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"école de   maille 1 : que  les œuvres de     nous avions  tous ces chardonnerets « 8° de ce texte m’a été bernar venet - seul dans la rue je ris la comme une suite de dieu faisait silence, mais station 5 : comment  le grand brassage des lancinant ô lancinant aller au sommaire de pablo page suivante gérard (vois-tu, sancho, je suis sculpter l’air :       reine autre citation antoine simon 5 le samedi 26 mars, à 15 dernier vers aoi le thème sommaire ► page suivante guetter cette chose       "       cerisier     faisant la mes pensées restent la mort d’un oiseau. nous serons toujours ces outre la poursuite de la mise sommaire ► page suivante monticelli raphael 510 035 voir les œufs de "pour tes les lettres ou les chiffres       reine la pureté de la survie. nul textes mis en ligne en août 1 au retour au moment ce après la lecture de chaises, tables, verres, de sorte que bientôt pas même présentation du projet antoine simon 10       le mise en ligne       la       crabe-ta       o rafale n° 4 on le cliquer sur l’icône dire que le livre est une       apr&egra madame, on ne la voit jamais       bonheur pour egidio fiorin des mots voir aussi boltanski galerie       la l’annÉe 2022 mois par ce texte a été rédigé à aller au sommaire de pablo a-t-on remarqué à quel ils s’étaient sixième   un vendredi de prime abord, il page suivante ► page cent dix remarques i► cent  hors du corps pas la fraîcheur et la aller au texte nous sommes au labyrinthe des pleursils page suivante ► page errer est notre lot, madame, il n’était qu’un       "je aller à la liste des auteurs     m2   dernier vers aoi   je désire un introibo ad altare 1    le recueil que ce 28 février 2002. la vie est dans la vie. se est-ce parce que, petit, on tu le sais bien. luc ne      & (ma gorge est une page suivante ► page rare moment de bonheur, dernier vers aoi peinture de rimes. le texte cristina m’avait demandé les photos et archives       objectif autre essai d’un ceci… pour prendre mesure. pur ceste espee ai dulor e textes mis en ligne en mai À l’occasion de       en un le phonétisme n’a-t-il pas       pav&eacu zacinto dove giacque il mio à propos des grands m1          tu sais la difficile question des c’est seulement au la parol

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LXI

Clefs : mort , peuples , Apaches , lutte

Apaches : l’impossible disparition
L’attaque avait été à la mesure de la brutalité de l’attente... Non pas étonnante et rude, mais perfide, lente ou réitérée, de part et d’autre organisée, mise en scène et répétée, redite, sorte de complaisance envers l’atrocité. Brutale, oui, mais non soudaine. Mais les attaques ou la mort ne sont jamais soudaines : longues préparation des condamnés à mort entre le moment où l’arrêt est rendu et celui où leur tête tombe. Longues agonies qui durent la vie de chacun et ne s’achèvent en fait que lorsque cessent toutes les déperditions. Les préparatifs avaient duré ce que l’attaque devait durer. Et les Apaches avaient distillé la mort contenue dans leur séculaire attente. Et ils avaient, en retour, reçu la mort cultivée par des siècles de civilisation. Chaque scalp, chaque tête coupée, chaque corps écorché, chaque corps lacéré, démembré, écartelé, brûlé, ne venait que comme unité dans l’addition des préparatifs d’attente. Et les gestes de la mort avaient la lenteur lourde de chorégraphies sacrées. Il fallait sentir le sabre pénétrer les chairs ; il fallait goûter la résistance des corps, les cris noyés de sang et de terre, la puanteur de la peur avant celle de la putréfaction ; il fallait jouit du grésillement des tissus, du murmure de sources jaillissant de veines ouvertes et d’artères béantes. Il fallait entendre, au rythme sourd des flèches amollissant les corps, des masses écrasant des crânes, des corps heurtant des corps dans des étreintes mortelles, et la douceur inattendue du couteau pénétrant des gorges, remuant des viscères, et la douceur aussi, chaude et fade, des écoulements. Qui pouvait encore savoir si le sang dont il se gorgeait était celui de l’autre ou le sien ?... Il provoquait la même ivresse, le même oubli, et, en même temps, la même angoisse satisfaite, rayonnante, repue. Chacun se gonflait de la mort des autres et la traînait après soi, et rêvait de terres bien plus prospères, fumées de sang et de pourrissements :

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