BRIBES EN LIGNE
  entrons maintenant vers la deuxième cent dix remarques i► cent  le "musée iloec endreit remeint li os recleimet deu mult page suivante ► page nice, le 8 octobre fin première la littérature de "mais qui lit encore le   le texte suivant a       allong&e       la pie madame a des odeurs sauvages elle dit la main qui fut le       é vers le sommaire des recueils aller à la liste des auteurs       le       dans « je définirai la derniers vers sun destre       fleurett retour vers le musicien en cet anniversaire, ce qui quelque temps plus tard, de si j’étais un l’instant criblé       voyage       je me page précédente retour à j’aime chez pierre sommaire des contributions       longtemp ouverture de l’espace     [1] l frères et pour m.b. quand je me heurte seins isabelle boizard 2005 début de la mise en ligne de       apr&egra en ceste tere ad estet ja elle ose à peine introibo ad altare 7) porte-fenêtre page suivante ► page préparer le ciel ii textes mis en ligne en la fraîcheur et la sommaire ► page suivante le poiseau de parisi mon ...et la mémoire rêve aller à la bribe suivante cristina m’avait demandé les textes mis en ligne le geste de l’ancienne, agnus dei qui tollis peccata bernard dejonghe... depuis page suivante ►   les aller à la bribe suivante oiseau tranquille au vol i) dieu doit-il présenter  tu ne renonceras pas. quelques autres des voiles de longs cheveux page suivante ► page monde imaginal,       "je sauver la vie c’est ne laudatu sii, mi signore, décembre 2001. ne pas négocier ne rafale n° 10 ici sommaire ► page suivante vers avant-œuvre ► mots, qui d’entre nous vos estes proz e vostre antoine simon 13 percey priest lake sur les       (       avant aller à la bribe suivante un temps hors du biboon. plus qu’une saison. page d’accueil de sommaire ► page suivante (dans mon ventre pousse une c’est extrêmement page suivante ► page textes mis en ligne en       deux buttati ! guarda  voir aussi boltanski galerie a inishmore chaque plante est diaphane est le textes mis en ligne en août préparer le ciel i portrait. 1255 : antoine simon 14 la mort, l’ultime port, depuis le 20 juillet, bribes retour au pdf sui generis       le quand un critique français dessiner les choses banales petites proses sur terre     oued coulant antoine simon 12 vous, dont l’âme, le today i eat my considérant que l’usage 10 vers la laisse ccxxxii qu’est-ce qui est en 1) notre-dame au mur violet sommaire des contributions dernier vers aoi     dans la rue la vue à la villa tamaris       dans la 30 décembre 1963. revue aller vers bribes, livres 1 page précédente retour page suivante ► page       pé clxvi deus li otreit (la sue) aller à la bribe suivante rafale n° 12 où cent dix remarques i► cent       sur le samuel chapitre 16, versets 1 le phonétisme n’a-t-il pas antoine simon 29 d’abord quelques si c’est ça, page suivante ► page a ma mère, femme parmi mult ben i fierent franceis e textes mis en ligne en       j’ la strada n° 27, non... non... je vous li emperere par sa grant       gloussem ensevelie de silence, dernier vers aoi antoine simon 33 « l’essentiel est textes mis en ligne en le plus insupportable chez    nous de toutes les antoine simon 11 pour maxime godard 1 haute à raphaël       sur pour accéder au texte, raphaël monticelli 30 juin       reine page suivante ► page se reprendre. creuser son retour au pdf sui generis vers le sommaire des recueils       & pour michèle gazier 1) dans ma gorge       au sommaire ► page suivante derniers textes mis en jean dubuffet : honneur page d’accueil de dont les secrets… à quoi "pour tes naviguer dans le bazar de un verre de vin pour tacher voir les bifaces de b. il y a des soirs où le vers la première de pa(i)smeisuns en est venuz suite du blasphème de vedo la luna vedo le aller au sommaire de pablo 3 

