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MICHEL BUTOR ET RAPHAËL MONTICELLI

Ping Pong
Publication en ligne : 19 janvier 2020
Artiste(s) : Maccheroni , Dubreuil , Alocco (site) , Arden Quin

Ce ping pong, dont la deuxième partie s’est déroulée chez Jean-François et Marie Dominique Dubreuil dans leur appartement-galerie au 30 de la rue Rambuteau, à Paris, a été publié en 1991 par Z’éditions (Nice), dans "Échanges, carnets 1986" de Michel Butor.


Ping pong
entre Miche Butor
et
Raphaël Monticelli

Première mi-temps, Nice–Lucinges, septembre 1989
Deuxième mi-temps, Paris, 11 novembre 1989

Carmelo Arden Quin
I

Service Raphaël Monticelli :

Personne ne me paraît plus que Carmelo tendre son œuvre d’une plus foncière opposition : qu’il lance MADI dans les années 40 à Buenos-Aires, qu’il préfigure le free-canvas, qu’il développe les Coplanales, c’est en affirmant, péremptoire, l’exigence du mouvement, celle de transformations continues, effectives ou potentielles. En même temps il ne se met à l’ouvrage que dans la recherche de la permanence et le désir de l’immuable. Ses œuvres se présentent ainsi comme l’un de ces lieux, rares, où des forces inégales sont contraintes à s’équilibrer… Rêves d’éternité ? Images de la sagesse ?

Retour Michel Butor

Pièges pour prendre du mouvement et le transformer en immobilité, ce qu’a toujours fait la peinture, une immobilité qui est un concentré de mouvements, un élixir, un germe, pour prendre du temps et le transmuer en éternité, c’est-à-dire un temps sans oubli, une vie qui ne soit plus inéluctablement mort aussi, dans laquelle tout s’ouvre sans jamais avoir à se refermer, au cours interminable de laquelle nous connaîtrons les petits-enfants de nos petits-enfants et retrouverons les grands-parents de nos grands-parents, clés pour inventer la sagesse, nous délivrer du règne actuel de la monnaie pour aborder enfin au langage dont les dieux engloutis nous ont légué le besoin.

II

Service Michel Butor :
Le carré sur pointe avec ses ombres et ses matières qui captent la lumière. Ce sont des pentacles pour évoquer le fantôme de Mondrian qui démarre son fox-trot aux mains d’une entraîneuse à robe de strass et cheveux de métal ondulé. Quel sourire et quelles incitations serpentines ! Il s’agit maintenant de préciser la filiation dont se réclament ces monuments allègrement funéraires avec les pionniers de l’ancien moderne.

Retour Raphaël Monticelli
Et si ce n’était que les traces pérennes que tu veux laisser au monde ancien, Carmelo, fils de la planteuse d’eucalyptus, pionnière de ces espaces géographiques nouveaux ; elle ne connaissait du Paraguay que ce que ce que lui apprenait peu à peu l’arbre conquérant les terres.
Ou encore :
Et si ce n’était que les traces pérennes que tu veux laisser au monde, Carmelo, fils de Torres Garcia, pionnier de ses anciens espaces de la peinture, et de ces espaces laissant l’image du cerf-volant, Icare fait objet trop près du soleil parti.

++++

Henri Maccheroni

I

Service Raphaël Monticelli

Henri Maccheroni diversifie comme à plaisir les aspects de son œuvre : bocaux aux images, imperturbables (froides ?) photos de sexes, archéologies blanches ou bronze, nymphéas aux frémissements figés, terres étrusques, New York, Égypte bleu, chaque série porte la trace –symbolique et matérielle– d’humidités originelles ; pour Henri Maccheroni, œuvrer, c’est sans trêve construire le souvenir possible des eaux retirées ou perdues ; mettre, sans cesse, au monde la matrice qui a pu nous donner vie. « Pleurant, je voyais de l’or –et ne plus boire. »

Retour de Michel Butor :

Mais en même temps une hantise de la dureté. Car le monde est dur et s’agit de lui résister. Il faut donc circonscrire cette humidité, cette larme fondamentale par un trait quasi-métallique pour l’empêcher de s’évaporer. Une vigilance de tous les instants est nécessaire contre les tentations de la mollesse qui risque de tout corrompre. Donc il faut bâtir des murs, des enceintes, des vitrines, châtier la chair pour qu’elle se raidisse et jaillisse en triomphe de gratte-ciels ou pyramides au-dessus de ces marais qu’ils sont seuls capables d’animer, de vérifier, de préserver. D’où perpétuellement cette demande de pardon, cette excuse : « ne suis-je pas trop dur pour vous ? Mais je voudrais l’être encore plus, il faut que je réussisse à l’être encore plus, il me faut devenir le maître de la dureté pour protéger cette délicatesse, ces dessous, pour pouvoir me détendre enfin, jouir et faire jouir depuis la pointe de mon cristal de tous les degrés et passages de l’attendrissement. »

II

Service Michel Butor :

Pli selon pli ou non plis ? Droit ou non-droit ? Les réminiscences, l’effervescence de la gauche. Ce qui se dérobe et dévoile quand la croix bascule, comme un cimetière que l’on déverserait à son tour dans une fosse entre les gardiens bardés de bronze et de sable à demi enfoncé dans le désert à la limite des gratte-ciels rouillés, avec des grappes de clés qui pendent des échafaudages et des grues. Qui nous permettra de planter le bouquet d’épines salvatrices au sommet de cette décharge qui nous déchire l’horizon ?

