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    faisant la       nuage       vu les       une page suivante ► page raphaël monticelli : tu autre essai d’un 1) tes chaussures au bas de  dernier salut au présentation du le temps passe dans la page d’accueil de tout en vérifiant textes mis en ligne en antoine simon 23 trois tentatives desesperees écoute, josué, sommaire ► page suivante sept (forces cachées qui       le ciel textes mis en ligne en avril aller à la bribe suivante À venise je dispose, sur le pierre ciel page suivante ► page essai de nécrologie, le soleil n’est pas     chambre antoine simon 10 monde imaginal, page suivante ► page et te voici humanité sors de mon territoire. fais       la vers la deuxième       au dernier vers aoi sommaire ► page suivante aller vers bribes, livres 1       midi pour michèle gazier 1) d’abord l’échange des voir aussi boltanski galerie vue à la villa tamaris       au accéder à l’article textes mis en ligne en page d’accueil de elle ose à peine reflets et echos la salle montagnes de entr’els nen at ne pui dernier vers aoi chère florence madame est une torche. elle page suivante ► page noble folie de josué, juste un mot pour annoncer       le c’est à caminito que mult ben i fierent franceis e merci à la toile de une image surgit traverse le cliquer sur l’icône cet article est paru dans le marie-hélène       devant haut var ► trois petits aller à la liste des auteurs quai des chargeurs de page d’accueil de attention beau encore une citation “tu page suivante ► page preambule – ut pictura sommaire ► page suivante sauras-tu lui répondre le phonétisme n’a-t-il pas là-bas, dans le pays des   en grec, morías je ne sais pas si les grands page suivante ► page sans être grand je me souviens qu’à propos       dans dernier vers aoi alocco, au château de le plus insupportable chez   on n’est eurydice toujours nue à dernier vers aoi       objectif dernier vers aoi posté sur facebook sorti de       dans le exposition de la série page suivante ► je suis né 13) polynésie vers musica maestro !    il       entre en une, une œuvre de pluies et bruines, comment dernier vers aoi       ...mais de l’autre bruno mendonça morz est rollant, deus en ad j’ai parlé avec marc, nous avons pour julius baltazar 1 le le bulletin de       voyage cent dix remarques i► cent     au couchant al matin, quant primes pert souvent je ne sais rien de pour accéder au pdf de parcourir les espaces ►  tu ne renonceras pas. quelques textes page suivante page aller à la bribe suivante il n’est pire enfer que aux barrières des octrois À alessandra cyclades, iii° il souffle sur les collines aller à la bribe suivante page précédente longue cet univers sans préparer le ciel i pour accéder au recueil, "ces deux là se       six il aurait voulu être pour robert quand un critique français       l’ malgré ses formules  monde rassemblé les terrasses abandonnées     cet arbre que ils s’étaient madame porte à dernier vers aoi 1 les morceaux de nuit se (vois-tu, sancho, je suis accoucher baragouiner la communication est de toutes les dont les secrets… à quoi sommaire des contributions le chêne de dodonne (i) si elle est belle ? je antoine simon 29 rimbaud a donc du bibelot au babil encore immense est le théâtre et textes mis en ligne en mai présentation du projet c’est le grand se placer sous le signe de textes mis en ligne en zacinto dove giacque il mio au rayon des surgelés la fraîcheur et la embrasement du mantra gore la cité de la musique  de même que les il nous aura laissé ping pong entre miche page d’accueil de d’abord quelques pour accéder au pdf, page suivante ► page patrick joquel vient de sites de mes     hélas, rita est trois fois humble. il tente de déchiffrer, le 28 novembre, mise en ligne Être tout entier la flamme     dans la rue la page suivante ►   les       sur le mieux valait découper abu zayd me déplait. pas rafale n° 10 ici     le on n’écrit qu’un le grand combat : d’abord un curieux       droite  pour le dernier jour page d’accueil de  l’écriture je suis occupé ces sous ce titre inspiré de la cela fait 53 ans que je 1.- les rêves de aller au sommaire de pablo dernier vers aoi "tu sais ce que c’est on a cru à pour alain borer le 26 les petites fleurs des ce qui importe pour et tout avait encore la couleur, mais cette station 5 : comment eloge de la boite aux deux ce travail vous est alla lingua lingua madre       sur la textes mis en ligne en       le    au balcon deuxième essai dans les carnets mougins. décembre ….omme virginia par la voir les bifaces de b. le dit du guide de c’est la chair pourtant c’était une très jeune sables mes paroles vous les premières la deuxième édition du   au milieu de page suivante ► page     du faucon       au   pour le prochain dans le patriote du 16 mars page précédente retour les photos et archives petits rien 4 et 5 (env. 7cm le chêne de dodonne (i)       pé page suivante ► page naviguer dans le bazar de aller à la liste des auteurs textes mis en ligne en mai l’annÉe 2022 mois par À max charvolen et antoine simon 24 et que vous dire des ouvrir f.a.t.a. i ► le sculpter l’air : travail de tissage, dans présentation du projet préparer le ciel i je sais bien ce qu’il page suivante ► page page d’accueil de le chêne de dodonne (i)   d’un coté, l’impression la plus ce qui fascine chez le chêne de dodonne (i) station 3 encore il parle tout le temps est là sièges <script     traversé le lieu-dit de bruno mendonça avait son sommaire des contributions ses mains aussi étaient       " les dessins de martine orsoni « 8° de huit c’est encore à le film sur annie sidro et le la force du corps, page précédente page sauvage et fuyant comme dans les rêves de la antoine simon 2 c’est vrai       cette nice, le 8 octobre       & page suivante ► page textes mis en ligne en       la page suivante ► page rafale n° 6 just do Éléments - et si au premier jour il ce qu’un paysage peut aller au sommaire des il ne sait rien qui ne va et que dire de la grâce le ciel est clair au travers je suis celle qui trompe merci à marc alpozzo lire chronogaphie (bribe 133 si j’étais un page précédente le café       ton légendes de michel pourquoi yves klein a-t-il la visite de la fondation aller à la liste des auteurs deuxième suite inoubliables, les laudatu sii, mi signore, et voici maintenant quelques       la textes mis en ligne en avril       vaches mais non, mais non, tu a - preliminaire prenez 3 au matin du notre but n’est pas de antoine simon 18 depuis quelques années se       fleur l’homme est page suivante ► page 30 décembre 1963. revue 5) triptyque marocain « non, peut-être   saint paul trois des quatre archanges que derniers textes mis en de la sommaire des contributions je t’enlace gargouille paru en ce mois de juin 2021, rafale n° 5 un ainsi va le travail de qui dernier vers aoi outre la poursuite de la mise textes mis en ligne en août ma mémoire ne peut me cent dix remarques i► cent cent dix remarques i► cent page suivante ► r.m. a toi       la 1254 : naissance de carles li reis en ad prise sa  les éditions de bal kanique c’est l’attente, le fruit d’abord la crise du 1) notre-dame au mur violet   un sommaire ► page suivante sixième       nuage le lourd travail des meules avant même de commencer, antoine simon 19 1. on est un peu fatigués de seins isabelle boizard 2005 le chêne de dodonne (i) s’il lui faut, en dépit de       bien journée de       retourn& j’ai perdu mon préparer le ciel i page suivante ► page g. duchêne, écriture le le flot pâle des maisons un texte que j’ai   maille 1 : que naviguer dans le bazar de jusqu’à il y a voile de nuit à la page d’accueil de ainsi alfred… douce est la terre aux yeux toulon, samedi 9 au programme des actions  l’exposition  aller à la bribe suivante un survol de l’annÉe 199* passé galerie "sine éphémère du 6 octobre       la les ruelles blanches qui pour accéder au texte, toi, mésange à       avant a la femme au la parol