les lieux aussi sont       à page suivante ► page   est-ce que textes mis en ligne en août chère florence la musique est le parfum de zacinto dove giacque il mio equitable un besoin sonnerait lire chronogaphie (bribe 133 ouvrir la série des pages naviguer dans le bazar de ouverture d’une page suivante ► page pour jacky coville guetteurs la tentation du survol, à       ...mais   né le 7 j’aurai donc vécu sur noble folie de josué, c’est à caminito que Éléments - l’illusion d’une aller à la liste des auteurs mes pensées restent passet li jurz, si turnet a ses mains aussi étaient siglent a fort e nagent e lu le choeur des femmes de page suivante ► page  epître aux frédéric madame porte à  hors du corps pas dans les carnets page suivante ► page       va ton quatrième essai de cet article est paru dans le textes mis en ligne en mai derniers textes mis en malgré ses formules antoine simon 10 la réserve des bribes de sorte que bientôt       en textes mis en ligne en juin i mes doigts se sont ouverts légendes de michel présentation du projet outre la poursuite de la mise page suivante ► page la chaise, le châssis, le a la fin   il ne resta je serai toujours attentif à     une abeille de rafale n° 9 un reflets et echos la salle  de la trajectoire de ce   que signifie antoine simon 15 dernier vers aoi vers la première       au la fraîcheur et la accéder au texte en cliquant tous feux éteints. des le lent déferlement       la       le ciel li emperere s’est  née à tant pis pour eux. dernier vers aoi antoine simon 20 préparer le ciel i rm : tu as décidé montagnes de madame est une torche. elle éphémère du 6 octobre 1 au retour au moment comment entrer dans une exposition et ouvrage de   nous sommes dans les rêves de la à la mémoire de christian bruno mendonça avait son naviguer dans le bazar de       chaque  dans le livre, le abords de l’inaccessible la prédication faite l’instant, celui qui ne sommaire des il était question non       vu les epuisement de la salle, ici, les choses les plus       dans la la légende fleurie est pour max charvolen 1) libre de lever la tête page suivante ► page page d’accueil de dans un coin de nice, lancinant ô lancinant pas même j’ai ajouté fête du livre dernier vers aoi alain lestiÉ un art de la ou aux mots noyés dans       mé un texte que j’ai aller au texte nous sommes le rideau (gallimard 2005) de     sur la pente   encore une max charvolen, martin miguel 1- nous sommes dehors.       qui g. duchêne, écriture le       la   je ne comprends plus granz fut li colps, li dux en       st pluies et bruines, comment toute une faune timide veille page d’accueil de  c’était prologue et puis t’es les premières sommaire ► page suivante  les premières saisies de frontières tout alocco peinture en dernier vers aoi charogne sur le seuil ce qui textes mis en ligne en il arriva que cher.e.s ami.e.s vous pouvez ecrire les couleurs du monde nouvelles mises en aucun hasard si se page d’accueil de       sur le carissimo ulisse, torna a vers le sommaire des recueils clquez sur les grands "le renard connaît       je suis et si au premier jour il merci au printemps des le chêne de dodonne (i) "je me tais. pour taire. sur l’erbe verte si est ce mot comme à la hâte page suivante ► nous page suivante page pour michèle gazier 1 j’ai travaillé préparer le ciel i je ne saurais dire avec assez station 3 encore il parle chaque automne les journée de       marche rafale posté sur facebook sorti de    si tout au long onzième       assis aller à la bribe suivante aux george(s) (s est la textes mis en ligne en avril les céramiques et leurs il nous aura laissé page d’accueil de préparer le ciel i page suivante ► page j’ai en réserve       six quand il voit s’ouvrir, pour michèle auer et voir document expo boltanski traquer page suivante ► page station 1 : judas inoubliables, les aller à la bribe suivante aller à la bribe suivante  au travers de toi je aller à la bribe suivante   la baie des anges dans le pain brisé son       la morz est rollant, deus en ad   ciel !!!!       fleur ++++   en prenant acte voici des œuvres qui, le       allong&e parcourir les espaces ► bribes dans le nid de page d’accueil de juste un mot pour annoncer le peintre manuel casimiro la parol

Retour à l'accueil

RAPHAËL MONTICELLI

Les bibliothèques de Bruno Mendonça : abords de l’inaccessible
Publication en ligne : 14 novembre 2021
/ Monographies
Artiste(s) : Bruno Mendonça

Texte figurant dans Bruno Mendonça, Bibliothèques éphémères publié en 2002 par les éditions de l’Ormaie.


Parcourir les espaces ►

gloses et paraphrases... ►

Parmi les grandes aventures propres à l’art de ces dernières décennies, celles qui ont conduit les artistes, et en particulier les plasticiens, à s’intéresser de toutes sortes de façons aux mots et aux livres, sont vraisemblablement les plus singulières et les plus troublantes. On sait la présence et la destinée des Mots dans la peintureMichel Butor [1] : si on peut la suivre depuis des siècles, c’est aux dernières périodes qu’il appartient de les traiter systématiquement, jusqu’à faire de leur présence le motif même du travail de l’artiste peintre. La place du livre dans la peinture, comme thème d’abord, comme objet même plus récemment est tout aussi intéressante. C’est cette transformation du statut du livre à partir du moment où il devient un objet de l’art, qu’il compte donc moins pour ce qu’il véhicule que pour les problèmes plastiques qu’il permet de poser ou auxquels il va se heurter, qui est à l’origine de la notion de « livre d’artiste » au sens strict que ce terme a pu prendre à partir des années 60.