Retour Raphaël Monticelli
Ne sommes-nous pas seuls maîtres de nos espérances ? De nos futurs, de nos passés, réels ou virtuels ? Si le monde doit connaître une mesure, ne sommes-nous pas la seule acceptable ? Combien de millénaires collent à nos pas ? Strate sur strate, les rues de New York s’étagent sur des ruelles étrusques, tandis que les bandes qui nous soignent, comme celles qui nous donnent espace et informations, les rêves de bleu qui nous tiennent, les sécheresses que nous redoutons, nous restituent les rythmes et les couleurs de l’Égypte. Et nous savons que dans le plus monumental de nos tells nous recélons des objets qui sont polis et lustrés dans les bouches de mille générations.

++++

Marcel Alocco

I

Service Raphaël Monticelli :

Marcel Alocco pousse hors de lui le patchwork, cette peau d’artifice tatouée, torturée, qui ne s’apaise que quand elle se défait ou que durcissent les liens qui la remembrent. J’ai souvent l’impression qu’il en va d’elle comme de moi, et qu’elle porte en elle une part de moi que je rejette en la chérissant : celle qui s’inflige souffrance et déchirement pour pouvoir mieux jouir de la cicatrisation, celle qui se défile pour mieux atteindre, ailleurs et autrement, la sérénité.

Retour Michel Butor :

L’adoucissement de toutes ces images parfois si contraignantes, par leur bain dans le textile avec ses franges, ses ajours, ses allégements. De grands rideaux d’intimidation culturelle accèdent à la transparence et à la caresse. Tout devient souple et chaud. La réalité se transforme en une peau qui gagne perpétuellement des aires nouvelles, qui les désire, car les figures qui s’y présentent se manifestent comme évidemment incomplètes, appellent leurs partenaires ou relais dans les recoins de ce qui est encore ténèbres, chaos guerrier, politique ignoble, trafic, mensonges. Alors cette toile, si péniblement, si passionnément constituée, travaillée, ravaudée, on peut la tirer à soi, la rouler, plier, s’y enrober, s’y dérober, nous y rouler ensemble comme dans les vagues d’une plage qui seraient les draps d’un grand lit de fête.

II

Service Michel Butor :

L’écheveau de la peinture qui se débobine parmi les effilochures. Les surfaces qui se détis- sent et les lignes qui se défilent. Le bleu pastel avec les balafres qui traversent les sutures, comme des coups de vent soudain sur les vagues réticulées. Vers quelles échelles nous amènent ces nouveaux aiguillages, vers quelles pistes et programmes ces disques souples et portables ?

Retour Raphaël Monticelli :

Grands voiliers : leur proue cingle vers des horizons sans cesse repoussés ; à leur poupe, la large plaie, un moment encore, forme ses lèvres d’écume sous l’envol criard des mouettes mendiantes. Ils filent tant que jamais on n’a connu dans leur sillage, tandis que les horizons inexorablement s’écroulent, de mer refermée et comme à jamais calme. (Pourtant je garde en mémoire que nous couturons la Terre de sentiers, chemins et voies qui, d’eau, de terre ou d’air, sont les marques durcies de nos pérégrinations).

++++

Jean-François Dubreuil

I

Service Raphaël Monticelli :

Piqué dans Proust :

« (..) une langue que nous ne savons pas est un palais clos dans lequel celle que nous aimons peut nous tromper sans que, restés dehors et désespérément crispés dans notre impuissance, nous parvenions à rien voir, à rien empêcher... »
Voilà qui m’a paru, dans son ambiguïté, faire curieusement une assez juste image de ma relation à la peinture de Jean-François Dubreuil. Familière et lointaine, elle semble à première vue s’être construite dans la référence aux grandes abstractions géométriques (leur redite) ; elle prend pourtant naissance dans une tout autre réalité, bien plus triviale : les mises en page de l’information.

Retour Michel Butor :

Toute peinture géométrique n’est-elle pas figuration du fait-même qu’elle est abstraction ? Et n’y a-t-1l pas de la géométrie dans toute peinture ? Les figures et les théorèmes qui les accompagnent sont plus ou moins simples, voilà tout. Le schéma qui accompagne la page d’un manuel, qu’il soit de mathématiques, physique, ou économie politique, s’il est destiné à faire comprendre, est aussi là pour illustrer, faire voir, donc célébrer ou dénoncer. Le journal quotidien, ce filtre par lequel passe pour nous l’information, notre connaissance du monde, cette feuille pliée, ou ce cahier, cette pincée de feuilles, se cache dans sa propre surface ; c’est un taillis grouillant de bêtes rampantes, une jungle à combats de fauves. Le rectangle qu’on en extrait illumine de sa droiture tous ces recoins, tel un projecteur, démonte ce filtre par les outils de ses couleurs, presse tout cela pour en faire un vin que nous pouvons boire et dans lequel suintent quelques gouttes de vérité.

II

Service Michel Butor :

Le côté partie de football (bien que je sois tout-à-fait ignorant quant à cet art ; je n’en parle qu’à travers la peinture : Delaunay, de Staël). Les couleurs qui courent les unes après les autres avec toute leur charge d’information : les verts débarquent, les rouges s’effritent ; le mur est-il en train de s’écrouler entre bleus et rouges, au milieu de la littérature grise ?

Retour Raphaël Monticelli :

Ecroulement :
Cette masse d’illusoire information -à qui donnent forme l’angoisse où nous sommes de notre ignorance et notre soif de connaître, foncièrement insatiable- se pare, quand Jean-François Dubreuil s’en saisit, des séduisants et chatoyants atours de la peinture.

Règles du jeu :
Mouvement des couleurs : bleus qui se déplacent, rouges qui déferlent, oranges qui descendent, verts qui montent, tout est donné par la répartition de l’information dans les journaux traités (ah ! les déplacements colorés d’une masse inerte).
Choix des couleurs : c’est à coups de dés qu’il se fait. (Que ne peut leur mouvement suspendre nos hésitations !)

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