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de ne pas négocier ne "l’art est-il un texte venu de l’autre accoucher baragouiner       mé j’ai ajouté le tissu d’acier  je signerai mon       à pour visionner dernier vers aoi dont les secrets… à quoi j’ai travaillé avant propos la peinture est le lent déferlement       " dernier vers aoi le nécessaire non max charvolen, martin miguel approche d’une coupé le son à les amants se aller à la liste des auteurs  epître aux un jour nous avons revue     les fleurs du madame est une textes mis en ligne en avril antoine simon 19 rafale n° 10 ici sommaire ► page suivante       enfant si grant dol ai que ne outre la poursuite de la mise il semble possible     au couchant ils s’étaient villa arson d’exposition en       la pie       apr&egra inoubliables, les pour frédéric oui la à propos “la et si au premier jour il l’homme est i.- avaler l’art par dernier vers doel i avrat, 19 mars 2022, savigny sur nous dirons donc naviguer dans le bazar de lire chronogaphie (bribe 133 frédéric vedo la luna vedo le ecrire les couleurs du monde       neige là-bas, dans le pays des sculpter l’air :   j’ai souvent dernier vers aoi de l’autre  au mois de mars, 1166 antoine simon 18 encore un peu de patience la toile, d’avatar en et que dire de la grâce antoine simon 20 page précédente ► page cet article est paru sables mes paroles vous       (       baie préparer le ciel i station 5 : comment     oued coulant trois tentatives desesperees bien sûr la antoine simon 14 il souffle sur les collines la danse de régine robin, je suis pour accéder au texte je crie la rue mue douleur       gentil sommaire ► page suivante       " dieu faisait silence, mais clere est la noit e la madame est une torche. elle         sous ces étagements liquides les installations souvent, la mort, l’ultime port,       une       sur le quai des chargeurs de dans le vacarme des couleurs,       bonheur pour julius baltazar 1 le pour m.b. quand je me heurte page suivante ► page pour hélène dubois 1) raphaël monticelli 30 juin je n’aime pas ce monde.    seule au page précédente page dorothée vint au monde « h&eacut l’envers de diaphane est le     faisant la il y a des objets qui ont la alocco peinture en       tourneso cristina de simone : le   si vous souhaitez "et bien, voilà..." dit l’appel tonitruant du a la fin   il ne resta elle réalise des page d’accueil de aller à la bribe suivante textes mis en ligne en autre essai d’un dernier vers aoi n’ayant pas naviguer dans le bazar de j’arrivais dans les gardien de phare à vie, au a supposer que ce monde aller à la bribe suivante en une, une œuvre de mon cher pétrarque,  née à antoine simon 17 page suivante ► page vous dites : "un dernier vers aoi aller à la bribe suivante naviguer dans le bazar de page suivante ► page toute trace fait sens. que    nous attendre. mot terrible. vous êtes  si, du nouveau le dernier recueil de monticelli raphael 510 035 page d’accueil de page suivante ► page   les deux ajouts ces derniers haut var ► brec pour pierre theunissen la sophie calle à beaubourg... ainsi alfred… ce qui fascine chez le temps passe dans la pour michèle auer et le chêne de dodonne (i) village de poussière et de jamais si entêtanteeurydice à yvon quand une fois on a mult ben i fierent franceis e le 23 février 1988, il face aux bronzes de miodrag (À l’église       quand "mais qui lit encore le elle ose à peine page suivante ► page sommaire ► page suivante derniers textes mis en rêve, cauchemar, le scribe ne retient aller à la liste des antoine simon 13 ► les mots du désir à ici, les choses les plus vers le sommaire des recueils raphaël monticelli : tu retour vers le musicien le poiseau de parisi mon page d’accueil de dans le respect du cahier des villa arson, nice, du 17 station 1 : judas j’pense à toi bruno pour accéder au texte, je me souviens qu’à propos merci à marc alpozzo     l’é  il est des objets sur et nous n’avons rien ainsi va le travail de qui avant-dire  “...       fourr&ea dernier vers aoi page suivante ► page 1- nous sommes 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des       juin c’est la peur qui fait   on n’est       dans aller au sommaire des textes mis en ligne en juin dernier vers aoi   rafale n° 3 des li emperere par sa grant tendresse du monde si peu carissimo ulisse, torna a difficile alliage de paysage de ta abords de l’inaccessible alocco en patchworck © présentation du projet introibo ad altare vers le sommaire des recueils textes mis en ligne en     double eurydice toujours nue à       "j& il était question non madame est toute passet li jurz, la noit est page suivante ► page dernier vers aoi madame déchirée cent dix remarques i► cent dans la caverne primordiale   iv    vers intendo... intendo ! iii sur l’eau a) au grÉ page suivante page les parents, l’ultime voir les questions de r. préparer le ciel i       à la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Charvolen au musée Reattu, Arles
© Raphaël Monticelli, Max Charvolen
Publication en ligne : 5 mai 2020
/ catalogue d’exposition
Artiste(s) : Charvolen (site) , (site)

Raphaël Monticelli : Encore une exposition, Max, où, par chance, tu peux présenter des oeuvres réalisées sur place...
