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etudiant à page suivante ► page ce jour-là il lui tous feux éteints. des au commencement était page suivante ► page   j’ai souvent       il merci à la toile de prologue et puis t’es marché ou souk ou attendre. mot terrible.       la dans l’effilé de a) le chemin de fer 1) la et c’était dans six de l’espace urbain,       le quant carles oït la le chêne de dodonne (i)       la "école de page suivante ► page tes chaussures au bas de sommaire ► page suivante haut var ► brec       dé   pour théa et ses       ".. antoine simon 16 quand c’est le vent qui       dans la préparer le ciel i tant pis pour eux. dans le flou des souvenirs... ce poème est tiré du dernier vers aoi seins isabelle boizard 2005 ouverture d’une 5) triptyque marocain voir les bifaces de b. c’est ici, me pour lee la bouche pleine de bulles accéder au texte en cliquant "le renard connaît       que de  mise en ligne du texte ++++   sur le papier neuf j’implore en vain je t’enfourche ma outre la poursuite de la mise       é       st encore une citation “tu préparer le ciel i c’était une de l’autre au labyrinthe des pleursils       longtem je sais bien ce qu’il je t’ai admiré,       reine       mouette voir les œufs de   pour le prochain légendes de michel la tentation du survol, à reste de cet été dans cet vers ponctuations  dans toutes les rues des conserves ! éphémère du 2 alocco, au château de les textes mis en ligne antoine simon 13 a-t-il       fleur cent dix remarques i► cent au seuil de l’atelier       les le pendu a grant dulur tendrai puis page suivante ► page       au fond non... non... je vous des quatre archanges que des voiles de longs cheveux       je fais       à de mes deux mains montagnes de j’ai longtemps a - preliminaire prenez 3       dans abstraction voir figuration dernier vers aoi je rêve aux gorges cristina de simone : le page suivante ► page références : xavier 3 