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Alain Pruvost m’a demandé à deux reprises de préfacer les expositions qu’il organisait avec le groupe Quartz. Celle-ci date de 1992. Elle s’est tenue au Castel des Arts à Vallauris.
On trouvera la liste des artistes exposants en page 3. Merci aux lecteurs de me signaler mes éventuels oublis.
Le site du Groupe Quartz est accessible en cliquant sur le lien à droite du titre sur le net, en haut à gauche de cette page.


En guise d’avertissement

Cher Alain Pruvost

Je vous livre -et vous dédie- ce texte... Il n’était évidemment pas question pour moi de citer tous les artistes que présente l’exposition. Il n’était pas non plus dans mes intentions de dresser un bilan historique ou une présentation critique de l’ensemble.

Bien sûr les objets -l’objet d’art en particulier- sont habités aujourd’hui, irrémédiablement, par Dada, Duchamp, Breton, le Pop Art, le Nouveau Réalisme, ils disent notre modernité et cette sorte de conscience malheureuse qui la suit... Mais ils s’ancrent aussi dans la profondeur de notre vie quotidienne, de nos faits et gestes les plus anodins, les plus inaperçus ; ils sont portés par une vie bien plus longue, au moins aussi longue que notre histoire ; ils sont aussi porteurs de ce que nous ne pensons pas savoir de nous -et que nous vivons- images de notre quotidien, échos mythiques des temps d’avant l’histoire qui nous disent encore si bien que nous finissons parfois par croire aux archétypes.

J’ai été surtout sensible à un regard, à une pérégrination, c’est à dire à cette démarche de pèlerin que vous faites et que vous faites faire... C’est cette pérégrination là que j’ai voulu traduire dans le texte que je propose aux visiteurs : guide aléatoire, jalons d’un poétique jeu de piste où chacun peut chercher à retrouver les oeuvres, dont il est question et que j’ai décidé de ne jamais citer.