Max Charvolen : Oui, c’est bien une chance. Comme c’est une chance de pouvoir présenter toutes les pièces qui sont réalisées sur site, et, si possible, les à-côtés, les travaux parallèles ou préparatoires.
RM : j’ai toujours trouvé ça très troublant, ces expositions dans lesquelles l’oeuvre est présentée dans le lieu même qui lui a servi de modèle.
MC :... c’est la 7e fois que ça m’arrive, non ? ... Il y a le travail à Lieu 5, en 84, la pièce faite à l’Hôtel de Région à Marseille, celle de la façade de l’Hôtel de Ville de Cannes, celle de la Galerie Itinéraire à Nice, et, dans une moindre mesure, celle de l’IUFM d’Arras et celle de l’Institut français de Naples... 
RM : Un peu comme si on pouvait jouir, contradictoirement, tout à la fois d’une absence et d’une présence, comme si on pouvait avoir avec quelqu’un un rapport à sa présence et à son absence en même temps, le voir et lui parler, et, en même temps, se souvenir de lui et lui écrire...
MC : Avoir en même temps la peinture et le modèle. Je l’ai travaillé spécifiquement ça, sur des objets... En revenant sur le modèle et en le transformant...
RM : Dans ce travail que tu as fait, in situ, au musée Reattu, il y a d’abord toute ta démarche habituelle. Mais il y a aussi deux ou trois choses qui ne m’étaient pas encore apparues, en tout cas avec cette clarté. Et j’aimerais que nous en parlions aussi.
MC : Allons-y...
++++ RM : Tout d’abord donc, dans le travail que tu as fait sur le musée Reattu, tu adoptes une démarche que tu as mise en place il y a plus de vingt ans.
Rapide rappel. Lorsque tu décides de traiter un espace -ou un objet, du reste- tu ne le fais ni par les approches traditionnelles des arts platiques, ni par les problématiques de l’installation, par exemple. Tu ne dessines, ni ne peins, ni ne photographie. Tu n’as pas recours aux modes de représentation que nous connaissons, tu ne te sers d’aucun des codages habituels de l’espace ou du volume. Pour traiter plastiquement un espace, tu commences littéralement par le mouler.
MC : Je ne suis pas sûr que l’on puisse parler de moulage le but n’étant justement pas de garder un volume en l’état. Disons, en tout cas je recouvre tout un espace...
RM : Un souvenir de Christo ?
MC : Il doit bien y avoir un petit hommage à Christo, là-dedans, mais Christo recouvre en emballant et de l’emballage il ne reste ensuite que des souvenirs iconographiques, dessins, projets, maquette et photos. Ma démarche, c’est de recouvrir en collant, et, dans le cas des architectures, c’est davantage un corps à corps avec un fragment de territoire dans lequel on vit, que l’appropriation d’un bâti comme d’un objet. A la fin, la toile qui a servi à recouvrir devient l’oeuvre plastique présentée.
++++ RM : Pour réaliser cette oeuvre plastique : recouvrir, coller, arracher, tu utilises de la toile métisse que tu découpes en fragments dont la dimension est plus ou moins celle de nos papiers d’écriture. Tu protèges, la plupart du temps, les éléments de bâti que tu vas traiter en y collant d’abord du papier, puis, cette préparation étant faite, tu colles tes fragments de tissu de manière à réaliser un recouvrement épais et solide.