les lieux aussi sont antoine simon 5     nous avions le dernier recueil de comme c’est bernard noël, droits pluies et bruines, comment page d’accueil de on n’écrit qu’un deux mille ans nous premier vers aoi dernier le rideau (gallimard 2005) de pour michèle gazier 1       il j’pense à toi bruno       gentil a) les villes abandonnées il       droite page précédente retour agnus dei qui tollis peccata voir aussi boltanski galerie branches lianes ronces approche du continent   ciel !!!! je serai le pilote aux yeux que d’heures mougins. décembre un besoin de couper comme de sommaire des contributions alain lestiÉ un art de la le glacis de la mort       juin écrire comme on se parmi les éditeurs pour egidio fiorin des mots aller à la liste des auteurs l’homme est ecrire, la vie en dépend, textes mis en ligne en avril antoine simon 2 fragilité humaine. page suivante ► page dix l’espace ouvert au page d’accueil de 19 mars 2022, savigny sur raphaËl on peut croire que martine       sur le antoine simon 33       à dernier vers aoi aller à la bribe suivante dernier vers aoi textes mis en ligne en août exode, 16, 1-5 toute exposition de la série journée de il y a quelques livres, le chêne de dodonne (i) page suivante ► ce pays que pour andré villers 1)       voyage dernier vers aoi page suivante ► page l’attente, le fruit à claude held patiente la où l’on revient page suivante ► page l’heure de la il en est des noms comme du percey priest lake sur les biboon. plus qu’une saison. un texte que j’ai aller vers le musicien nègre il ne s’agit pas de le 23 février 1988, il l’appel tonitruant du de pareïs li seit la le poiseau de parisi mon lorsque la langue dérape, le est-ce parce que, petit, on ainsi fut pétrarque dans en introduction à la toile, d’avatar en quelques photos retour au texte il tente de déchiffrer, À la loupe, il observa textes mis en ligne en juin autre petite voix       entre textes mis en ligne en mars dans les écroulements je ne saurais dire avec assez embrasement du mantra gore rafale n° 12 où deus li otreit (la sue) le nécessaire non         de pa(i)smeisuns en est venuz cent dix remarques i► cent les plus terribles pénétrer dans ce jour, maintenant il connaît le Être appelé par son nom       bien le dit du guide de préparer le ciel i issent de mer, venent as       &nbs lorsque martine orsoni si tu es étudiant en 0- souviens-toi. sa pour max charvolen 1) page suivante page ce texte m’a été recleimet deu mult Écoute, bûcheron, arrête l’impression la plus il était question non rm : tu as décidé textes mis en ligne en rien n’est plus ardu 1.- les rêves de pour jean marie une errance de granz fut li colps, li dux en page d’accueil de ce mot comme à la hâte       cerisier la gaucherie à vivre,       l’       bruyante preambule – ut pictura iii sur l’eau a) au grÉ art jonction semble enfin mise en ligne d’un noir d’en bas ► un chers élèves du collège merle noir  pour sainte marie, petits rien 4 et 5 (env. 7cm       apparu j’ai en réserve       su lou  les premières aller à la bribe suivante page d’accueil de       dans le dernier vers aoi bien sûr, il y eut  hier, 17 en ceste tere ad estet ja viallat © le château de présentation du projet   un vendredi page d’accueil de marcel alocco a aller à la liste des auteurs comment entrer dans une "si elle est dans les carnets l’éclair me dure, page suivante ► page bribes en ligne a derniers sept (forces cachées qui vers la lettre ouverte au pour écouter ce moment de page suivante ► je suis né     surgi le chêne de dodonne (i)       une       pav&eacu page précédente le café pour jacky coville guetteurs il regarde il écoute il quelque temps plus tard, de oiseau tranquille au vol page d’accueil de passet li jurz, la noit est textes mis en ligne en intendo... intendo ! Éléments - sur l’erbe verte si est le chêne de dodonne (i) textes mis en ligne en ce jour là, je pouvais cent dix remarques i► cent aller à la liste des auteurs 30 décembre 1963. revue carmelo arden quin est une quel ennui, mortel pour bien sûr la alain remila : un des cet univers sans vers la première bruno mendonça avait son voir document expo boltanski couleur qui ne masque pas le corps encaisse comme il antoine simon 31 nice, le 8 octobre       apr&egra dernier vers aoi marie antoinette aller à la bribe suivante page suivante ► page chère florence la mort d’un oiseau.  tu vois im font chier j’ai ajouté (de)lecta lucta   ils sortent m1       pour jean-louis cantin 1.-       magnolia sommaire ► page suivante le 28 novembre, mise en ligne madame est une torche. elle  les éditions de ço dist li reis : arbre épanoui au ciel     &nbs tous ces charlatans qui page suivante ► page pour andré préparation des corps       longtemp station 7 : as-tu vu judas se vers avant-œuvre ► mots, pas facile d’ajuster le ping pong entre miche antoine simon 12    il page d’accueil de depuis quelques années se i) dieu doit-il présenter je voudrais voir les arbres textes mis en ligne en madame, on ne la voit jamais sommaire des mises en tu le sais bien. luc ne     quand basile avant même de commencer, <p présentation du projet lire chronogaphie (bribe 133 voir les œufs de quelques textes je déambule et suis ils avaient si longtemps, si ++++   en prenant acte carcassonne, le 06 « e ! malvais histoire de signes . nice, le 18 novembre 2004       le je ne sais pas si « l’essentiel est i en voyant la masse aux juste un avant-dire  “... merci au printemps des on croit souvent que le but mais jamais on ne abords de l’inaccessible page suivante ► page page suivante ► page sommaire ► page suivante   ces notes ce qui aide à pénétrer le page suivante ► page 1. il se trouve que je suis à antoine simon 15 dernier vers aoi retour à la recherche oui la 1. passera-t-on par l’eau je crie la rue mue douleur aller à la bribe suivante toulon, samedi 9   au milieu de ce cliquetis obscène des rafale n° 10 ici page suivante page       force page suivante ► page petit souvenir    de femme liseuse j’arrivais dans les la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Peindre autrement
Publication en ligne : 25 décembre 2011
Ecrivain(s) : Monticelli R.

J’ai donné, au mois de septembre 2011, ce texte à la revue Performarts. Il s’agit d’une approche de la manifestation "l’art contemporain et la Côte d’Azur", qui s’est déroulée durant tout l’été.

 

Trop... Il y a trop ! Dans l’exposition "L’art Contemporain et la Côte d’Azur"’ il y a surabondance de biens : trop de lieux, trop d’expositions, trop de peintres. N’allez pas croire que je proteste et que je boude mon plaisir... Non... Il y a tant, qu’il est impossible de parler de tout...

Essayons d’aller au coeur.

Au coeur du projet ACCA, il y a l’action et les expositions des musées nationaux et de leurs conservateurs.

Voici plus de 10 ans, sous l’impulsion de quelques conservateurs, dont Xavier Girard àMatisse et Maurice Fréchuret au musée Picasso d’Antibes, était organisée, dans une dizaine de lieux, une exposition qui donnait àvoir la présence de l’art moderne sur la Côte d’azur.

Après avoir occupédivers postes, Maurice Fréchuret revient àNice pour prendre la direction des 3 musées nationaux du département. Un grand projet en tête : donner un suite àl’exposition "la Côte d’Azur et l’art moderne" : ce sera "L’Art Contemporain et la Côte d’Azur", cette exposition évènement qui investit une cinquantaine de lieux de Carcès à Perinaldo.

 

Au coeur du projet, il y a donc les Musées nationaux. Et Maurice Fréchuret. Son propos est de dépasser le constat et de mettre en avant les problématiques qui caractérisent l’art contemporain, de montrer en quoi l’art de notre temps est "autre", comment s’y concrétisent quelques ruptures et quels en sont les enjeux. Il résume le tout sous un titre simple et clair : "La peinture autrement" qui se décline en trois propositions dans trois lieux différents.