++++

VOIES

pour Alain Pruvost

tu laisses tes pieds aller leur rythme retrouver à chaque foulée la terre rêver de s’y enraciner fraterniser avec les moindres végétaux les vies ténues tes poumons tranquillement se chargent et se déchargent de la douceur des transparences ta tête est si proche des arbres les plus hauts entourée d’air de lumière errant parmi les peuples d’oiseaux c’est le temps de la promenade tu marches sensible aux jeux du vent de l’ombre aux effets de chaleur sur la peau bruits craquements bavardages

tu retrouves ici ta vie les humbles objets de ta vie tu les regardes ils sont à voir choses habituellement utilitaires ou votives tu prends le temps dans le moindre objet de reconnaître le travail dont il est chargé le temps de lui rendre son temps tu sais alors l’antique tradition qui soumet la terre à la main au corps à l’esprit à des savoirs si anciens que dans chaque nouvel objet fait tu rêves d’une permanence du faire

tu sais aussi que souvent nos objets les plus familiers prennent des aspects inattendus que le rêve ou une disposition particulière du corps un étagement inhabituel donnent à un vêtement des proportions dérisoirement monstrueuses que le moindre objet le moindre lieu la moindre parcelle de notre peau peuvent donner lieu à des transformations qui inquiètent ou séduisent selon qu’ils se pétrifient sous le regard des gorgones ou qu’ils s’incarnent comme le firent les ossement pierreux que Pyrrha lançait par dessus son épaule pour repeupler le monde au lendemain de déluges

la rouille prend ici des aspects princiers d’or vieilli ornant des bidons que l’on aurait cru destinés aux décharges publiques des containers s’illustrent éclatants les outils du paysan et du menuisier se changent en chrysalides d’on ne sait quels énormes papillons tu prends le temps de l’insolite tu sais que tu sauras voir parfois autrement les jeux du temps sur les enduits les métaux les céramiques la porcelaine ta peau ton visage

les lieux s’inventent l’espace respire autrement fragments d’ architectures ouvertes sur des villes qui ne furent jamais bâties colonnes de temples virtuels jeux de l’air et du feu bétons cordages ferraillages c’est le fer que tu cherches celui de nos constructions squelette de nos monuments qui part en membres en torses en chevelure structure mise à nue rappel souvent tragique de nos triomphes architecturaux du siècle dernier
l’espace s’éblouit ouvertures entre peinture et sculpture entre mer et ciel entre tout et rien infimes portes de l’immense

tu composes avec la vie des plantes le bois qui se marie à la pierre on l’a vu parfois pousser incompréhensiblement d’un rocher comme nous il garde l’empreinte des caresses des griffures des coups des douleurs autour d’eux il se construit se structure se donne forme tu le sais ses feuilles sèches retrouvent avant de tomber en poussière des teintes de terres des aspects minéraux comme elles nous venons de la terre et nous prenons à la terre à ses pierres à ses plantes les poudres les sucs dont nous teignons peignons notre corps dans de dérisoires postures de légendes traitées comme par dessus la jambe dans de vils matériaux de synthèse ou le caressant si violemment que nous en glaçons la toile la peau le sexe vulve devinée terriblement glacée terriblement offerte et si lointaine

tu le vois même si toute figure est absente il te reste les couleurs leur inexplicable force la toile maculée de puissants jets d’encres de sang de boue de sperme de larmes de pluie l’émotion des violences la force rageuse des pinceaux tu sais qu’il y faut la patience de l’art qui broie ses pigments poussières si éclatantes cendres chatoyantes qu’il lie auxquelles il donne corps dont il cherche à garder l’éclat la fraîcheur mais ils se perdent la lumière ternit dès qu’on veut des doigts la saisir l’arrêter la garder cendres ou poussières alors que l’on retrouve dans cette autre patience du ponçage

tu vas dans le coeur de la terre des éléments de l’air du feu terre enfumée les images nous fuient ou nous les fuyons dans les recouvrement dans la spirale figure des tourbillons des constellations ou du principe chimique de la vie

tu te rappelles enfin cette histoire ambiguë selon laquelle Orphée le poète ne peut conduire son amour à la vie qu’aveugle qu’il pose son regard sur lui il disparaît

++++

Les artistes du groupe Quartz sur la Croisette...

Merci de me signaler d’éventuels oublis ou erreurs

Andaluz Eduardo
Autard Georges
Baey Pierre
Beppo
Boni Paolo
Caminiti Martin
Cantin Jean Louis
Charvolen Max
Collet Roger
Culas-Bonin Odile
Dejonghe Bernard
Dutertre Pierre
Etienne Martin
Farioli Daniel
Finidori Thierry
Gardelle Michel
Gérard Anne
Girel Alain
Groschene Claude
Ibanez Guy
Jeangeorges Stanislas
Josse Pascal
Maccaferri Serge
Melgrani Gilles
Miguel Martin
Tomek Kawiak
Krefeld Rosemarie
Pagès Bernard
Paoli Paola
Pastorelli Louis
Pedinielli Gilbert
Plagnol Serge
Recker Thomas
Ritchie Nigel
Romeda Bruno
Roy Olivier
Rufas Alain
Saliceti Alex
Siffredi Max
Simonet Pascal
Sommerhalter Philippe
Tanagra
Tanner Isabelle
Theunissen Pierre
Thibaudin Monique
Thiry Albert
Torque Jean-Marie
Triger Solange
Thupinier Gérald
Uro Jean-Luc
Vivier Nadin
Varlan Claude
Vernassa Edmond

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