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légendes de michel présentation du projet il est le jongleur de lui       j’ pour maxime godard 1 haute pour robert branches lianes ronces ils avaient si longtemps, si  au travers de toi je vers le sommaire des recueils       ce j’ai en réserve cliquer sur l’icône je n’aime pas les gens le geste de l’ancienne, éphémère du 2 pour accéder au texte, antoine simon 9       apparu tu le sais et je le vois 30 décembre 1963. revue tout le problème page d’accueil de derniers vers sun destre laure et pétrarque comme page suivante page la gaucherie à vivre, rafale n° 7 un constellations et dernier vers aoi nous savons tous, ici, que vous, dont l’âme, le   ceci… pour prendre mesure. jusqu’à il y a     l’é sans être grand textes mis en ligne en les articles mis en ligne en titrer "claude viallat, les embrassées , cantilène sous l’occupation À perte de vue, la houle des       il   entrons maintenant préparer le ciel i attention beau dernier vers que mort page suivante ► page un tunnel sans fin et, à petits rien 4 et 5 (env. 7cm ma mémoire ne peut me naviguer dans le bazar de vers la lettre ouverte au il en est des meurtrières. soudain un blanc fauche le       st page suivante ► page juste un c’est extrêmement le flot pâle des maisons dernier vers aoi le flot gris roule contre pour julius baltazar 1 le   la baie des anges       m’ suite de torna a sorrento ulisse torna qu’est-ce qui est en       la etait-ce le souvenir retour au texte       l’ encore une citation “tu nos voix dernier vers aoi l’une des dernières en cet anniversaire, ce qui quai des chargeurs de samuel chapitre 16, versets 1 je t’enlace gargouille  epître aux la vie humble chez les quatre si la mer s’est quand il voit s’ouvrir, aller à la liste des auteurs rien n’est plus ardu ço dist li reis : page suivante page antoine simon 27       une       dans la  hier, 17 marché ou souk ou     double sommaire ► page suivante 1 la confusion des dernier vers aoi le chêne de dodonne (i)       la page précédente longue     le pas facile d’ajuster le       force vers les voix de l’ange année 2018 ► année 2020 " je suis un écorché vif.       il       au         suite du blasphème de textes mis en ligne en juin je reviens sur des tendresse du monde si peu à claude held patiente la page suivante ► page madame porte à il y a quelques livres, sur la toile de renoir, les karles se dort cum hume l’odeur de ce tous ces charlatans qui ki mult est las, il se dort les installations souvent, de toutes les ce texte a été rédigé à face aux bronzes de miodrag Éléments - éphémère du 6 octobre       ma   *   libre sables mes paroles vous les céramiques et leurs   un (À l’église se placer sous le signe de nous serons toujours ces page suivante ► page il n’est pire enfer que le poiseau de parisi mon noir d’en bas ► un pour alain borer le 26       pass&eac aller à la bribe suivante halt sunt li pui e mult halt madame déchirée le 15 mai, à   pour olivier page suivante ► page une errance de 1 au retour au moment aller à la bribe suivante page suivante ► macles et  je ne voulais pas cent dix remarques i► cent vers le sommaire des recueils j’oublie souvent et sommaire ► page    de femme liseuse paysage de ta page suivante ► page un texte que j’ai merci à la toile de * il te reste à passer 13) polynésie       araucari       "  la lancinante pour raphaël dernier vers doel i avrat, ouverture de l’espace vue à la villa tamaris page suivante ► page today i eat my page suivante ► page le grand combat :  pour de cela fait 53 ans que je et si tu dois apprendre à les mots te viennent que tu malgré ses formules pur ceste espee ai dulor e sommaire ► page suivante dernier vers aoi ping pong entre miche       vers la deuxième aller à la bribe suivante cent dix remarques i► cent a christiane deux nouveauté,     tout autour À alessandra la parol

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RAPHAËL MONTICELLI

Edmond Vernassa... un ami s’en va
Publication en ligne : 9 mars 2010
Artiste(s) : Vernassa Ecrivain(s) : Monticelli R.

Edmond,


sa grande silhouette, son profil d’aigle au regard tendre et attentif et curieux et bienveillant, sa voix qui charrie un peu de cet air qui passe entre des pierres d’eau, comme un fond de murmure ou l’écho affaibli d’une plainte très ancienne ; ses gestes, ses mouvements, saisis comme par une retenue, une inquiétude...
Edmond toujours parmi ses oeuvres -son travail- aussi étonnant qu’étonné, aussi éblouissant qu’ébloui, s’excusant presque quand on lui témoigne quelque admiration, gêné, toujours, un peu, d’être, de n’être pas, d’avoir fait, de n’avoir pu faire, gauche parfois, comme un dieu timide égaré parmi nous.
Edmond est bien cet homme d’innovation, d’invention, de recherche, de découverte : il est allé voler des formes nouvelles de l’art dans cet au-delà silencieux et terrible que l’on trouve à la pointe extrême des possibles, quand on a su épuiser la technique, essouffler les savoirs, trouver le point le plus ardent de la rencontre des autres, lancer non seulement son intelligence -son intellect- mais tout son corps, sa tête, ses bras, ses mains, son coeur -son coeur- et son âme -son âme- à l’assaut des questions que se posent les hommes.
Edmond est cet homme, cet artiste.
Disons génial en rappelant que ce mot est parent de gens, et d’ingénieux et d’ingénieur.
C’est la passion discrète -la passion- des gens, des simples gens ; c’est l’affection retenue qu’il leur porte et que tous lui portent (et cette tendresse -infinie- réservée, doucement lumineuse qui lie Edmond et Monique).
C’est l’admiration qu’il éprouve pour les aventuriers de la justice et du savoir et que tous ceux-là éprouvent pour lui. Quand surgit l’image d’Edmond, et c’est souvent, il est accompagné de tous ceux qui, connus et inconnus, ont lié une part de leur aventure à la sienne, les rêveurs de mondes apaisés, les constructeurs du virtuel, les passeurs de l’art, les fouilleurs d’étoiles et remueurs de ciels, et ceux qui construisent des ponts pour les hommes et les femmes et leurs enfants, entre la vie, les arts et les sciences, et ceux qui s’éblouissent de voir Edmond donner forme tangible à leurs recherches sur ce que l’on dit chaotique...

Edmond Vernassa, génie ouvrier, en rappelant que ce mot est parent d’opera et d’oeuvre, et tous trois proches d’ouvrir. "

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