BRIBES EN LIGNE
  dits de la littérature de       dans la comme une suite de  si, du nouveau sommaire des contributions parcourir les espaces ► préparer le ciel i certains prétendent   la baie des anges page suivante ► page soudain un blanc fauche le bernar venet - antoine simon 21 quand c’est le vent qui À la loupe, il observa pour michèle gazier 1) ensevelie de silence, ce qui aide à pénétrer le « pouvez-vous ma mémoire ne peut me pour julius baltazar 1 le autre citation rafale n° 5 un pour andré ce n’est pas aux choses avec marc, nous avons voir les questions de r.   d’un coté, les ruelles blanches qui paru en ce mois de juin 2021, quelques photos       au tous feux éteints. des la deuxième édition du dans ma gorge madame a des odeurs sauvages page suivante ► page décembre 2001. ne pas négocier ne le soleil n’est pas préparer le ciel i j’ai donné, au mois à la mémoire de christian aller à la bribe suivante je lui ajoute trois petits page d’accueil de maintenant il connaît le printemps breton, printemps page suivante ► je suis né assise par accroc au bord de l’envers de alberto arbasino : deuxième essai       s’ textes mis en ligne en avril descendre à pigalle, se textes mis en ligne en juin dernier vers aoi 1. on est un peu fatigués de le temps passe dans la       le les terrasses abandonnées accéder à l’article page d’accueil de le dernier recueil de la prédication faite textes mis en ligne en sequence a) le chemin de fer 1) la page suivante ► page présentation du projet   se je suis bien dans       fourr&ea       à leonardo rosa pierre ciel le glacis de la mort le dit du guide de agnus dei qui tollis peccata ce texte m’a été dernier vers que mort   nous sommes qu’est-ce qui est en lire chronogaphie (bribe 133  au mois de mars, 1166     son aller à la bribe suivante les plus terribles page précédente longue naviguer dans le bazar de présentation du projet dernier vers aoi nice, le 8 octobre       entre  de même que les kurt schwitters. :     longtemps sur       au le lent tricotage du paysage pourquoi yves klein a-t-il page suivante ► page et toi figure traversé le lieu-dit de antoine simon 27 fête du livre me de toutes les cinq madame aux yeux       mouette la visite de la fondation l’eau froide de l’anse toi, mésange à voir l’essai sur     double aux barrières des octrois il ne sait rien qui ne va page d’accueil de   six formes de la page suivante page page suivante ► page       le cent dix remarques i► cent       je fais le "patriote", à yvon « oui,       le long  l’exposition  sauvage et fuyant comme page suivante page d’abord la crise du dernier vers aoi samuel chapitre 16, versets 1  les œuvres de haut var ► brec    en et voici maintenant quelques la terre a souvent tremblé il pleut. j’ai vu la raphaËl karles se dort cum hume sculpter l’air : exposition de la série antoine simon 6 c’est — pense-t-on - il faut laisser venir madame villa arson d’exposition en face aux bronzes de miodrag parmi les éditeurs josué ne       montagne de proche en proche tous       baie   j’ai souvent cliquer sur le titre pour dans le patriote du 16 mars       retourn&   né le 7 deux mille ans nous li emperere s’est la vie humble chez les     m2   vers stat silva dolorosa page suivante ► page sommaire des exode, 16, 1-5 toute dernier vers aoi       vaches abu zayd me déplait. pas page suivante page le voici devant la toile qui d’entre nous "et bien, voilà..." dit les articles mis en ligne en le chêne de dodonne (i) 1 au retour au moment hans freibach : ainsi fut pétrarque dans approche d’une "école de a l’extrémité du des quatre archanges que mult ben i fierent franceis e       embarq       six quel étonnant c’est un peu comme si, en europe enfin, c’est la quant carles oït la de tantes herbes el pre mise en ligne       ce qui trois (mon souffle au matin prologue et puis t’es   anatomie du m et viallat © le château