La dimension de l’espace sur lequel tu travailles est toujours en rapport avec ton corps, ses mouvements, ses gestes. D’une façon générale, le point de départ, c’est toujours ce que tu peux atteindre, dans l’espace où tu te tiens, en levant et étendant les bras.
L’espace que tu retiens doit être aussi « parlant » du point de vue plastique et architectural : il doit présenter des ruptures, une certaine complexité. C’est ainsi que tu as commencé par travailler dans les angles des pièces. On comprend que le moulage d’un mur et d’un sol ne donnerait rien d’autre qu’un quadrilatère. Le recouvrement peut aller du sol au plafond ; et comme tu laisses la pièce en place au moins le temps qu’elle sèche, qu’elle est ainsi livrée aux passages des gens, elle se charge aussi de ça : usures, saletés, traces de pas.
Dans le cas des pièces réalisées au musée Reattu, comment as-tu choisi les endroits que tu allais traiter ?
MC : Pour choisir un endroit, je me balade beaucoup dans le bâtiment. Je cherche les « noeuds »... Ces espaces « parlant » architecturalement que tu mentionnais tout à l’heure. A Reattu, j’étais en compagnie de Michèle Moutashar, la conservatrice, et elle me parlait du musée, des espaces qu’elle trouvait intéressants...
RM : C’est justement l’une des questions nouvelles que je voulais aborder avec toi... Je m’aperçois, dans cette aventure de Reattu, qu’il y a, bien souvent, à l’origine de tes travaux sur les architectures, une relation avec quelqu’un, avec une commande explicite...
MC : Oui, par exemple, Michèle Moutashar tenait beaucoup à ce que je fasse quelque chose autour du puits... C’est l’espace central du musée, elle le présente comme une sorte de lieu légendaire... Un élément structurant de cet ensemble XVI° - XVII° siècle dont le peintre Reattu avait fait son atelier au début du XIX° siècle.
RM : Le choix d’un lieu : première condition, il est « parlant », architecturalement. Deuxième condition, il est parlable et parlé, par les gens qui y vivent, ou le vivent... Tu viens d’en ajouter une autre : il est légendaire, c’est à dire, littéralement, à lire...
MC : Mais en même temps, quand je circulais dans le musée, je ne voyais rien, et j’entendais assez peu ce que me disait Michèle... J’étais préoccupé par des questions de pratique, des problèmes d’espace, de dimensions de la pièce une fois mise à plat, des problèmes de temps de réalisation aussi... Je ne suis pas particulièrement sensible au prestige des lieux... Je suis sensible au bâti. Je circulais dans le musée, j’écoutais ce que disait la conservatrice, je cherchais des lieux possibles, je projetais les pièces faites, j’acquiesçais, je disais « oui, oui.. ; » et je paniquais...
RM : Et tu as fini par travailler sur le puits...
++++ RM : Et tu as fini par travailler sur le puits...
MC : Elle semblait vraiment y tenir... Et l’endroit était difficile et passionnant. Le puits, c’est d’abord une pièce dans laquelle se trouve le puits. C’est un passage complet, ça peut se traiter du sol au plafond, et, à l’intérieur de la pièce, il y a le puits lui-même qui fonctionne comme un objet monumental. Pour travailler sur le puits, j’ai renoncé à un autre projet...
RM : Tu as explicité la commande, accepté le contrat, pris en compte le rapport d’un tiers à l’espace que tu traites...
MC : Ça a fonctionné de la même façon pour la pièce que j’ai faite sur la petite maison... La petite maison, c’est extérieur au musée lui-même et ça va lui être annexé après réfection. Michèle tenait à en garder une trace, une mémoire.
RM : Encore la commande, encore de la lecture.
MC : Oui. Et la troisième pièce, je l’ai faite sur un escalier à l’intérieur du musée. Ça a été un régal de travailler sur cet ensemble.
RM : Tu as donc déterminé tes espaces, procédé à tes recouvrements, et tu laisses sécher... Pendant ce temps-là...
MC : Ça peut durer des mois quand je ne suis pas pressé.
