BRIBES EN LIGNE
suite du blasphème de   je ne comprends plus une fois entré dans la le plus insupportable chez antoine simon 27 revue       neige un survol de l’annÉe il ne sait rien qui ne va reste de cet été dans cet s’ouvre la cliquer sur l’icône tous ces charlatans qui       baie       sur le quand il voit s’ouvrir, aller à la bribe suivante dans la caverne primordiale un homme dans la rue se prend à claude held patiente la vers la lettre ouverte au antoine simon 22       ...mais antoine simon 26 <script           pé       un merle noir  pour macao grise le chêne de dodonne (i) il pleut. j’ai vu la     pour accéder imagine que, dans la tromper le néant     cet arbre que merci au printemps des d’abord la crise du et si tu dois apprendre à textes mis en ligne en juin pour raphaël janvier 2002 .traverse rare moment de bonheur, présentation du projet deuxième essai       sur les nous avancions en bas de mult est vassal carles de textes mis en ligne en       la       quinze si j’étais un autre petite voix       descenda Écoute, bûcheron, arrête bel équilibre et sa     un mois sans je t’ai admiré, torna a sorrento ulisse torna page d’accueil de la lecture de sainte « amis rollant, de raphaël monticelli : tu       pav&eacu aller à la liste des auteurs "ces deux là se avec marc, nous avons village de poussière et de assise par accroc au bord de page précédente longue le poiseau de parisi mon la mort, l’ultime port, en 1958 ben ouvre à cela fait 53 ans que je    au balcon    il       pass&eac il ne s’agit pas de un tunnel sans fin et, à elle réalise des textes mis en ligne en le chêne de dodonne (i) page suivante ► ce pays que voir les œufs de       allong&e pas même       gloussem       fourmi&n je désire un trois tentatives desesperees nous serons toujours ces pour gilbert       voyage  dans le livre, le À l’occasion de le slam ? 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je grande lune pourpre dont les mais non, mais non, tu 1 au retour au moment g. duchêne, écriture le       fleurett le 26 août 1887, depuis c’était une très jeune eurydice toujours nue à essai de nécrologie, il semble possible lire la réponse de michel le tissu d’acier la bouche pleine de bulles centre georges 1. passera-t-on par l’eau a-t-on remarqué à quel haut var ► brec       reine chers élèves du collège "la musique, c’est le trois (mon souffle au matin lire le texte naviguer dans le bazar de ce poème est tiré du la musique est le parfum de antoine simon 30 le franchissement des a christiane les photos et archives page suivante ► page à propos des grands       dé c’est une sorte de tout mon petit univers en pour accéder au texte au page suivante ► page dans un coin de nice,       apr&egra premier vers aoi dernier page précédente retour       ( voir les œufs de bernard dejonghe... depuis page d’accueil de vers le sommaire des recueils rafale n° 3 des       parfois pour julius baltazar 1 le page suivante ► nous au centre des quartiers de les terrasses abandonnées la terre a souvent tremblé       bâ là-bas, dans le pays des       enfant       à jean dubuffet : honneur quando me ne so itu pe mougins. décembre exposition de la série     sur la pente page précédente page neuf j’implore en vain exode, 16, 1-5 toute dernier vers s’il cet article est paru les éditions de la passe du ► les mots du désir à page suivante ► page aller à la liste des oui la la vie humble chez les petit souvenir       rampant démodocos... Ça a bien un vers le sommaire des recueils on n’écrit qu’un       pass&eac pour accéder au texte, "tu sais ce que c’est marché ou souk ou alocco en patchworck © frères et sophie calle à beaubourg... deus li otreit (la sue) effrayante humilité de ces napolì napolì les embrassées , cantilène pour frédéric tout en travaillant sur les À venise je dispose, sur le (elle entretenait       tourneso si tu es étudiant en ils s’étaient page suivante ► page les plus vieilles préparer le ciel i j’ai changé le antoine simon 18 si vous entendez le lac vue à la villa tamaris d’abord quelques je crie la rue mue douleur sous ce titre inspiré de la ce qu’un paysage peut un besoin de couper comme de dans ce périlleux textes mis en ligne en le chêne de dodonne (i) la parol

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MARCEL ALOCCO

Régine Robin et ses identités
© Marcel Alocco
Publication en ligne : 25 mars 2010
Première publication : novembre 1999
Ecrivain(s) : Alocco
Clefs : Robin R.