De l’ensemble du projet, et des 3 expositions "La peinture autrement", la plus significative, ou la plus démonstrative, est celle qui se tient au musée Léger. Maurice Fréchuret en a confiél’organisation àla conservatrice, Ariane Coulondre. Sans minimiser l’intérêt et la qualitédes autres expositions, il faut dire que celle-ci est remarquable àplus d’un titre.

La commissaire a réuni au musée Léger la plupart des artistes de ce territoire qui, depuis les années cinquante, ont engagéla peinture dans des procédures "autres". On ne retrouve pourtant pas la distinction habituelle entre Nouveau Réalisme, Fluxus, Peinture analytique et critique (Supports-Surfaces et Groupe 70), tout comme on ne s’interroge pas sur une hypothétique "École de Nice". La ligne d’exposition choisie explore la façondont ces artistes ont engagéde façon manièrenovatrice des procédures plastiques simples, qu’elles soient artistiques ou non. Les termes en sont simples : déployer, peindre, teindre, couvrir, coudre, assembler... Ils sont élémentaires : ils mettent en vue le fait que ces peintres s’attaquent aux fondements, àla spécificitéde l’art. Ils sont efficaces : d’une part, ils inscrivent chacune des démarches dans une perspective historique et anthropologique, d’autre part, ils permettent des rapprochements que la répartition en groupes, tendances et mouvements tendaient àmasquer. Si certains rapprochements se sont faits de longue date, comme ceux qui font se côtoyer Miguel, Charvolen, Alocco, Maccaferri, Valensi et Dezeuze, d’autres sont plus inattendus. Et on se surprend àtrouver évident, par exemple, qu’Hartung se retrouve près d’Arman ou de Cane ou que les brûlages de Burri voisinent avec ceux de Dolla, Klein et Saytour. En bref, Ils sont pertinents : ils permettent de rendre lisibles par tous la dynamique des recherches, la cohérence, individuelle et collective, des démarches.

En outre, les choix de la commissaire et la mise en espace des oeuvres permettent un étonnant dialogue entre les démarches contemporaines, les oeuvres de Fernand Léger et la configuration du bâtiment. Si les artistes présentés ne reconnaissent pas tous l’héritage de Léger, la communautéde recherche ou d’inquiétude apparaît par exemple dans le couple déconstruction/reconstruction des éléments de la peinture ou dans l’interrogation sur la place de l’art dans la vie sociale ou le statut des objets usuels dans l’art. Quant au dialogue avec la configuration du bâtiment, normalement traitédans l’accrochage, il est spectaculairement subtil, àl’intérieur, avec la proposition de Charvolen dont l’oeuvre, in situ, est en cours de réalisation, àl’extérieur avec les propositions de Venet (la reprise de l’historique tas de charbon !), Pagès et Dolla.

Naturellement, aucune approche de l’art n’est jamais vraiment juste et exhaustive... Et la simplicitése paie... On sait bien, par exemple, que telle toile de Dolla n’est pas brûlée, mais marquée àla fumée. Mais la commissaire ne donne pas ses propositions pour vraies. Elles les propose comme hypothèses de travail, ou pistes de lecture, et force est de reconnaître que ces hypothèses fonctionnent bien, donnent à comprendre et à penser.

Trop... Comment pourtant ne pas mentionner l’exposition présentée au musée Chagall : elle complète, plastiquement, et prolonge, historiquement, celle du musée Léger. On y lit d’abord la continuitédes problématiques de l’art contemporain ou, si l’on préfère, la continuité, le creusement, des ruptures initiées dans les années 50-70. Les nouvelles générations ont intégréles leçons des artistes qui les ont précédées : libertédes supports, des matériaux, des outils. On peint au chewing gum, comme Figarella, ou àla crème chocolat, comme Blazy, qui laisse au temps et aux souris le loisir de compléter son travail. On construit, comme Pinaud, un cylindre de bobines de fils de toutes les couleurs. On récupère, comme Chevalier, les résidus de peinture dans l’atelier, on les superpose et on les cloue au mur. On explore les rapports entre photo, video et peinture. On fait chatoyer la couleur sur des supports nouveaux, ou on la piège, àla colle thermofusible, sur des câbles d’acier, comme Wilson Trouvé. Et l’écho entre les deux expositions se retrouve encore dans l’oeuvre in situ proposée par Jérôme Robbe sur la terrasse du musée, impressionnant paysage dans le paysage, oùse fiancent un béton incertain et une couleur diffuse...

 

Trop... Et pourtant... Le nombre des artistes présents dans la manifestation est si important qu’on a du mal à comprendre certaines absences. Sur le site de la revue, j’ai déjà évoqué quelques noms : ceux de Serée, Maccheroni ou Thupinier, par exemple... J’aurais pu en donner quelques autres, comme Scholtès, Lanneau, Farhi ou Sosno... Ce genre d’oubli est toujours gênant, troublant et douloureux... Souhaitons qu’on saura quelque jour le réparer.

 

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