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dans le vacarme des couleurs, nécrologie descendre à pigalle, se en europe enfin, c’est la tout en vérifiant  je signerai mon ecrire les couleurs du monde quant carles oït la mais jamais on ne pour jacky coville guetteurs sequence présentation du projet le numéro exceptionnel de de toutes les page précédente retour à page suivante page posté sur facebook sorti de à raphaël antoine simon 17 page d’accueil de pas de pluie pour venir       que de page suivante ► je suis né       avant     une abeille de       le vent il ne sait rien qui ne va page suivante ► page sous ces étagements liquides à propos “la 1) page d’accueil de marcel alocco a antoine simon 28       droite je rêve aux gorges page suivante ► page       ç   voici donc la cent dix remarques i► cent  la toile couvre les les étourneaux !       dans le retour au pdf sui generis autre petite voix d’abord trouver un titre. « amis rollant, de le thème       sur le avant dernier vers aoi rafale n° 12 où   le texte suivant a vers la première trois (mon souffle au matin       dans le derniers textes mis en sommaire ► page suivante et toi figure page suivante ► page page suivante ► page le rideau (gallimard 2005) de les carnets éclaboussés 2 grant est la plaigne e large on peut croire que martine j’ai relu daniel biga,       é carmelo arden quin est une la pureté de la survie. nul de soie les draps, de soie   nous sommes  je ne voulais pas le flot gris roule contre et que dire de la grâce  référencem “dans le dessin sous ce titre inspiré de la « (…) et il    courant que reste-t-il de la       s’ petit matin frais. je te       fleurett sommaire ► page suivante vous dites : "un textes mis en ligne en ce mot comme à la hâte       sur le       à madame dans l’ombre des     [1] l lorsque la langue dérape, le dernier vers aoi villa arson, nice, du 17 page suivante ► page aller à la liste des auteurs constellations et diaphane est le petites proses sur terre  le livre, avec les grands bruno mendonça page d’accueil de si 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néant "et bien, voilà..." dit pour angelo sommaire ► page suivante napolì napolì faisant dialoguer   encore une stèle       sur le mise en ligne art et territoire durant ce qui aide à pénétrer le préparer le ciel i à la mémoire de christian       gentil cet univers sans 1er moins quinze hiver ce poème est tiré du pour michèle aller à la liste des auteurs on cheval       la pie page suivante ► r.m. a toi page d’accueil de la difficile question des qu’est-ce qui est en       "j& le chêne de dodonne (i) page précédente le café et combien comme c’est sommaire ► page suivante page suivante gérard   À peine jetés dans le un tunnel sans fin et, à pour alain borer le 26 page suivante ► page       en un pure forme, belle muette, légendes de michel sans être grand le geste de l’ancienne, vers jean-jacques, peintre normalement, la rubrique sors de mon territoire. fais commençons donc par le     après toute trace fait sens. que les embrassées , cantilène       bonheur page suivante ► page 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gardien de phare à vie, au       deux un survol de l’annÉe     de rigoles en       parfois       l’ dieu faisait silence, mais       au eurydice toujours nue à       ...mais fin première d’abord quelques {{}} on trouvera la préparer le ciel i       ruelle rafale n° 6 just do   cinq approches ….omme virginia par la       soleil       objectif dernier vers aoi toutes ces pages de nos   né le 7 la réserve des bribes certains prétendent Éléments - pour egidio fiorin des mots rafale la poésie, à la suite du blasphème de du bibelot au babil encore bernard noël en débat patrick joquel vient de huit c’est encore à       le ► abÉcÉdaire à jean (ma gorge est une les lettres ou les chiffres agnus dei qui tollis peccata page suivante page suivante ► page dans les écroulements antoine simon 10 ce texte m’a été neuf j’implore en vain paien sunt morz, alquant haut var ► trois petits et   riche de mes (À l’église a-t-on remarqué à quel granz fut li colps, li dux en attendre. mot terrible. ecrire sur les cahiers butor sont ils sortent la fraîcheur et la  les œuvres de carissimo ulisse, torna a antoine simon 31 voir les bifaces de b.       l’ préparer le ciel i     le cygne sur pas une année sans évoquer centre georges pour michèle auer et nu(e), comme son nom vos estes proz e vostre tu le sais bien. luc ne         