramiques et leurs une fois entré dans la aller à la bribe suivante  au travers de toi je antoine simon 21 pour michèle auer et gérard page suivante ► page les petites fleurs des pour georges présentation du projet les mots te viennent que tu si c’est ça,       é le phonétisme n’a-t-il pas       dans le à sylvie dernier vers aoi ce qui aide à pénétrer le les embrassées , cantilène c’est à caminito que quand les mots textes mis en ligne en page suivante page d’accueil de sous ces étagements liquides sous l’occupation <p présentation du projet       voyage d’un côté joseph a pour sens "dieu année 2018 ► année 2020 deux ajouts ces derniers cliquer sur l’icône je lui ajoute trois petits       dans le train premier cristina de simone : le       quinze       dans dernier vers aoi antoine simon 19 pour andré       la       soleil et toi figure bien sûr, il y eut l’envers de un homme dans la rue se prend s’il lui faut, en dépit de page suivante ► page madame déchirée       le bernard noël, un nous de pour andré villers 1) josué ne antoine simon 2       (   au milieu de alla lingua lingua madre chaises, tables, verres, et tout avait       quand les cahiers butor sont     pour accéder    courant essai de nécrologie, rafale ço dist li reis : page suivante ► page dans les horizons de boue, de à bernadette pour écouter la lecture, page d’accueil de       m’       la elle ose à peine la pureté de la survie. nul voir les bifaces de b. il a surgi sans crier voici quelques années, noir d’en bas ► un i en voyant la masse aux     tout autour raphaël monticelli 30 juin présentation du la littérature de page suivante ► page       fourr&ea       et aller à la liste des rien n’est plus ardu bruits de langues. en rester ce mot comme à la hâte madame, vous débusquez       sur le la fraîcheur et la [voir le texte de cummings et encore   dits couleur qui ne masque pas  de même que les       "       la       le il ne sait rien qui ne va éphémère du 6 octobre pour sophie, magali et il y a des titres qui préparer le ciel i page précédente ► de       l’       gloussem la terre nous       banlieue       et tu exposition de la série       je me premier vers aoi dernier       magnolia       en sors de mon territoire. fais       baie textes mis en ligne en avril       pav&eacu À peine jetés dans le    si tout au long tout mon petit univers en il existe deux saints portant écrire comme on se une errance de       au pas     dans la rue la textes mis en ligne en août       au       apr&egra face aux bronzes de miodrag vers jean-jacques, peintre de soie les draps, de soie       mouette page d’accueil de la terre a souvent tremblé 5) triptyque marocain pour jean marie des voix percent, racontent aller à la bribe suivante   *   libre vers le sommaire des recueils la prédication faite le tissu d’acier l’odeur de ce page d’accueil de attendre. mot terrible. voir les œufs de je crie la rue mue douleur       le ciel page d’accueil de       objectif sommaire ► page suivante       la  pour jean le la vie est dans la vie. se       au soir a) le chemin de fer 1) la si j’avais de son tu le sais et je le vois       ma d’abord un curieux pour visionner accorde ton désir à ta mouans sartoux. traverse de c’est un peu comme si,   pour théa et ses dernier vers aoi       six rita est trois fois humble.   1) cette approche d’une clere est la noit e la dans le pain brisé son beaucoup de merveilles pour accéder au texte, paysage de ta le vieux qui textes mis en ligne en juin page précédente le café sommaire des a-t-on remarqué à quel "le renard connaît 3 

les lieux aussi sont li quens oger cuardise il y a des objets qui ont la   adagio   je inoubliables, les ■ cézanne en peinture  référencem       à abstraction voir figuration grant est la plaigne e large nous serons toujours ces ses mains aussi étaient  dernier salut au que nos princes et empereurs dernier vers aoi page suivante ► page après la lecture de pour jacky coville guetteurs la parol

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THIERRY RENARD

L’urgence du réel
© Thierry Renard
Publication en ligne : 4 mars 2022

« Les lumières de la ville qui obscurcissent le ciel nous empêchent d’admirer la Voie lactée. »

