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barrières des octrois assise par accroc au bord de il y a des objets qui ont la rafale n° 5 un il faut laisser venir madame       la après la lecture de granz fut li colps, li dux en suite du blasphème de sommaire ► page suivante à yvon « oui, le 28 novembre, mise en ligne page suivante ► page antoine simon 33 ajout de fichiers sons dans sommaire ► page suivante Éditeur : la diane ici, les choses les plus   est-ce que   la baie des anges   en grec, morías bribes en ligne a   voici donc la pour alain borer le 26 d’abord l’échange des pour pierre theunissen la jusqu’à il y a douze (se fait terre se sans être grand madame a des odeurs sauvages la rencontre d’une en guise    regardant alocco peinture en page suivante ► page aller à l’échange sur       je       l’ vertige. une distance pas de pluie pour venir les terrasses abandonnées aller à la bribe suivante  au travers de toi je   À léon-gontran posté sur facebook sorti de (la numérotation des voici des œuvres qui, le aux george(s) (s est la bal kanique c’est       je fais depuis ce jour, le site ainsi alfred…       juin petits rien 4 et 5 (env. 7cm À perte de vue, la houle des madame est une torche. elle vers le sommaire des recueils sainte marie, quelques photos de pa(i)smeisuns en est venuz       midi tout en vérifiant rafale la poésie, à la pour robert toute trace fait sens. que cristina de simone : le rafale n° 7 un sommaire ► page suivante       dans on cheval         or que reste-t-il de la accéder au texte en cliquant       en le tissu d’acier page suivante ► page d’abord un curieux on n’écrit qu’un page suivante page antoine simon 12 les carnets éclaboussés 1     ton plaisir       l’ toutes sortes de papiers, sur textes mis en ligne en vers jean-jacques, peintre peinture de rimes. le texte "a cannes, propos de table sommaire ► page suivante n’ayant pas dernier vers aoi un titre : il infuse sa l’instant, celui qui ne tout le problème j’ai changé le le chêne de dodonne (i) il ne s’agit pas de c’est seulement 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THIERRY RENARD

L’urgence du réel
© Thierry Renard
Publication en ligne : 4 mars 2022

« Les lumières de la ville qui obscurcissent le ciel nous empêchent d’admirer la Voie lactée. »

Régis Debray, Éclats de rire


Il y a des soirs où le jour
se lève dans le cœur
où l’envie d’aller vers l’autre
est plus forte que tout le reste
où l’avenir se dessine derrière la porte
où l’amour du prochain demeure intact

Il y a des soirs où le besoin
d’écrire un long poème
est le défi qu’il faut relever
des soirs où la vérité se voit
presque toujours refusée
à ceux qui ont peur du temps

Il y a des soirs où la douceur de vivre
devient plus persistante
que la douleur elle-même
des soirs où le pouvoir est sans pouvoir
des soirs de grand bonheur
des soirs de totale liberté

Il y a des soirs où l’on appuie
sur la plaie pour se réveiller
où l’audace malsaine nous oblige
à nous frotter les yeux
des soirs où l’on se pose
les bonnes les vraies questions

Les victimes présentes
ont besoin de comprendre mieux
besoin de trouver des solutions
Les bourreaux pour leur part
appartiennent au passé
car la violence est sans futur

++++

Cette période ne vaut rien
ou alors pas grand-chose
si on la perd de vue si elle reste muette
C’est une vaste période sans intérêt
car on s’y ennuie très souvent
pour de bonnes ou de mauvaises raisons

Nous le savons depuis longtemps
on ne fait guère fortune
avec les mots du cœur et de l’esprit
même on reste incompris
On voudrait pourtant atteindre
l’autre rive du langage

Rêver ne nous contraint pas forcément
à nous absenter de l’instant présent
à quitter le réel ou à le tordre
Rêver est un acte régénérateur désintéressé
qui libère images paroles et sensations
Rêver peut-être      partout    tout le temps

Rêver encore jusqu’au bout
d’une longue journée d’ivresse
et par une nuit d’hiver sans lune
repeindre le monde aux couleurs
de la plus flamboyante des existences
Rêver éveillé sous le signe du beau temps

Parfois il faut tourner la page oublier
les mots qui blessent qui font scandale
oublier les mots de l’expérience
pourtant inscrite au cœur de la réalité
et à l’épreuve de la vie sans limite
tourner la page d’un livre sans mots

++++

Il y a des soirs où l’on regrette
les heures glorieuses de la jeunesse
où le présent effraie les cœurs tièdes
et réveille les esprits les plus désolés
Il y a des soirs où l’on retrouve
les joies simples de l’enfance engloutie
où les souvenirs sont des navires à quai

