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Article présent dans les rubriques : FEMMES /
Besoin de couper
© Béatrice Machet
Publication en ligne : 29 mai 2015

un besoin de couper comme de l’eau dans le vin comme langue afin de ne pas l’avaler cette histoire son épaisseur à étreinte engluée où le chant étouffe où le rire ne rebondit ne cascade et vau l’eau sans remord mais extase du regret tombée comme couperet comme lame comme affaire décapitée ce n’est pas cruauté c’est dévoiler la nudité inquiète dirait-on pas écorchée bien sûr la viande est rouge et certain de s’offusquer pourquoi la violence mais sachez qu’elle peut être végétarienne et le charnu n’est pas monopole de carnivore n’est pas seul apanage de palpe ou privilège de mamelle s’y pendre ne résoudrait pas le mystère d’un visage où larme sans trémolo sans grelotté décide de partager de tirer à la ligne la frontière matérialisée côté exalté côté banalisé et le repus se déverse au beau milieu équitable comme un vide l’est au médian du ventre au ventricule du cœur aux oreillettes des lobes
                        frontaux et occipitaux feront la paire leur lot de consolation mentale et replis cérébelleux volontaires dans les intervalles il n’y a plus d’ensemble il n’y a plus d’après il n’y a plus qu’un peu beaucoup passionnément ce besoin frayant son chemin vers la délivrance et qu’on ne prévoit pas nécessairement comme elle sera sinon un avant-goût de la mort dont on décrit la lumière au bout des tunnels multiples n’est pas partout égale l’envie de vivre n’est pas encore ailée n’a pas éclos son potentiel ruminé ressassé qu’on se demande mais où est donc passée l’innocence tandis qu’un soupir assouvi de par le monde dit le bien d’une méthode à bon sens et sentiment dévie dérive jusqu’aux doigts et de touché à coulé l’éternité de nos vies s’est offerte invitée à la table et qui ne suffit

Lézardes et failles. Par où liens peuvent sinuer comme on dirait s’engager. Mais ça n’enferme pas. Aucun bras encore passés aucune chaîne on dirait libre mais au cœur comme une ancre désormais. Et si ça tremble c’est que froid plus désir plus émotion n’égalent pas crainte. C’est pour mieux ouvrir mon enfant. A force de lézardes et de failles.

 Qu’il faille est peu dire il est peu de dire combien peu ça réussit à sortir de toutes ces strates et couches et entassements combien peu fluide comment accrocher puis tirer hisser depuis les tréfonds comme si tout bien considéré le sentiment de séparation s’étageait selon des niveaux depuis blindage jusqu’à foi des degrés d’espoir des échelles de troubles avec brouillards du matin au soir dans les tripes jusqu’à condensés dans les yeux tant qu’il ne fait pas trop froid. Au-dessous de zéro le givre et les rires se figent et les courants embâclent. Temps zéro du dire un peu combien ça encombre sans nœuds pourtant rien que des couches sur socle branlant combien peu on sait naviguer la tête hors de la boue on n’a pas de branchies greffées on n’est pas amphibie même si pieds palmés ont fini par pousser. Un peu.

 Dire comme s’il s’agissait de pêche sur une surface gelée. On doit percer des trous faire gruyère au bon endroit pour que l’air pour que l’eau pour que poissons et tant mieux si phoques déchargent facéties et craintes dans un bêlement d’abord puis grognent et rugissent pour finir. C’est dit.
 Quand le silence fondra on entendra craquer gémir une houle et relancé le battement des marées on aura l’oreille marine et le pied léger sentira des racines lui chatouiller la plante pour que verticale enfin droite et sans hésitation file vers la masse nuageuse des cheveux. Aller haut désormais plutôt que de l’avant vers rien pas le même courant pas le même appel d’air une chute inverse à considérer avec beaucoup d’attention un envol la conscience se détache de la terre où souffrance atterrée on ne veut plus y atterrir on ne veut plus y être enterré. Au bord du vide on ne se trouvera plus happé stop ça suffit les violences on se veut simplement entre des bras bercé(e).
 Reprendre haleine. Harmoniser le rythme de sa vie avec son cœur un mouvement d’apaisement sans parole bien que rien ne soit tu non rien. Exulter désormais quelle que soit la densité à traverser telle que soi se reprendre.

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