Régis Debray, Éclats de rire


Il y a des soirs où le jour
se lève dans le cœur
où l’envie d’aller vers l’autre
est plus forte que tout le reste
où l’avenir se dessine derrière la porte
où l’amour du prochain demeure intact

Il y a des soirs où le besoin
d’écrire un long poème
est le défi qu’il faut relever
des soirs où la vérité se voit
presque toujours refusée
à ceux qui ont peur du temps

Il y a des soirs où la douceur de vivre
devient plus persistante
que la douleur elle-même
des soirs où le pouvoir est sans pouvoir
des soirs de grand bonheur
des soirs de totale liberté

Il y a des soirs où l’on appuie
sur la plaie pour se réveiller
où l’audace malsaine nous oblige
à nous frotter les yeux
des soirs où l’on se pose
les bonnes les vraies questions

Les victimes présentes
ont besoin de comprendre mieux
besoin de trouver des solutions
Les bourreaux pour leur part
appartiennent au passé
car la violence est sans futur

++++

Cette période ne vaut rien
ou alors pas grand-chose
si on la perd de vue si elle reste muette
C’est une vaste période sans intérêt
car on s’y ennuie très souvent
pour de bonnes ou de mauvaises raisons

Nous le savons depuis longtemps
on ne fait guère fortune
avec les mots du cœur et de l’esprit
même on reste incompris
On voudrait pourtant atteindre
l’autre rive du langage

Rêver ne nous contraint pas forcément
à nous absenter de l’instant présent
à quitter le réel ou à le tordre
Rêver est un acte régénérateur désintéressé
qui libère images paroles et sensations
Rêver peut-être      partout    tout le temps

Rêver encore jusqu’au bout
d’une longue journée d’ivresse
et par une nuit d’hiver sans lune
repeindre le monde aux couleurs
de la plus flamboyante des existences
Rêver éveillé sous le signe du beau temps

Parfois il faut tourner la page oublier
les mots qui blessent qui font scandale
oublier les mots de l’expérience
pourtant inscrite au cœur de la réalité
et à l’épreuve de la vie sans limite
tourner la page d’un livre sans mots

++++

Il y a des soirs où l’on regrette
les heures glorieuses de la jeunesse
où le présent effraie les cœurs tièdes
et réveille les esprits les plus désolés
Il y a des soirs où l’on retrouve
les joies simples de l’enfance engloutie
où les souvenirs sont des navires à quai

Je ne retourne jamais sur mes pas
je ne reviens jamais en arrière
pourtant je n’ai pas abandonné
les paysages qui m’ont vu naître
et je n’ai rien laissé au hasard
Je ne mange pas de ce pain-là

Attention bientôt le printemps
avec un peu d’avance sur l’horaire
bientôt toute la place aux poèmes
Je vous invite à me suivre
jusqu’au bout du jour de la nuit
sur l’une des deux rives du fleuve

Nous allons pouvoir revivre
des heures intenses et singulières
Qu’est-ce qu’une poésie si ce n’est
une offrande     un bonheur ordinaire
une autre  une bien meilleure
façon d’habiter le monde des humains

La planète est malade dit-on
Commençons par la soigner
avec les larmes du poète
ces mots qui nous réconcilient
nous rassemblent et non ces mots
qui tout le temps nous offensent

++++

Et remercions de bon cœur
tous ceux qui nous aident à rendre
la quiétude envisageable sur terre
Remercions le ciel des oiseaux
la beauté immédiate et mortelle
Nous avons toute l’éternité devant nous

Il y a des soirs où le vent se lève
sur les collines d’ici et de là-bas
où nous demeurons au beau milieu
des paysages familiers des Langhe
grands cèdres du Liban et vignobles
soirs d’été et soleils couchants

Alba Asti me reviennent en tête
cités très souvent fréquentées
en famille    depuis l’enfance
Beppe Fenoglio Cesare Pavese
deux noms d’écrivains accrochés
à leurs racines au pays d’origine

