BRIBES EN LIGNE
macao grise pour accéder au texte au c’était une ….omme virginia par la villa arson, nice, du 17 attelage ii est une œuvre attendre. mot terrible. cette machine entre mes antoine simon 10 aller à la bribe i au dans le flou des souvenirs... voici des œuvres qui, le       vu les 30 décembre 1963. revue       cette     une abeille de pour gilbert j’ai parlé jean dubuffet : honneur       va ton       à samuel chapitre 16, versets 1 pour andré dentelle : il avait       le je ne saurais dire avec assez pour accéder au texte, printemps breton, printemps sainte marie, carissimo ulisse, torna a sommaire ► page suivante 5) triptyque marocain la cité de la musique si elle est belle ? je       à textes mis en ligne en Éphémère du 22 juillet à       su lou ajout de fichiers sons dans se reprendre. creuser son sur la toile de renoir, les antoine simon 25 j’ai donc       le     le cygne sur le voici devant la toile raphaËl dernier vers aoi giovanni rubino dit il en est des noms comme du raphaël monticelli 30 juin ma mémoire ne peut me       "j& pour qui veut se faire une face aux bronzes de miodrag la vie humble chez les nos voix lien vers la totalité des avant même de commencer, sommaire ► page suivante textes mis en ligne en     longtemps sur il est le jongleur de lui         or l’envers de alberto arbasino : ne pas négocier ne       une page suivante ► page deux ce travail vous est       bâ station 3 encore il parle rafale page précédente retour à sommaire des pour maxime godard 1 haute préparer le ciel i  monde rassemblé nouvelles mises en mise en ligne page d’accueil de raphaël monticelli : tu arbre épanoui au ciel       midi       vaches moi cocon moi momie fuseau ses mains aussi étaient       à il était question non j’ai travaillé vers le sommaire des recueils textes mis en ligne en naviguer dans le bazar de       voyage aller à la bribe suivante dernier vers s’il     nous avions       apparu il existe au moins deux quand un critique français tout mon petit univers en ensevelie de silence, (la numérotation des aller à la liste des auteurs un homme dans la rue se prend       le long madame, vous débusquez dans l’innocence des sors de mon territoire. fais  tu vois im font chier carmelo arden quin est une       pass&eac josué avait un rythme       l’ quant carles oït la antoine simon 32  un livre écrit d’abord quelques      &       ...mais vers la deuxième sommaire ► page suivante le galop du poème me présentation du projet et il ne sait rien qui ne va page suivante ► page page d’accueil de sommaire ► page suivante bernard noël, un nous de today i eat my pour accéder au pdf de le pendu dans les écroulements merle noir  pour les petites fleurs des eloge de la boite aux préparer le ciel ii À max charvolen et a la fin   il ne resta pour marcel antoine simon 27 antoine simon 21 cent dix remarques i► cent je désire un page précédente ► page       quinze saluer d’abord les plus ils s’étaient       soleil     après   pour le prochain  le "musée page suivante page très malheureux... l’envers de a l’aube des apaches, dernier vers aoi quando me ne so itu pe       les qu’est-ce qui est en  c’était huit c’est encore à au centre des quartiers de dix l’espace ouvert au       "je sa langue se cabre devant le décembre 2001. la tentation du survol, à       jonathan le 26 août 1887, depuis kurt schwitters. : page d’accueil de en une, une œuvre de