de       sur lors de la fête du livre tendresse du monde si peu       soleil       apr&egra un texte venu de l’autre       pav&eacu       une (de)lecta lucta     jn 2,1-12 : pour angelo “dans le dessin j’imagine que, comme tout à reste de cet été dans cet page suivante ► page page suivante ► page   je ne comprends plus toutes sortes de papiers, sur cet article est paru accoucher baragouiner dans les horizons de boue, de pour michèle auer et une errance de le chêne de dodonne (i) a l’aube des apaches, pour pierre theunissen la est-ce parce que, petit, on noble folie de josué, bribes en ligne a À l’occasion de dans le respect du cahier des dernier vers aoi  les trois ensembles du bibelot au babil encore ecrire sur aller à la liste des auteurs page suivante ► page       gentil       le page suivante ► page pour visionner la voir document expo boltanski le vieux qui À max charvolen et       &nbs sommaire ► page suivante (ma gorge est une attendre. mot terrible. le thème petit matin frais. je te 1- c’est dans a grant dulur tendrai puis " je suis un écorché vif.       les quai des chargeurs de raphaël monticelli : tu       force buttati ! guarda  quando me ne so itu pe de la accéder au texte en cliquant l’appel tonitruant du petit souvenir antoine simon 33 suite de les installations souvent, voir les œufs de <script           dans entr’els nen at ne pui dernier vers aoi dernier vers aoi malgré ses formules le film sur annie sidro et le le chêne de dodonne (i) de l’autre textes mis en ligne en tandis que dans la grande naviguer dans le bazar de page suivante ► page page suivante ► page l’éclair me dure, pour alain borer le 26 le phonétisme n’a-t-il pas cent dix remarques i► cent marie-hélène aller à la liste des auteurs art et territoire durant   la production pour hélène dubois 1) sixième marie antoinette vers la deuxième       " dernier vers aoi comment entrer dans une  mise en ligne du texte a quelques exceptions près à claude held patiente la toute trace fait sens. que  epître aux   en grec, morías jusqu’à il y a page précédente retour avant propos la peinture est libre de lever la tête       juin que nos princes et empereurs il tente de déchiffrer, et il fallait aller debout mise en ligne d’un       avant ou aux mots noyés dans aller à la bribe suivante il y a longtemps, difficile alliage de sommaire ► page suivante  un livre écrit macao grise aller au sommaire de pablo pour max charvolen 1)         marcel alocco a 199* passé galerie "sine page suivante ► page station 5 : comment sept (forces cachées qui présentation du projet et       à vers jean-jacques, peintre etudiant à       dans alocco peinture en dire que le livre est une rêve, cauchemar, envoi du bulletin de bribes aller à la bribe suivante pour bruno charlotte, in     faisant la merle noir  pour page d’accueil de dernier vers aoi page suivante ► page       le pas sur coussin d’air mais pour maxime godard 1 haute sommaire ► page suivante c’est une sorte de le chêne de dodonne (i) carles respunt :       ".. ++++ il y a, dans mon 1- ai-je reçu une       mé pour accéder au pdf de zacinto dove giacque il mio la tentation du survol, à ki mult est las, il se dort       dans le outre la poursuite de la mise jacques kober : les ce jour-là il lui dans un clignement de vos estes proz e vostre dans les écroulements  pour jean le sables mes paroles vous       au  tu ne renonceras pas. aller à la bribe suivante   (à       marche ceci… pour prendre mesure. villa arson, nice, du 17 bal kanique c’est feuilleton d’un travail le flot gris roule contre n’ayant pas       cette au commencement était textes mis en ligne en textes mis en ligne en     de rigoles en       la quatrième essai de page suivante ► page Éditeur : la diane notre but n’est pas de clquez sur page précédente le café un tunnel sans fin et, à aller à la liste des auteurs       rampant la parol

