"Pour tes débordements mon peuple ; pour tes trop brusques violences, pour ta grande vigueur quand la fureur te prend…"
(Torna a Sorrento Ulisse torna a Sorrento la canzone della Sirena ci batte ancora la terra e i fianchi del vesuvio. O morte ! ad ogni passo...)
Et dans la grande salle
il disait
Autre folie de Josué
Je tourne ainsi. Chaque jour. Je tournerais tout aussi bien sans tout ça... Mais quelque chose me dit qu’à tourner ainsi de la sorte je finirai par trouver sinon une issue (grands dieux, non ! je n’en demande pas tant !), du moins un sens (je crois que c’est ainsi que ça se nomme : un sens, oui, oui, un sens) je ne sais s’il est besoin de faire preuve de grande prudence, ni si je risque quoi que ce soit ni même s’il fallait vraiment que j’en arrive là... Mais chaque jour ça recommence . Ça recommence de même manière. Si je n’étais pas aussi équilibré, aussi plein d’assurances ou en tout cas de sens (je crois que c’est bien ça, de sens, c’est exactement le mot qui convient), je crois bien que je finirais en déchet ou épave, perdu corps et âme dans une immense beuverie ou inlassable drogue (dit-on droguerie ?) (Non, je crois que c’est autre chose... il faut toujours appeler les choses par leur nom...) : il en est pourtant qui insinuent parfois des perfidies. Non, vraiment, tout ça ne m’atteint pas... Je sais bien ce que parler veut dire, et ce que vivre signifie, et quel est le sens de... Mais laissons, comme dit l’autre, repris bien souvent, les mots enterrer les mots et poursuivons... Il faudra quelque jour que je raconte par le menu l’histoire de ma vie, des gens très bien le font je
Il dit ces mots qui s’envolent et
septième nécrologie
"Et Jacques aussi est mort,
non, lui non plus n’est plus"
Quelques chose là-bas mûrissait