C’est un pays que je connais bien
ce sont deux auteurs que j’apprécie
au plus haut point deux figures
de la littérature universelle
Ils m’accompagnent depuis toujours
sur les chemins de l’existence

L’un et l’autre Cesare et Beppe
si je les nomme aujourd’hui volontiers
c’est parce qu’ils témoignent
de quelque chose de plus grand qu’eux
Ils disent ce qu’avec mes mots de poète
j’ai toujours voulu dire en vérité

++++

J’ai voulu dire avant tout l’authenticité
la dureté des mondes antiques et paysans
la résistance multiple à l’oppression
qu’on peut s’exprimer en plusieurs langues
sans pour autant perdre son identité
qu’on peut tout dire en toute clarté

L’un et l’autre Cesare et Beppe
m’ont donné le goût d’une terre
proche de celle de mes ancêtres
du côté maternel et lumineux de la force
Certes je ne suis pas issu des Langhe
mais le Piémont coule dans mon sang

Cesare et Beppe m’ont vu grandir
à la vie et aux plaisirs des sens
Leurs livres pour moi sont devenus
avec le temps des amis chers   des
ouvrages de chevet de prédilection
Leurs livres sont dans mes poches

Pourquoi ce détour par la nostalgie
par la magie de quelques lieux
traversés visités revisités maintes fois
Pourquoi cette descente au fond de soi
parce que mes songes en ce moment
me renvoient à ma condition d’homme

Plus je cours vers mon risque
et moins je vais vers le but fixé
moins j’ai le sentiment d’atteindre
sans peine la fin de l’histoire
Il y a toujours dans l’air quelque chose
d’incertain   de totalement vicié

++++

Pour survivre j’observe le réel
j’amasse des phrases je pèse les mots
un coup ici un coup ailleurs
une fois debout d’autres fois couché
Le temps de ces temps est devenu martial
il y a des soirs où l’instant enfin se révèle

La question a maintes fois été posée
mais aujourd’hui elle revient à la surface
sur le devant de la scène à l’ordre du jour
mais qui sommes-nous donc au fond
Plus le temps passe et moins nous savons
clairement répondre à cette question

Nous ne savons plus qui nous sommes
nous ne savons pas où nous allons
quelle est la bonne direction à prendre
Après deux années de confusion
pandémie confinement couvre-feu
nous sommes livrés à l’inquiétude

C’est pour cela qu’il faut réagir écouter
la voix des anges pas celle des démons
mettre toutes les chances du bon côté
C’est pourquoi nous devons réapprendre
à partager le pain de la tendresse
à goûter toutes et tous aux jours heureux

Je ne supporte plus les paroles néfastes
qui prétendent que tout était mieux hier
qui affirment que demain tout sera pire
Je veux du bonheur par brassées
des cheveux dressés sur les têtes
des yeux dans les yeux des mains offertes

++++

Mon poème est un requiem       une fée
un piège en haute mer     une île désertée
un éclat de rêve        un lendemain chanté
Mon poème réécrit forcément l’histoire
avec sa part d’ombre et de lumière
Mon poème n’est ni aveugle ni sourd

Mon poème est la promesse de l’aube
qui vient  la route du futur   la voie à suivre
Mon poème revendique le droit
au bonheur à la parade nuptiale
Mon poème est communiste et libertaire
Il faut du bruit pour faire le monde

Après minuit les pensées flânent
au bord du fleuve elles volent dans l’air
avant de redescendre sur terre
Tout fait écho à l’histoire des femmes
et des hommes qui peuplent la planète
Même les morts ont maintenant la parole

Quelqu’un récemment m’a dit
c’est toujours le même poème que tu écris
En effet ai-je répondu clairement
je dis toujours la même chose     j’enfonce
mon clou dans la porte et je garde
au fond de moi toute ma force d’exister