Lorsque quelques exemplaires d’un livre sont figés dans le plâtre, comme le fait Marcel Broodthaers avec « Pense bête » en 1964 [2] , ou, plus anciennement, quand les illustrations et les légendes d’un catalogue de spiritueux sont découpées par Carmelo Arden Quin, et qu’ainsi naît « Ionnel », en 1952 [3], espace d’un type tout nouveau, le livre n’est alors plus considéré comme vecteur d’un sens qui le transcende et le fait oublier, il n’est pas non plus l’écrin que veut exalter, illustrer et orner la bibliophilie. Il devient très précisément un motif, un objet, un espace plastique, en perte de mots et de textes, sinon en perte de sens.

++++

Bien d’autres démarches portant sur les mots et le sens, permettent de cerner ce qui se joue dans la relation de l’art aux mots, aux textes et au livre. Lorsqu’un Dubreuil [4] travaille sur les quotidiens d’information et qu’il n’en retient que les masses de texte, qu’il les transpose plastiquement en plages diversement colorées, sans égard pour le détail de l’information véhiculée, il traite, dans un domaine particulier du texte, le même type de problèmes que ceux que l’on trouve dans les livres d’artistes. De la même façon, lorsque Gérard Duchêne [5] produit des livres ou des espaces, reconnus comme scripturaux, mais illisibles, à partir d’une écriture manuscrite présentée comme journal personnel, on voit bien que ce qui nous est livré ça n’est ni de l’effusion sentimentale, ni de l’art calligraphique ; nous rencontrons là encore cette démarche des « livres d’artiste » appliquée au domaine de l’écriture intime, et comme dans la dérision.

On pourrait multiplier les exemples de ces travaux qui se sont intéressés dès les années 60-70 à toutes les formes de la présence de l’écriture et du livre, qui ont exploré, d’une manière ou d’une autre la plasticité du mot, du texte, du livre, non pour en faire de l’ornementation, mais pour traiter avec les moyens des arts plastiques, les problèmes rencontrés dans la relation aux mots et aux livres, et dont le traitement purement littéraire, apparemment, ne pouvait pas rendre compte.

Il y a eu un moment où on ne pouvait visiter un école d’art sans rencontrer en nombre des apprentis artistes qui se faisaient les dents sur les livres : le recyclage des annuaires était ainsi une démarche très développée, ou celui des livres récupérés dans les poubelles ou les déchetteries, plus ou moins sauvés des pilons, et à qui on faisait subir toutes sortes de tortures, du ficelage au clouage, de la crémation à la noyade, sans compter le cas de ceux qui, plus respectueux ou moins réceptifs aux problèmes de fond, s’adonnaient furieusement à l’illustration.

Nous en sommes arrivés, ces dix ou quinze dernières années, à une situation où prolifèrent toutes sortes de propositions plastiques autour du livre, la plupart du temps dans la relation entre artiste et écrivain… La plupart d’entre elles, il est vrai, ne sont plus vouées qu’à l’ornementation ; il est, relativement, bien plus rare, de rencontrer désormais une démarche, et j’entends par démarche une approche questionnante et critique qui pose comme problèmes le mot, le texte, le livre, les rapports que nous entretenons avec ces objets, les rapports que nous entretenons entre nous autour de ces objets. C’est dans cette démarche que s’est engagé Bruno Mendonça depuis près d’une trentaine d’années, et son apport y est, à mes yeux, considérable, puisqu’il est l’un de ceux, rares, qui sont passés du travail sur le livre au travail sur la bibliothèque comme objet.

++++

Les bibliothèques-objets de Bruno Mendonça ne sont pas forcément réalisées ; et, quand elles le sont, elles sont bien souvent éphémères ; toujours, elles sont le lieu paradoxal d’une impossible lecture. Ici, on n’accumule pas les livres pour les conserver, les entretenir et les donner à lire, mais pour les transformer, les mettre à mal et, au mieux, les donner à voir. On imagine avec eux toutes sortes d’architectures, d’agencements, de mises en espace, qui ne les laissent que rarement intacts : on les roule sur eux-mêmes, on les ficelle, on les gèle, on les trempe dans des colles, on les soumet à la puissance de réacteurs, à celle de l’air, de l’eau, de la lumière, on les jette à la mer, on les place à proximité de bêtes sauvages, on en fait des briques, on les associe à des boîtes de conserve, à des graviers, on les enfouit dans des tubes ou dans la profondeur des glaciers, on les entasse, on en tapisse des murs, des plafonds… Pour finir, on ne projette pas ici des bibliothèques pour y conserver et y gérer des livres ; on fabrique des bibliothèques dont les livres sont le prétexte et le matériau de construction. Le livre est à la bibliothèque-objet, ce qu’est le texte dans le livre-objet.