station 5 : comment d’ eurydice ou bien de en ceste tere ad estet ja retour vers le musicien le peintre manuel casimiro 1 les morceaux de nuit se textes mis en ligne en mars aller à la bribe suivante il souffle sur les collines grande digue est dispersée a quelques exceptions près il n’est pire enfer que i) dieu doit-il présenter       deux lors de la fête du livre   dits de page suivante ► page là-bas, dans le pays des nous serons toujours ces je suis bien dans  l’exposition  un homme dans la rue se prend l’eau froide de l’anse     tout autour dernier vers que mort   que signifie cent dix remarques i► cent des quatre archanges que retour au texte rare moment de bonheur, 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Les dessins de Georges Bauquier
Publication en ligne : 15 mars 2008
/ Catalogue musée
Artiste(s) : Bauquier

“Dans le dessin d’après un objet -écrit Paul Valéry dans Degas, Danse, Dessin- il faut vouloir pour voir et cette vue voulue a le dessin pour fin et moyen à a fois.” C’est cette vue voulue que je retrouve dans toutes les réalisations de Georges Bauquier, c’est cette volonté du regard, cette méthode du voir, cette recherche active du monde qui produit l’œuvre comme un objet de la recherche… L’œuvre de Georges Bauquier, c’est l’œil qui fouille ce que la main pourrait toucher, ce qu’elle voudrait caresser et qu’elle caresse en effet, touchant et fouillant le papier de cette caresse déroutée, qui ne fait trace que de sa déroute, dont la trace appelle ou rappelle l’objet, l’œil, la main, la caresse et cet appel même dit qu’ils sont absents dans cette caresse à jamais suspendue, le dessin... C’est le temps passé à scruter les choses tandis que l’épaule, le bras, la main, les doigts, le corps, se font sismographe des infimes variations du réel, rendant, pendant ce temps, trait pour trait, ombre pour ombre, dans l’humilité passionnée à l’égard des choses du monde… L’œuvre de Georges Bauquier, c’est le lieu de cet étonnant renversement dans lequel le dessin ne se présente pratiquement jamais comme le lieu de l’incertitude, du balbutiement, du préalable ou du repentir ; il est d’emblée celui du fait, de l’œuvre, ce que confirme la vertigineuse maîtrise de l’encre, au point que, loin de faire figure d’étude ou synopie de l’œuvre peinte qui lui fait suite, le dessin s’affirme comme un véritable modèle, le réel concret de référence que la peinture va représenter. L’œuvre de Georges Bauquier est ainsi ce lieu où, humblement, l’artiste dépose les traces, les monuments, des humbles choses du monde : scènes des rues, fruits et objets divers (ces natures que nous appelons mortes et que l’anglais, moins paradoxal qu’il y paraît, nomme “still life”, encore en vie), vues, paysages, figures ; dans le dessin s’inscrit le monde et l’artiste et son corps qui en a permis l’inscription… En même temps qu’ils ancrent le monde dans l’œuvre, les objets que scrute et caresse le regard de l’artiste sont ce par quoi il s’ancre dans le monde ; rien sans doute ne le dit davantage que les dessins de souches et racines ; la série est datée des années 70-80 ; on en trouve toutefois les prémisses dès le début des années 30. Ce n’est pas le thème seul qui dit l’ancrage de l’artiste dans le monde et la terre, c’est le choix des pièces, la soumission libératoire à des formes on ne peut plus réalistes mais dont on imagine combien il serait vain de chercher à mesurer la ressemblance, l’infinie patience avec laquelle la main s’installe sur le papier, l’attention méticuleuse aux variations du bois, à ses accidents, à ses jeux avec la lumière, l’eau, la terre, c’est encore leur foncière ambigüité, double déracinement de ces racines, hors de terre et hors de leur concret, leur double enracinement, dans l’œil et le dessin, leur appel à toutes les absences : leur terre, leur tronc, leurs feuilles, leur floraison, leur air ; Michel Gaudet, dans sa préface à cette série dans le recueil “De l’Arbre” écrit : “Cette étude plénière (..) est une somme. Elle répond à l’éthique de Georges Bauquier…”. Les projets de Georges Bauquier deviennent immédiatement objets : ce qui chez d’autres est, et parfois reste, prévision ou préfiguration, est chez lui réalisation ; dans l’étude qu’il lui consacre, Jean Lescure dit qu’il est “cet ouvrier de la peinture et de la vie”... Double bâtisseur en effet pour qui le monde est là où il le convoque, là d’où il fait surgir le dessin.

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