++++

Les pensées flottent dans l’air
de nos névroses nous le savons
et je demeure parmi d’autres le penseur
des langues et du langage ordinaires
Tout doit se réinventer tout le temps
moi j’enfonce mon clou dans la porte

Les chemins de mes colères
sont aussi les chemins de la révolte
chemins de la liberté métaphorique
chemins de l’imaginaire et du crime
Nous avons vécu à quelques-uns
plusieurs existences en une seule

Si je n’avais pas rencontré la poésie
à l’adolescence vers quatorze ans
je serais sans doute devenu un voyou
parmi les autres voyous du quartier
Mes fréquentations d’alors avec soin
m’avaient préparé le terrain

Mais j’ai renoncé j’ai préféré lire
écrire penser jouer la comédie
J’ai brûlé les planches et j’ai préféré
aussi les entrées et sorties de scène
les rendez-vous éphémères improbables
J’avais déjà un bel avenir devant moi

À cette époque un homme bienveillant
m’a tendu la main m’a ouvert ses livres
et m’a témoigné de la confiance
L’homme dont je parle porte un nom
propre commun Charles Juliet
Il est l’écrivain admiré l’ami fidèle

++++

Il y a des rencontres qui changent une vie
qui bouleversent le cours de l’existence
Pour ma part j’ai eu la chance de croiser
sur ma route des êtres d’exception
femmes et hommes solitaires et à la fois
profondément tournés vers les autres

C’est grâce à Charles si j’ai connu
Andrée Chedid Christian Bobin
André Velter Jean-Pierre Siméon
D’autres ensuite ont rejoint l’îlot
de fraternité où j’ai bâti mon nid
une maison ancienne désormais

Une demeure peuplée de fantômes
car mon âge avance en même temps
que celui des écrivains côtoyés de près
Certains amis sont déjà partis
d’autres ont considérablement vieilli
ou plus jeunes attendent encore la suite

Le temps nous prend les os
le fond de l’air est changeant
Il y a dans mes pages tout de même
un parfum de grande nouveauté
Mon propos est toujours le même
mais mes mots ont plusieurs peaux

++++

Les étoiles maintenant éclairent la nuit
et un peu plus loin vers le Sud
nous sommes arrivés chez Robert
Ici les lieux nous émeuvent tant
Arles Beaucaire Tarascon Cavaillon
L’hiver s’apaise qui va s’éloigner

J’ai tout dit         cette fois j’ai tout dit
et pourtant je n’ai parlé ni de la mer
ni des montagnes et pas non plus
parlé d’amour seulement de la vie
qui passe la vie dans ses grandes lignes
et aussi de deux ou trois perspectives

Il y a de longs poèmes qui font chavirer
le réel en douceur et qui affirment
quelques vérités souterraines
et finalement tellement nécessaires
au jour blessé d’aujourd’hui
Il y a des poèmes qui réchauffent l’âme

Quelquefois le réel se réinvente
de lui-même    il se fait moins disgracieux
Quelquefois le réel nous aide à retrouver
le goût incroyable de l’existence
Quelquefois le réel se trompe d’adresse
alors il nous faut rebrousser chemin

Alors nous éloigner du monde
le temps d’un instant seulement
Il y a tant de feux qui crépitent
sur cette terre    et tant d’espoirs déçus
Mon souffle n’est pas prêt de s’éteindre
Jamais je n’oublierai l’essentiel

++++

L’essentiel qui est invisible pour les yeux
un écrivain l’a noté dans une page célèbre
car on ne voit bien qu’avec le cœur
Ajoutons-y l’esprit lorsqu’il est éclairé
et nous aurons tout ce qui nous augmente
et résiste en chacun d’entre nous

Maintenant le train du retour chez soi
après un banal morceau d’aventure
Avignon direction Lyon Part-Dieu
Je ne tiens pas la grande forme
ces jours m’ont fortement diminué
mais coûte que coûte je vais continuer

Vénissieux, le 5 février 2022 ; Tarascon, le 19 ;
Cavaillon, le 20 ; Avignon, le 21

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