page suivante ► page l’attente, le fruit pour michèle page suivante ► page sommaire ► page cyclades, iii° posté sur facebook sorti de dernier vers aoi j’imagine que, comme tout dernier vers aoi l’éclair me dure, rita est trois fois humble. gardien de phare à vie, au errer est notre lot, madame, les cahiers butor sont ping pong entre miche faisant dialoguer       grappes elle dit la main qui fut le li emperere s’est       droite 1) page suivante ► ce pays que 1     pour préparer le ciel i       deux considérant que l’usage deux ajouts ces derniers       grimpant alocco en patchworck © le glacis de la mort  les œuvres de pluies et bruines, comment à la mémoire de christian dernier vers aoi laudatu sii, mi signore, a supposer que ce monde aller à la bribe suivante titrer "claude viallat, je n’aime pas les gens janvier 2002 .traverse pour le prochain basilic, (la madame déchirée mais non, mais non, tu page suivante page vue à la villa tamaris lors de la fête du livre trois tentatives desesperees     faisant la intendo... intendo ! pourquoi yves klein a-t-il et si au premier jour il antoine simon 13 la terre nous deuxième suite  référencem d’un côté textes mis en ligne en c’est — pense-t-on - inoubliables, les       la "l’art est-il cent dix remarques i► cent "nice, nouvel éloge de la petits rien 4 et 5 (env. 7cm i voici. "il y aurait eu un le geste de l’ancienne, trois (mon souffle au matin a la femme au bernard dejonghe... depuis "ah ! mon doux pays, ouvrir la série des pages page suivante page rêve, cauchemar,       gentil       fourr&ea préparer le ciel i ■ cézanne en peinture mes pensées restent       les  avec « a la       sophie calle à beaubourg... la force du corps, les plus terribles       allong&e noir d’en bas ► un c’est la chair pourtant       le       ce qui       et tu À propos de fata en sables mes paroles vous exposition et ouvrage de je n’aime pas ce monde. textes mis en ligne en juin si grant dol ai que ne carles respunt :  née à sculpter l’air : la légende fleurie est le long de l’ombre       coude page d’accueil de malgré ses formules       je fais j’ai en réserve le nécessaire non dernier vers aoi sommaire ► page suivante tu le sais bien. luc ne il y a quelques livres, c’est ici, me présentation du projet fête du livre       ton monde imaginal,  marcel migozzi vient de l’envers de À venise je dispose, sur le pour philippe       fourr&ea tout le temps est là sièges la réserve des bribes       un il ne s’agit pas de grande digue est dispersée on dit qu’agathe cristina m’avait demandé       " immense est le théâtre et       dans le le dit du guide de À l’occasion de       force page suivante ► page antoine simon 24 aller au sommaire de pablo page suivante ► page page d’accueil de     rien je rêve aux gorges chants à tu mon recueil baous et rious je suis haut var ► brec       sur effleurer le ciel du bout des ce jour là, je pouvais       l’ tout le problème archipel shopping, la on a cru à il existe deux saints portant clxvi deus li otreit (la sue)       m’  la lancinante bel équilibre et sa       sur le pour julius baltazar 1 le voile de nuit à la       dans la       reine sommaire ► page suivante bal kanique c’est lu le choeur des femmes de il pleut. j’ai vu la « (…) et il notre but n’est pas de passet li jurz, si turnet a antoine simon 20   (dans le reste de cet été dans cet des quatre archanges que mougins. décembre 3 

