BRIBES EN LIGNE
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je grande lune pourpre dont les mais non, mais non, tu 1 au retour au moment g. duchêne, écriture le       fleurett le 26 août 1887, depuis c’était une très jeune eurydice toujours nue à essai de nécrologie, il semble possible lire la réponse de michel le tissu d’acier la bouche pleine de bulles centre georges 1. passera-t-on par l’eau a-t-on remarqué à quel haut var ► brec       reine chers élèves du collège "la musique, c’est le trois (mon souffle au matin lire le texte naviguer dans le bazar de ce poème est tiré du la musique est le parfum de antoine simon 30 le franchissement des a christiane les photos et archives page suivante ► page à propos des grands       dé c’est une sorte de tout mon petit univers en pour accéder au texte au page suivante ► page dans un coin de nice,       apr&egra premier vers aoi dernier page précédente retour       ( voir les œufs de bernard dejonghe... depuis page d’accueil de vers le sommaire des recueils rafale n° 3 des       parfois pour julius baltazar 1 le page suivante ► nous au centre des quartiers de les terrasses abandonnées la terre a souvent tremblé       bâ là-bas, dans le pays des       enfant       à jean dubuffet : honneur quando me ne so itu pe mougins. décembre exposition de la série     sur la pente page précédente page neuf j’implore en vain exode, 16, 1-5 toute dernier vers s’il cet article est paru les éditions de la passe du ► les mots du désir à page suivante ► page aller à la liste des oui la la vie humble chez les petit souvenir       rampant démodocos... Ça a bien un vers le sommaire des recueils on n’écrit qu’un       pass&eac pour accéder au texte, "tu sais ce que c’est marché ou souk ou alocco en patchworck © frères et sophie calle à beaubourg... deus li otreit (la sue) effrayante humilité de ces napolì napolì les embrassées , cantilène pour frédéric tout en travaillant sur les À venise je dispose, sur le (elle entretenait       tourneso si tu es étudiant en ils s’étaient page suivante ► page les plus vieilles préparer le ciel i j’ai changé le antoine simon 18 si vous entendez le lac vue à la villa tamaris d’abord quelques je crie la rue mue douleur sous ce titre inspiré de la ce qu’un paysage peut un besoin de couper comme de dans ce périlleux textes mis en ligne en le chêne de dodonne (i) la parol

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MARCEL ALOCCO

J’entends : "Où est le bec ?"
© Marcel Alocco

Pêle-mêle n° 6 et 9

Publication en ligne : 9 janvier 2022
/ article dans revue

Voici deux articles parus dans la revue culturelle "La Strada" (largement diffusée dans le sud-est), et parus en fin d’année 2001. Il y a vingt ans. Leur sujet : le dernier livre de Houellebecq paru cette année-là, chez Flammarion, Plateforme. Le premier article, du mois d’octobre, est polémique et ne manque pas d’humour. Il a déclenché une lettre -polémique et sans humour- d’un lecteur désigné sous les initiales S.P. À ce jour, lLa lettre de S.P. n’a pas été retrouvée dans les archives . Il reste de la polémique le deuxième article qui paraît en décembre de cette même année en réponse à S.P.