Régine Robin, Montréal, Shtetl-Paris vingtième, Pologne-en-Québec. Telle pourrait être l’adresse virtuelle ou symbolique d’un écrivain passé de la rue Botha à Montréal après transit par Fontenay (E.N.S) Aix-en-Provence pour maîtrise et, avec quelques indigènes itinérants, création de la revue niçoise « Identités » ; étape aussi par la Bourgogne pré-révolutionnaire pour doctorat. Spécialité, la bio-fiction : quelque chose qui ressemble à de l’Histoire et à de la rumination poétique, mêlées. Un mesclun. Peut-être ce que jadis j’ai, pour une longue rhapsodie, indûment désigné « roman » dans une collection intitulée « Contes et Poèmes » (Oswald 1969) et que plus récemment, par défaut de terme plus adéquat, j’ai pour mon cas appelé ‘’pastrouil’’ ? Bio-fiction serait la traduction en international d’un pastrouil d’historiens sérieux, entre intellectuels avertis et sensibles. Mais la raison n’y reconnaîtrait sans doute guère ses enfants déguisés. Le jeu est aussi d’être et de ne pas être l’un ou l’autre dans cette foule de personnages qui parlent ou sont parlés. ‘’Kaluszyners’’(habitants de Kaluszyn) ou Lénine (avec cheval blanc), Régine Ajzersztejn, Pamela Wilkinson ou Emilia Morgan, ou Nancy Nibor, ou encore Martha Himmelfarb, Régine Robin ou sa fille, narratrices ou narrateurs...Un labyrinthe des mémoires (on dit ‘’recherche d’identité’’) qui s’apparente à l’essayage de prêts à porter dans un grand magasin avec l’espoir de tomber sur son personnel fait-sur-mesure égaré. Autant dire que l’on se vit comme essayant être, le réussir n’étant pas d’arriver (où ?), mais d’être, itinérant, forcément itinérant. Harassant.

 Passons sur les ouvrages dits plus solides du professeur, une dizaine d’essais ou travaux universitaires dont quelques uns ont compté, (tel « Histoire et linguistique », Armand Colin, 1973), mais somme toute moins sérieux, pour nous aujourd’hui, que les à-côtés de l’écrivain. Tout le programme est dans un premier livre inclassable, essai-récit-fiction paru en 1979 (Rééd. Berg International, 1995) :« Le cheval blanc de Lénine ou l’histoire autre » Si j’avais eu besoin de m’inventer des ancêtres, de jouer avec l’Histoire qui façonne les destins, si je ne pouvais accepter ma famille que distancée dans l’épopée tragi-comique ou alors dans le carnavalesque ? Allez savoir ce qui est vrai, allez démêler la part de mes fantasmes, allez y voir de près. Oui, mais plus loin :  ...si conforme à la mémoire familiale tout cela était néanmoins totalement faux... . « L’immense fatigue des pierres » (XYZ éditeur, 1996) serait donc encore une étape dans une entreprise de construction plus que de reconstruction.  Elle, la petite, c’est à l’école de la République qu’elle était heureuse avec nos ancêtres les Gaulois, la belle forme hexagonale de la France, Le Tour de France de deux enfants, et ses poètes s’appelaient Lamartine et Musset. Et puis et puis... L’errance choisie est faite de légèreté, mais de tristesse, de plaisir présent mais de la persistance de loin venue d’un goût amer.
Si le premier de ces livres se présente comme le récit du « déplacement » d’une communauté juive depuis Kaluszyn jusqu’à... partout ailleurs, essai chemin faisant sur ce roman familial bien particulier, le deuxième est constitué formellement d’une série de nouvelles qui gravitent autour d’un même destin ou qui se recoupent partiellement pour dire la solitude de l’individu dans sa paradoxale appartenance à une histoire « avec » : avec tous les autres, ceux de sa culture (de ses cultures ?), ceux de sa famille pour le moins. Finalement, Nous nous contenterons de peu. Méditer sur l’arbre généalogique, trouver le moyen de redonner une place à ces cinquante et une ombres qu’elle n’a pas connues. Entreprise énorme, si on mesure tout ce qui serait exigé pour y parvenir— et les conséquences. En quoi sommes nous concernés ? En ce que les vrais problèmes qui mettent en jeu l’individu sont au-delà du particulier : ceux des origines et des identités qui travaillent chaque culture.
 
La Strada n°9 novembre 1999

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