les lieux aussi sont  dans toutes les rues       sur le jamais si entêtanteeurydice clers fut li jurz e li ...et la mémoire rêve dans le pain brisé son pour visionner page suivante ► page a claude b.   comme une pour pierre theunissen la à propos “la en 1958 ben ouvre à page suivante ► page l’une des dernières sommaire ► page suivante 1. il se trouve que je suis       la       objectif page suivante ► page page d’accueil de ce jour-là il lui recleimet deu mult       je me a) le chemin de fer 1) la rafale n° 12 où       que de       sur le le franchissement des page suivante page et toi figure a la libération, les page suivante ► page le vieux qui derniers textes mis en ce n’est pas aux choses 1 au retour au moment grande lune pourpre dont les suite de voici l’homme aux deux le 15 mai, à sequence il semble possible ceci… pour prendre mesure. la brume. nuages rafale n° 6 just do et   riche de mes la parol

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ORIANE BENEDETTO

UN CALENDRIER
© Oriane Benedetto
Publication en ligne : 16 février 2016
Ecrivain(s) : Benedetto O.
Clefs : poésie

Un verre de vin pour tacher les envies, Janvier qui tournoie comme un flocon, qui danse dans toutes les bouches, givre, pieds nus, l’air fleure le fer mouillé, les yeux des enfants font une chanson ; juste après Noël, les cuisses serrées des filles avec quelques kilos de trop

Les vingt-huit jours boiteux d’un Février piquant. Le froid crève les manteaux bon marché, cols noirs serrés sur les poitrines trop larges, trop maigres ; l’insatisfaction suinte de ces mains agitées dans l’ombre de la foule au visage neutre

16 heures les cheminées tendent le cou vers le soleil chagrin de l’hiver qui déjà les coiffe pour la nuit ; les chemins du 9ème s’égarent au bout là-bas sous les tangos mûrs des passants pressés. Pas de deux dans le soir qui tombe

Mars à Paris, c’est se promener le sourire enfoui sous le manteau, c’est les matins sans soleil et les mains sur le téléphone, les yeux ouverts tout en les gardant fermés – un somnambulisme confortable à l’aune d’un consumérisme rassurant ; les soldes ont raison du froid et des portefeuilles ; le mot « réussite » agite les bouches pleines de nourriture importée, de légumes de chambres froides

Avril finissant, hiver florissant encore, ce ciel d’absence, les quais s’en foutent, un tableau sans perspective, un goût d’incolore flâne le long des quais de Loire

Les lunettes de soleil du XVIII e au premier rayon de Mai ; Dior et Channel jaillissent du sac à main, de la poche-revolver, la grotte rassurante du veston

Les terrasses grouillantes de 20h en Juin fleurent la bière, rayons de soleil décroissant et moiteur animée s’élève, emplit Montmartre de pépiements

Le parfum des mâles sous Juillet, petits pas de femmes les pieds gonflés de chaleur et de trajets ; tous toujours pressés, le vide de leurs journées, une absence de décisions pesante, une soif latente, au carrefour d’une multitude de choix, de langues, de crépuscules toujours autres, couleurs publicité

Une image d’Août. De longues dames brunes, longues robes blanches, tournoient sur le canal, des enfants jouent alentour ; entre Jaurès et Stalingrad (juste un nom de ville ?) « Pourquoi ont-ils tué Jaurès » flotte au- dessus de l’ignorance. Quai de Seine, quai de gare, de port, de départ, d’autre part, d’ailleurs, tous leurs yeux absents, leurs yeux qui s’inspirent de musique et de demain, sous les peut-être des platanes. La couleur des yeux de ceux qui n’ont pas pris de vacances en été

Rentrée de Septembre et retrouvailles avec les repas étudiants, à tout âge : fromage en plastique et solitude, mais sourire malicieux quand la main - enfantine encore - pioche dans le gruyère, fouille dans le plastique ce parfum de désobéissance

Les tôles grises du dernier étage pleurent leur énième crachin d’Octobre, pluie qui pianote sur les velux - luxe oublié des ultimes chambres de bonnes - bonnes poires provinciales à l’abri sous les combles - combles - c’est pas la baie vitrée du premier, baies rouges sang tachent leur caviar, la pluie n’est pas la même entre la cour et le ciel, dessine des auréoles blanchâtres autour des cheminées pompeuses de ceux qui n’ont jamais froid

Novembre, son ventre gluant, la pluie champignonne gifle les cols imprudents à la sortie des cafés, des parapluies comme milliers de bulbes bigarrés éclosent en contrebas et la pluie aux poumons moites écorce les marrons chauds. À l’abri parmi des visages feuilles mortes, se laisser tanguer dans la tiédeur boursouflée de petites salles de concert au vin rouge sans substance, au décor sans conviction

Sonne Décembre et les honnêtes travailleurs se transforment en joyeux bûcherons : passent des sapins assassinés, une forêt de troncs coupés vogue sur les épaules de costumes trois-pièces. Les rues se teignent du rouge des pères Noël, barbus joviaux pendus aux balcons ; Coca-cola déploie son étendard sanglant sur la ville

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