La Strada n° 27, octobre 2001

Vu à la télé. Le Houellebecq de la pub. Le Michel. Chez Guillaume Durand. Les yeux dans le vague, sa déclaration la plus fracassante extirpée au tire-bouchon : « Heu... Je suis d’accord avec ce que vous dites... ». Pas de pensée. Faudrait pour cela émettre au moins une idée. Une, même petite. Mais rien. Et à plat ventre devant les 350.000 exemplaires vendus, des soi-disant « critiques » qui le sont si peu que tous terminent leur plat ou fantasmatique vide discours d’un « C’est un grand livre », ou encore « Le premier livre qui... ». Même celui qui fait pourtant d’énormes réserves. Mal écrit, mal composé, propos de comptoir du Café du commerce (mais « les brèves » sont beaucoup plus drôles et instructives) : difficile pour le vrai lecteur de ne pas abandonner en route... Me tombent des mains ces ouvrages. Sur la centaine de bouquins que bon an mal an je lis, à peine s’il en est trois que je ne parviens pas à terminer : on ne sait jamais, si par hasard la dernière page... Je suis un optimiste, moi. Mais là, vraiment ! J’avais lu entièrement, sans sauter une ligne, « Les particules élémentaires ». (A travers Lacan, curieux, on pouvait entendre : « les parties-culs et les menteurs » de « où est le bec ») Ouais, ouais. J’ai du mérite, comme disait mon oncle.
Dans le Dimanche magazine (Nice Matin du 9 septembre) trois quarts de page pour le sombre monsieur. Jacques Gantié, consterné, expose « bafouillage » et « morne plaine », que c’est, dit-il, « beaucoup de bruit pour rien ». Allons, faut pas se laisser désespérer ! Promis, à l’occasion nous boirons, bons pour le moral, un verre de Bellet ou de Saint-Jeannet à nos santés.
Georges Bertolino devra lui me payer un verre si nous nous rencontrons et s’il veut que je lui pardonne ses inqualifiables propos : « Voyages orgasmisés » qu’il titre. Ceux que la Houellebecq attitude fait bander, garanti, leur priapisme ne doit rien au texte. N’auront pas besoin de Viagra pour encore longtemps. Qu’ils prennent un calmant et consultent. C’est grave mais ça se soigne, paraît-il. L’article « orgasmisé » est pourtant très mesuré, jusqu’au... dérapage : Non, mais ! se permettre, je ne dirais pas de comparer ce fabricant de gadget éditorial, même en le minorant, mais de le rapprocher de Céline, Céline cette fripouille (hélas, hélas) géniale (hélas ! Encore hélas !) ou de Perec, sympathique ludique acrobate au regard perforant, non, mais... Lisez à la suite une page de chacun des trois, et vous verrez la différence comme dit la lessive.
Oui, allez chez votre libraire, lisez une page au hasard de « Plateforme » (Plate-forme ? aime les jeux de mots, cet homme ?) Pensez à cette petite forêt coupée pour le papier des 500.000 gros exemplaires prévisibles, et au charmant petit ruisseau pollué... Attention de ne pas vomir sur le livre, vous seriez obligé par courtoisie de l’acheter. Mieux vaut jeter ses 131 F 20 (Prix étrange : ça doit faire un chiffre rond en Euro, non ?) dans la première poubelle venue, ou mieux les donner à Amnisty International qui nous protégera des tortionnaires prévus. Dire que ces derniers mois j’ai râlé après les Marie Darrieussecq, Amélie Nothomb, Françoise Laurent, Christine Angot, Catherine M.(illet) et fait des réserves sur leurs livres plus que lisibles ! Tu vires macho, Marcel ? Il sera beaucoup pardonné à G. Bertolino qui a, lui, fait remarquer que « les sujets tabous, en France du moins, les auteurs-femmes paraissaient seules vraiment les conjuguer à la première personne du singulier ». Nous boirons donc le verre de l’amitié... et avec elles, si ELLES le veulent !... Continuons le combat, mes sœurs !

[ P-S : Je terminais ici cet article début septembre, accordant à ce débat quelque intérêt, le traitant d’humour à défaut d’amour. Depuis, il y a eu le septembre noir de N.Y. et de Toulouse. Ceux pour qui le tourisme sexuel et sa littéraire vulgarisation bénéfique étaient significatifs de la mondialisation l’ont eu dans le... disjoncteur. Michel et les autres, le doigt dans l’œil jusqu’à l’épaule. Si vous voulez jouer aux grands penseurs philosophico-géo-politicards, faudra trouver autre chose. Ce qui n’empêche, mes sœurs : Continuons... ]

++++
La Strada n°29 décembre 2001

Que j’ai aussi au moins un lecteur :