La bibliothèque rêvée de Bruno Mendonça n’est donc pas, on le voit, un espace voué à la lecture, mais l’objet d’une relation violente au livre dès lors que la lecture en est exclue. Si on y réfléchit un peu, on s’aperçoit vite qu’en fait, Mendonça ne fait que donner forme à une frustration que chacun de nous, en tant qu’individu, vit quotidiennement avec le monde des livres, et avec leur réunion en bibliothèque. Que signifie en effet d’avoir à sa disposition, dans telle bibliothèque publique, 20 000, 200 000, 2 000 000, ou 20 000 000 d’ouvrages, sinon que les livres réunis là, dans des bibliothèques qui suscitent d’autant plus l’admiration, qu’elle conservent davantage de volumes, sont, dans leur plus grande partie, forcément, matériellement, inaccessibles ? 1000 vies d’érudit inlassable s’y useraient sans y suffire. Qui n’a pas vécu cette frustration foncière que produit en nous toute bibliothèque d’importance : ce savoir est d’autant plus inaccessible qu’il est plus largement offert.

++++

Mais les effets du travail de Bruno Mendonça sur la bibliothèque ne s’arrêtent pas là : donner forme à notre écrasement, rêver l’inaccessible savoir sous la forme de bibliothèques, c’est réaliser notre frustration, en faire un objet, justement, qui comme tel sera, lui, immédiatement visible, repérable, qui tout à la fois nous met en jeu et met en jeu notre insoutenable ignorance et, de cette ignorance faisant objet d’art, nous permet de la vivre, l’assumer, l’apprivoiser… Peut-être même nous apprend-il à la dépasser…

À vrai dire, Bruno Mendonça n’est pas le premier à imaginer des bibliothèques de l’impossible lecture : on connaît ces faux-coffrets de livres qui contiennent autre chose que des pages à lire, comme on connaît, en décoration, ces faux murs de livres dont on ne conserve que les dos, le reste ayant été scié. Et voilà qui a le double mérite d’ajouter de la profondeur aux pièces dans lesquelles on habite, et de la surface au propriétaire des lieux. Dans ce cas, l’ignorance, satisfaite, et ignorante d’elle-même, donne à voir l’illusion du savoir… en même temps que l’illusion de l’espace. Les bibliothèques objets ne cherchent pas à créer cette illusion, elles font œuvre, justement, de l’inaccessibilité du sens…

Il faudrait préciser, pour plus de justesse, que, dans la plupart des cas, s’il y a bien objet, Bruno Mendonça n’en fait pas d’abord une invite à la contemplation, mais à l’action. La bibliothèque de Mendonça s’inscrit toujours dans un dynamisme qui met en mouvement l’artiste et le public, parfois l’auteur, le bibliothécaire, l’animateur, le commanditaire… Elles sont l’objet d’un moment de la réalisation, entrent dans une performance, permettent de produire d’autres objets, parfois –rarement il est vrai- des textes. Elles sont de véritables machines à relations humaines nouvelles, et sont disposées pour en conserver les traces.

En regardant les bibliothèques de Bruno Mendonça, une vieille conversation me revenait… L’enfant de l’homme, me disait Carmelo Arden Quin, l’enfant de l’homme ne sait pas que, quand il tient à la main une glace à la vanille, il est comme l’animal dans son arbre à la recherche du fruit… et l’enfant ne sait pas non plus que, dans les feuilles du livre, il cherche aussi le fruit comme de l’arbre…

Les bibliothèques de Bruno Mendonça disent aussi ce rêve là : peut-être faut-il, pour assumer nos insuffisances, que nous laissions les livres retrouver le monde qui les a fait naître, et dans le monde, les hommes de chair et de sang qui les ont fait naître, et leur donner l’espace dans lequel ils pourront se fondre à nouveau au monde, nous entraînant avec eux, au cœur du monde, dans le fond des glaciers et des mers, dans la chaleur et le feu, les gestes simples, la salive et la sueur, dans nos couleurs de peau, si proches de celles des terres et des sables et qui donnent leurs variations aux œuvres de Mendonça, dans les balbutiements, les musiques qui naissent des crissements des pierres, et des frottements des glaciers, dans les parfums qui s’exhalent de mystérieux triangles, dans la familiarité des pierres, des arbres et des animaux…

Notes

[1« Les mots dans la Peinture », Skira ed. 1969

[2Anne Marie Moeglin-Delcroix, « Esthétique du livre d’artiste » Jean Michel Place, BNF ed, 1997.

[3Voir par exemple in Robho, n° 3, printemps 1968, ou encore Agnès de Maistre « Arden Quin », Demaistre ed. 1996

[4Jean-François Dubreuil, 1992-2001 Lahumière ed. 2001

[5Gérard Duchêne, 1971-1990 La rose des vents ed. 1990

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Connexions’inscriremot de passe oublié ?

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Espace privé | SPIP