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Article présent dans les rubriques : À propos de R. Monticelli / Glück Michaël / Textes critiques /

MARCEL ALOCCO

Livres d’ici et d’ailleurs
© Marcel Alocco
Publication en ligne : 5 février 2022
/ article dans revue

Cet article est paru dans la Revue PerformArts N°2, 2006


Le rideau (Gallimard 2005) de Milan Kundera m’agite. « Essai en sept parties », indique-t-il, pour ce qui serait plutôt un cours de prof au fil de la plume sur le genre dit « le roman », orné ici et là des réflexions d’un romancier qui sait, bien sûr, ce qu’est le roman. Sauf que peut-être « le roman » n’existe pas. Oui, il y a des écriveurs de « romances », qui remplissent les cases vacantes d’un des modèles périmés depuis qu’ils n’ont servi chacun qu’une fois, à Cervantès, à Balzac, à Proust… Et puis il existe de plus rares écrivains qui ne font pas « du roman », mais écrivent leur texte. Le jeu des « genres » est exercice de marchands ou de bibliothécaires, il pose l’étiquette qui permet vente et classement. Le créateur, lui, ne sait jamais quel monstre va naître de son travail. Ce qui lui importe, c’est de faire passer du sens, c’est-à-dire trouver une forme qui parviendra à l’efficace de sa langue, toujours à renouveler, au pouvoir de dire ou poème. Car selon l’étymologie tout écrit efficace est « pouvoir-poème » (ce que Homère ou Turoldus racontaient, et ils savaient bien que c’était du « pouvoir »). Un écrit sans effet ne serait que bruits de langue et de vent. L’écrivain s’affronte au temps, à la mémoire dont nous savons maintenant qu’elle n’est pas disque dur mais, comme dans la fosse le compost, déchets de vie qui travaillent à la fertilité à venir. Je m’étonne aussi que Kundera, qui repère son discours sur des écrivains pilotis comme Rabelais et Apollinaire, ne dise mot de Montaigne ni de Laforgue, créateurs de formes s’il en est.
Lorsque j’ai entre les mains le petit recueil Jour un de Michaël Glück, (L’amourier éd. 1996) le premier des sept livres composant Dans la suite des jours, il me semble parcourir dans la sèche rudesse de l’épure le plan d’un ouvrage en projet. Mais quand je parcours la page du même auteur que publie le Basilic de décembre 2005, intitulée Quel tigre de papier vous a donc dévoré ? « extrait d’un recueil de nouvelles en cours d’écriture » j’entre de plein pied dans le texte, le tigre de papier plante ses canines dans mon attention, je vais jusqu’au bout et me manque la suite, à paraître me dit-on sous le titre Petites passions. Un dire a trouvé sa forme efficace, comme Montaigne avec ses Essais tâtonnait les formes d’un auto-roman baroque qui tente de raconter comment ça fonctionne Michel et le monde qui l’entoure. Lui, le code à barreaux, connaît pas.
Combat avec la forme qui donne un monstre nouveau, des entrées surprises et des sorties dérobées, Bribes tirées de la mort de Dom Juan de Raphaël Monticelli (L’Amourier éd.) n’est pas un roman (quoique…) un récit (bien que…) du théâtre (si ce n’est que…) un essai (mais cependant…) ni des carnets si l’on entendait notes qui auraient apparences et contenus de brouillons. Ce pourrait être aussi des Carnets, mais alors dans le style magique, façon P. Valéry, vous savez, que tout épaté lisant on se dit « Certainement y-a-un-truc ». Une écriture et une prise en compte de l’espace qui traduisent des racines littéraires avouées, mais aussi une réflexion sur les arts plastiques contemporains que Raphaël Monticelli, on le sait, analyse depuis la fin des années soixante. La voix de l’auteur, dans le C.D. qui accompagne cette édition, lors les derniers chapitres met en scène un contexte sonore d’étranges échos qui interprètent une mise en page de textes marginaux mystérieusement impressionnants et qu’on avait cru illisibles.
Bribes… mais heureuses tentatives, heureusement malheureuses, de nouer le tout en une pelote. Le fil tend, le fil casse. Les bribes flottent, comme des îles. Cependant Ulysse fait chemin, y reconnaît des paysages, si familiers. Chemin familier car déjà lorsque le grand-père de tradition orale récite, ce qu’un aïeul sans doute lui enseigna, la poésie italienne naissante prend racine dans la mémoire. Ainsi à la relecture, en possession enfin des quatre minces volumes – division qui contribue à accentuer le non-lieu littéraire de l’objet – s’impose, si j’ose cet étrange assemblage, une unité de dispersion. Ces bribes, matériaux donnés comme en vrac, sont liées par la présence continue des histoires, (la grande et souterraine Académique et aussi les locales ou familiales tout autant inventives ou inventées), non que ça raconte (bien sûr ça raconte aussi) mais les grands textes (Homère, La Bible, et plus insolite La Chanson de Roland, et si je triche, un peu, je dirais que Dante, Cervantès et autres ne sont pas absents) les grands textes tissent un fond de scène devant lequel se déplace un voyageur (modèle Ulysse, mais aussi Dante, et Moïse et Josué, et Dom Quichotte…) Serait-ce donc un récit de voyage ? Nous sommes aussi dans le roman picaresque avec sa multitude de tiroirs et de fils qui nous emmêlent autant qu’ils se tissent. Sauf que l’itinéraire n’avance guère selon notre tradition géographique, il serait plutôt rêve de spéléologue… Nous voici explorant des gouffres, mais dans l’angoisse d’ignorer l’entre-deux encore plus nocturne. Miroir, mon beau miroir… Est-ce donc de moi qu’ici je parle ? Ce serait du monde une conception tâtonnée, quelque chose qui aurait à voir avec au bout une naissance toujours espérée, toujours à venir. Une gestation malhabile (nous manquons d’expérience : on ne se fait naître qu’une fois) mais telle qu’en ses textes Raphaël Monticelli vieux routier d’écriture la construit, à ruses et malices d’architecte. Nous serions errants, et il y aurait toujours un manque, un creux, une caverne, un gouffre… Une demande d’un effet d’écriture. Mais où donc le cinquième volume… ?

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