Identité durée dans le profond de soi dans l’intime du corps-cœur sa délicate humidité condensée perle chute et fugue comme un excès qui défierait la perte. Fougue sage. Vibration ardente et bienveillance. Se prolonge sans impatience note tenue d’un serment souvenu renouvelé dans le lointain en des irisations. Le pied s’y pose et se trouve propulsée l’identité en gagnant de la vitesse comme pour accepter. Le monde comme il va tel qu’en lui-même entre asile et beauté parfois devenu toujours accordé. Et l’arc-en-ciel d’une réalisation. Se poursuit défiant la perte durée. L’identité.
A s’écrire femmes. Rumeurs inachevées. Le téléphone. Seul ne sonne pas. Elles attendant. Ne sonnera pas. Femmes seules. Figées. Pétrifiées. Si le téléphone sonnait ? Il n’a jamais sonné et si cela arrivait leur cœur n’y résisterait pas. Le téléphone continuerait de sonner et le cœur aurait cessé de battre. Percussion ou bien cuivre il faudrait choisir. Vouloir. Mais quoi. Elles attendant. Effrayées. S’endorment enfin quand tous les amants du monde sur leur couche se penchent. Rumeur dans le rêve. Est-ce bien vous ma princesse ? Je vous ai cherchée si longtemps. Cloches drelinent. Téléphones appellent. Mains se tendent. Si tous les amants du monde faisaient une ronde. Plus seules que seules les femmes. Au centre de la ronde n’entrent pas et pourtant sonnerie. Au matin prétendent dormir quand l’amant s’en va. Les femmes. S’écrire.