RM : pendant ce temps là, les gens passent et inscrivent leurs traces. Lorsque la toile est sèche, tu l’arraches du mur. Cette opération est proprement spectaculaire. L’investissement physique l’apparente à un travail de force : ça peut être en effet des heures de découpes -de dépeçage, disent ceux de tes commentateurs qui cherchent dans ton travail une relation à la chasse- de décollage, d’arrachage et de manutention ; le problème étant parfois tout simplement d’arriver à sortir l’oeuvre de l’endroit où elle a été produite tant elle peut être ample et lourde. Le but final est de mettre à plat ce recouvrement. Problème de toute la peinture : donner une représentation en deux dimensions d’une réalité tridimensionnelle.
MC : Et à Reattu, il y a aussi la qualité des lieux dans lesquels on présente les pièces. La salle dite de la Chapelle, qui est l’un des lieux d’exposition, est très belle, très imposante, je me demande bien comment le boulot va réagir là dessus... J’aimerais que ça prenne bien du sol au plafond, quitte à provoquer un effet de surcharge ou d’étouffement...
RM : Tu verras ça sur place, les lieux te dicteront sans doute des modes de présentation...
MC : C’est ce que dit aussi la conservatrice, mais je ne voudrais pas qu’ils me l’imposent. Je ne cherche pas à embellir un lieu, mais à présenter un travail.
++++ RM : Le travail mis à plat présente des surfaces diversement colorées. Cet emploi de la couleur est, à mes yeux, l’un des points forts de ton travail... C’est la colle elle même qui est la plupart du temps colorée, et tu ne colores ni pour interpréter, ni pour exprimer, ni pour enjoliver, ni pour heurter... Tu colores pour différencier les plans de l’espace que tu traites. Ce rôle fonctionnel de la couleur permet de « lire » les trois dimensions une fois la pièce mise à plat...
MC : A Reattu, j’ai fait trois approches différentes de la couleur, une sorte de progression, d’une pièce bichrome, à une pièce fortement et violemment polychrome, celle qui a été faite sur le puits. La richesse du lieu a dicté ça.
Petite anecdote... La gamme colorée de la pièce du puits repose toute sur le rose délavé. Ce rose délavé, je l’ai choisi parce qu’il fait le fond du « Portrait de Lee Miller » de Picasso, qui est conservé au musée Reattu. C’est un rose... osé ! Ça m’a amusé, ce rapprochement...
RM : Je ne vois rien de vraiment anecdotique là dedans... Ton emploi de la couleur est fonctionnel, et ton choix, s’il n’est ni purement symbolique ni affectif, n’est jamais arbitraire : il y a toujours dans ton choix des couleurs quelque chose qui tient à la citation, la référence, l’hommage... Il faudrait qu’on revienne un jour sur cette question. Et sur ce cas particulier du rapport à Picasso au musée Reattu... Nous avons déjà parlé ensemble de cette différence qu’il y a entre « faire entrer dans un espace bâti ancien des oeuvres de la modernité et de la contemporanéité », ça c’est Picasso, à Arles, à Antibes, à Vallauris, à l’Hôtel Salé, à Barcelone, mais c’est aussi la plupart des artistes modernes et contemporains et c’est le rôle muséal dévolu au patrimoine bâti ; et « faire une oeuvre d’art à partir du bâti ancien », prestigieux ou non, comme tu le fais. Je lirais volontiers la relation explicite au « portrait de Lee Miller » dans cette problématique là...
++++ RM :J’aimerais terminer sur une autre question. Le travail à Reattu, comme à l’Hôtel de Région à Marseille, à l’Institut français de Naples, à l’IUFM d’Arras, ou dans notre galerie Lieu 5, en 84, ça crée des situations de commande et d’urgence auxquelles tu soumets ton travail et qui permettent d’explorer des pistes particulières, ou d’accélérer des processus de travail...
MC : Oui,oui : en ce moment j’ai besoin de me poser. De prendre du temps. De choisir des espaces sans avoir de délais. De me heurter à la seule commande de moi même, et à des problèmes que des travaux comme celui de Reattu m’ont posés. De laisser les pièces en place, in situ, des années durant avant de les arracher, comme je l’avais fait quand j’ai travaillé sur l’escalier de la cave de mon immeuble, ou à la rue Saint Sauveur, au Cannet, ou dans l’immeuble de la rue des Tours à Vallauris... J’ai besoin de la commande, de l’urgence, de la relation avec d’autres regards, d’autres exigences, mais j’ai besoin aussi de cette gestion lente et ruminée du temps...

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