S.P. de Vence contre Bourdieu et Lacan

J’avais dit que je n’en parlerai plus. Mais « Un acteur des médias culturels locaux » écrit à La Strada, à propos de « l’article ridicule » intitulé « J’entends... Où est le bec ? », « ramassis de bêtises et de contre vérités », « débile » etc. Ce monsieur S.P. prend la mouche de ce que je profite de l’écrasante mondiale influence de La Strada pour m’attaquer à M.H. qui n’a bénéficié que du faible soutien du Monde, du Nouvel Observateur, du Figaro, de l’Express etc.. Vous pouvez citer au hasard dans tout l’éventail. Me fait dire ce que je n’ai jamais écrit (procédé un peu stal. années cinquante, non ?) : Dostoïevski ? Bourdieu ? Noms absents dans cet article. A-t-il seulement lu ce texte ? Car où, sinon dans ses cauchemars, a-t-il vu aussi que « il (Alocco) dit détester tout ce qui se fait de mieux de nos jours comme Marie Darrieussecq ou Christine Angot » ? Détester ? J’écris d’elles avoir « fait des réserves sur leurs livres plus que lisibles » et de Ch. Angot (n°24) : « ça ne manque pas de tripes, l’écriture accroche » et « va peut-être finir par avoir vraiment du talent ». Elles étaient parmi mes invitées, avec Amélie Nothomb, Françoise Laurent, Catherine Millet, et (ce qui serait selon ce monsieur, le plus abominable) « un journaliste de Nice Matin », à boire à l’occasion un verre de Bellet ou de St. Jeannet (allongé, avec modération, d’un doigt d’humour). Je suis, moi, œcuménique au point d’inviter non pas un mais deux journalistes de Nice Matin, ce qui le rend furieux semble-t-il. Quelle aurait été sa ire si j’avais écrit à l’une de ces dames : « Va, je ne te hais point » ? On ne peut guère détester Angot et Darrieussecq, elles sont tout au plus agaçantes, mais S.P fait fort qui parvient à mépriser deux des pensées les plus originales des cinquante années écoulées. « Lacan ou Bourdieu, j’ai rarement rien lu d’aussi imbuvable et horriblement prétentieux » dit-il. (Le « rarement rien » est savoureux) Merci, en les évoquant à mon propos, de m’assimiler à ces penseurs. Je ne me vante pas d’avoir tout compris ni tout approuvé de leurs écrits, mais j’avoue les avoir lus, et en avoir beaucoup appris. Beaucoup appris aussi de ceux qui, dans la première moitié du siècle dernier, avaient le courage de payer cher d’écrire sur divers sujets qui sont devenus aujourd’hui petits scandales de publicitaires à exciter les ventes : Sur divers terrains, André Gide, Oscar Wilde, Henry Miller, et d’autres ; Anaïs Nin, Colette (de Willy), des que j’oublie. Et Pauline Réage et Violette Leduc, et Albertine Sarrazin, et, là je suis limite ringard, Georges Bernanos, Albert Camus, etc, et même Jules Renard qui en sortait de bien bonnes, à ne pas se faire que des amis... tous avec un certain humour, vous remarquez ? Et j’oubliais la Beauvoir, tiens, quoiqu’elle ait socio-philosophiquement empaqueté son discours seulement une dizaine d’années avant que nos élus « prennent acte de l’évolution des mœurs ». Un certain panache quand même.

Quant à argumenter que M.H. annonçait de façon prémonitoire un attentat intégriste, S.P. n’a évidemment pas lu les journaux cette dernière décennie ? Avions explosés en vol, métro de Paris, bombes dans les rues, contre les T.G.V... (et je passe sur toute la littérature science-fiction ou fantastique du XX° siècle). Ce n’est pas de la prévision, monsieur, c’est de l’Histoire. Prenez garde que, à être le détenteur de la Vérité et à faire de votre idole un prophète, vous n’aboutissiez à créer la vraie religion la plus con du monde. Passons sur les allusions (fondées sur quoi ?) à mon idéologie. Je me contente d’être citoyen d’une société qui a la chance d’être encore tant bien que mal parmi les plus démocratiques. (Cf. W. Churchill). On m’a enseigné en sa républicaine école laïque à toujours considérer un adversaire comme une personne respectable, intelligente et honnête. Essayez, c’est pas tous les jours facile ! Je crois que Mmes Darrieussecq et Angot et même M.H. sont de taille à se défendre sans le secours d’un S.P. (de Vence). Christine A. est, elle, assez maso pour écrire et pour apprécier l’humour, l’ironie, et les coups de fouets de l’écriture. J’en déduis qu’il manque seulement au très intelligent détenteur de vérité S.P. un poil d’humour... ou bien quelques siècles et une vingtaine d’années de culture ? A moins qu’il n’ait essayé, suivant la méthode agressive exploitée par son maître vénéré, de se faire un peu de publicité à nos dépens ? Raté. Si S.P. estime ses dires mériter publication, ses « médias locaux » qu’il active sauront, je n’en doute pas, accueillir son talent « bénévole ». Vont pas censurer leur « acteur », quand même ? Voltaire aurait dit : « Je déteste vos idées, mais je suis prêt à mourir pour votre droit de les exprimer ».

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