Je ne retourne jamais sur mes pas
je ne reviens jamais en arrière
pourtant je n’ai pas abandonné
les paysages qui m’ont vu naître
et je n’ai rien laissé au hasard
Je ne mange pas de ce pain-là

Attention bientôt le printemps
avec un peu d’avance sur l’horaire
bientôt toute la place aux poèmes
Je vous invite à me suivre
jusqu’au bout du jour de la nuit
sur l’une des deux rives du fleuve

Nous allons pouvoir revivre
des heures intenses et singulières
Qu’est-ce qu’une poésie si ce n’est
une offrande     un bonheur ordinaire
une autre  une bien meilleure
façon d’habiter le monde des humains

La planète est malade dit-on
Commençons par la soigner
avec les larmes du poète
ces mots qui nous réconcilient
nous rassemblent et non ces mots
qui tout le temps nous offensent

++++

Et remercions de bon cœur
tous ceux qui nous aident à rendre
la quiétude envisageable sur terre
Remercions le ciel des oiseaux
la beauté immédiate et mortelle
Nous avons toute l’éternité devant nous

Il y a des soirs où le vent se lève
sur les collines d’ici et de là-bas
où nous demeurons au beau milieu
des paysages familiers des Langhe
grands cèdres du Liban et vignobles
soirs d’été et soleils couchants

Alba Asti me reviennent en tête
cités très souvent fréquentées
en famille    depuis l’enfance
Beppe Fenoglio Cesare Pavese
deux noms d’écrivains accrochés
à leurs racines au pays d’origine

C’est un pays que je connais bien
ce sont deux auteurs que j’apprécie
au plus haut point deux figures
de la littérature universelle
Ils m’accompagnent depuis toujours
sur les chemins de l’existence

L’un et l’autre Cesare et Beppe
si je les nomme aujourd’hui volontiers
c’est parce qu’ils témoignent
de quelque chose de plus grand qu’eux
Ils disent ce qu’avec mes mots de poète
j’ai toujours voulu dire en vérité

++++

J’ai voulu dire avant tout l’authenticité
la dureté des mondes antiques et paysans
la résistance multiple à l’oppression
qu’on peut s’exprimer en plusieurs langues
sans pour autant perdre son identité
qu’on peut tout dire en toute clarté

L’un et l’autre Cesare et Beppe
m’ont donné le goût d’une terre
proche de celle de mes ancêtres
du côté maternel et lumineux de la force
Certes je ne suis pas issu des Langhe
mais le Piémont coule dans mon sang

Cesare et Beppe m’ont vu grandir
à la vie et aux plaisirs des sens
Leurs livres pour moi sont devenus
avec le temps des amis chers   des
ouvrages de chevet de prédilection
Leurs livres sont dans mes poches

Pourquoi ce détour par la nostalgie
par la magie de quelques lieux
traversés visités revisités maintes fois
Pourquoi cette descente au fond de soi
parce que mes songes en ce moment
me renvoient à ma condition d’homme

Plus je cours vers mon risque
et moins je vais vers le but fixé
moins j’ai le sentiment d’atteindre
sans peine la fin de l’histoire
Il y a toujours dans l’air quelque chose
d’incertain   de totalement vicié

++++

Pour survivre j’observe le réel
j’amasse des phrases je pèse les mots
un coup ici un coup ailleurs
une fois debout d’autres fois couché
Le temps de ces temps est devenu martial
il y a des soirs où l’instant enfin se révèle

La question a maintes fois été posée
mais aujourd’hui elle revient à la surface
sur le devant de la scène à l’ordre du jour
mais qui sommes-nous donc au fond
Plus le temps passe et moins nous savons
clairement répondre à cette question

Nous ne savons plus qui nous sommes
nous ne savons pas où nous allons
quelle est la bonne direction à prendre
Après deux années de confusion
pandémie confinement couvre-feu
nous sommes livrés à l’inquiétude

C’est pour cela qu’il faut réagir écouter
la voix des anges pas celle des démons
mettre toutes les chances du bon côté
C’est pourquoi nous devons réapprendre
à partager le pain de la tendresse
à goûter toutes et tous aux jours heureux

Je ne supporte plus les paroles néfastes
qui prétendent que tout était mieux hier
qui affirment que demain tout sera pire
Je veux du bonheur par brassées
des cheveux dressés sur les têtes
des yeux dans les yeux des mains offertes

++++

Mon poème est un requiem       une fée
un piège en haute mer     une île désertée
un éclat de rêve        un lendemain chanté
Mon poème réécrit forcément l’histoire
avec sa part d’ombre et de lumière
Mon poème n’est ni aveugle ni sourd

Mon poème est la promesse de l’aube
qui vient  la route du futur   la voie à suivre
Mon poème revendique le droit
au bonheur à la parade nuptiale
Mon poème est communiste et libertaire
Il faut du bruit pour faire le monde

Après minuit les pensées flânent
au bord du fleuve elles volent dans l’air
avant de redescendre sur terre
Tout fait écho à l’histoire des femmes
et des hommes qui peuplent la planète
Même les morts ont maintenant la parole

Quelqu’un récemment m’a dit
c’est toujours le même poème que tu écris
En effet ai-je répondu clairement
je dis toujours la même chose     j’enfonce
mon clou dans la porte et je garde
au fond de moi toute ma force d’exister

++++

Les pensées flottent dans l’air
de nos névroses nous le savons
et je demeure parmi d’autres le penseur
des langues et du langage ordinaires
Tout doit se réinventer tout le temps
moi j’enfonce mon clou dans la porte

Les chemins de mes colères
sont aussi les chemins de la révolte
chemins de la liberté métaphorique
chemins de l’imaginaire et du crime
Nous avons vécu à quelques-uns
plusieurs existences en une seule

Si je n’avais pas rencontré la poésie
à l’adolescence vers quatorze ans
je serais sans doute devenu un voyou
parmi les autres voyous du quartier
Mes fréquentations d’alors avec soin
m’avaient préparé le terrain

Mais j’ai renoncé j’ai préféré lire
écrire penser jouer la comédie
J’ai brûlé les planches et j’ai préféré
aussi les entrées et sorties de scène
les rendez-vous éphémères improbables
J’avais déjà un bel avenir devant moi

À cette époque un homme bienveillant
m’a tendu la main m’a ouvert ses livres
et m’a témoigné de la confiance
L’homme dont je parle porte un nom
propre commun Charles Juliet
Il est l’écrivain admiré l’ami fidèle

++++

Il y a des rencontres qui changent une vie
qui bouleversent le cours de l’existence
Pour ma part j’ai eu la chance de croiser
sur ma route des êtres d’exception
femmes et hommes solitaires et à la fois
profondément tournés vers les autres

C’est grâce à Charles si j’ai connu
Andrée Chedid Christian Bobin
André Velter Jean-Pierre Siméon
D’autres ensuite ont rejoint l’îlot
de fraternité où j’ai bâti mon nid
une maison ancienne désormais

Une demeure peuplée de fantômes
car mon âge avance en même temps
que celui des écrivains côtoyés de près
Certains amis sont déjà partis
d’autres ont considérablement vieilli
ou plus jeunes attendent encore la suite

Le temps nous prend les os
le fond de l’air est changeant
Il y a dans mes pages tout de même
un parfum de grande nouveauté
Mon propos est toujours le même
mais mes mots ont plusieurs peaux

++++

Les étoiles maintenant éclairent la nuit
et un peu plus loin vers le Sud
nous sommes arrivés chez Robert
Ici les lieux nous émeuvent tant
Arles Beaucaire Tarascon Cavaillon
L’hiver s’apaise qui va s’éloigner

J’ai tout dit         cette fois j’ai tout dit
et pourtant je n’ai parlé ni de la mer
ni des montagnes et pas non plus
parlé d’amour seulement de la vie
qui passe la vie dans ses grandes lignes
et aussi de deux ou trois perspectives

Il y a de longs poèmes qui font chavirer
le réel en douceur et qui affirment
quelques vérités souterraines
et finalement tellement nécessaires
au jour blessé d’aujourd’hui
Il y a des poèmes qui réchauffent l’âme

Quelquefois le réel se réinvente
de lui-même    il se fait moins disgracieux
Quelquefois le réel nous aide à retrouver
le goût incroyable de l’existence
Quelquefois le réel se trompe d’adresse
alors il nous faut rebrousser chemin

Alors nous éloigner du monde
le temps d’un instant seulement
Il y a tant de feux qui crépitent
sur cette terre    et tant d’espoirs déçus
Mon souffle n’est pas prêt de s’éteindre
Jamais je n’oublierai l’essentiel

++++

L’essentiel qui est invisible pour les yeux
un écrivain l’a noté dans une page célèbre
car on ne voit bien qu’avec le cœur
Ajoutons-y l’esprit lorsqu’il est éclairé
et nous aurons tout ce qui nous augmente
et résiste en chacun d’entre nous

Maintenant le train du retour chez soi
après un banal morceau d’aventure
Avignon direction Lyon Part-Dieu
Je ne tiens pas la grande forme
ces jours m’ont fortement diminué
mais coûte que coûte je vais continuer

Vénissieux, le 5 février 2022 ; Tarascon, le 19 ;
Cavaillon, le 20 ; Avignon, le 21

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