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L’herbier fugace
Publication en ligne : 15 mars 2008
Artiste(s) : Bartolini

Ce qui
s’installe
ici
efface
la nuit

Ce qui
s’installe
ici
appelle
la nuit

On sent
qui montent
à gauche
des bruits
très anciens

La nuit
gagne
ça
s’effondre
d’un coup

par là
la ville
râle
renacle
s’ébroue

ici
le temps
se lève
et respire
un peu

ici
je triche
écarte
les règles
du jeu

des fumées
se dissipent
derrière
l’air tremble
encore

La nuit
la feuille
gagne
la
fouille

s’effondre
diffus
d’un coup
s’étale
par là

des mots
pauvres
qu’un souffle
disperse
au froid

l’éclat
rebu
d’une terre
lente
à vivre

ça
revient
au brunes
origines
ça se froisse

tout
se reboit
tout
en soi
se retourne

des perles
de terre
des taches
de soir
de poussière

je lève
la tête
j’écoute
je ferme
les yeux

rien
rien ne vibre
au delà
de ce pétale
mort

rien
que la larme
d’une ombre
sur le bord
d’une fleur

le songe
d’un temps
sourd
aux regrets
se pose

des débris
de jour
des miettes
de lait
anciennes

A peine
humide
un pétale
froissé
entre les doigts

A peine
audible
un frou frou
vert
d’ombre

à peine
audible
le frou frou
vert
d’une ombre

un éclat
perdu
cette terre
douceur
des cernes

fragiles
fusains
diffus
lambeaux
des voiles

le temps
s’étale
diffus
fouillant
la feuille

farine
d’os
éclats
de pierre
infime boue

la nuit
dévore
lente
les veines
des fruits

la rouille
atteint
ce feu
d’une feuille
chue

une herbe
entre les pavés
une autre
perçant
le bitume

juste
un nuage
vapeur
mourant
sur le soir

penser
cette
brûlure
en faire
trace

penser
ce
feu
en faire
trace

jouer
le temps
le tordre
dans tes replis
de mémoire

peser
les gouttes
d’heures
au trébuchet
de l’eau

nervures
ces veines
lignes
de
brisure

réseaux
réticules
canaux
assoiffés
stries

réseau
cette soif
farde
des chairs
défaites

combler
les vides
charpie
de mots
papiers

sentir
entre les doigts
la poudre
d’une aile
captive

laisser
glisser
sur un papier
humide
une encre éblouie

laisser
glisser
l’encre éblouie
sur un papier
humide

Cet instant
une fleur
qui meurt
dans son reflet
tranquille

cet instant
que la plume
retient
sur la feuille
captive

un instant
captif
que la plume
retient

laisser
en bout de pinceau
diffuser
l’œil
avide

voir
cette salive
pourpre
par le papier
rebue

voir
l’essence
de l’herbe
embuer
un lambeau d’espace

voir
des essences
d’herbe
embuer l’espace
en lambeaux

Surprendre
l’instant
de fusion
entre chien
et loup
suspendre
l’instant
en fusion
entre chien
et loup

saisir
cette miette
ou se fondent
ce qui fut
ce qui est

cet instant
qu’un pinceau
sur la feuille
retient
captif

la feuille
saisie
qu’un
pinceau
captive

qu’une plume
captive

l’œil
se disperse
au gré des
pluies
colorées

gouttes
brisées
chargées de
lumière
il pleut

la lumière
disperse
les
de l’œil
en pluie

bouts de monde
éclats
en gouttes

lambeaux
écailles
brisures
bouts de monde
éclats

des traces
de jour
levant
comblent
les déchirures

Dire
vivre
là-bas
c’est dire
vivre

dire
la-bas
c’est laisser
filer
l’espace sur la langue

là-bas
et les mers
ouvrent
leurs
bras

la-bas
en pointe d’île
au-delà
d’où se clot
le regard

là-bas
des chairs végétales
dans des odeurs
de brume
verte

là-bas
les brumes se lèvent
voiles
emportés
en vols

là-bas
c’est le pays
des grappes
des sucs
retenus

dire là-bas
et prend forme
le rêve
secret
de l’ici

là-bas
terres
au goût
de
pistil

dire rêver
là-bas
c’est
rêver
le rêve

dire
dormir là-bas
c’est
donner chair
au songe

je
forme inquiète
d’une
ombre
là-bas

songe là-bas
c’est
la douceur
ouverte
des bras

des lèvres

LA ROSE DE CHAIR
la caresse
c’est cet
effleurement
humide
du pinceau

délicate
la main
servante
qui caresse
de loin

à peine
une goutte
d’eau
souillée
de pigment

une
brume
diffuse
un zeste
dans le vent

à peine
une tendresse
de poudre
et
d’eau

enfant
de langue
le pinceau
explosions
minimes

juste
un effleurement
de terre
à peine un souffle de lavande
et de foin

vapeurs
au couchant
d’une
annonce
de mot

A peine
un rien
de boue
coloré
d’aube

un rien
de terre un rien
d’océan un
rien
d’ardeur

touche
la forme
floue
d’une aile
qui passe

tu laisses
une paupière
froisser
l’air
à l’entour

sous
l’air
mobile
se tendre
galbée

tu plonges
une pupille
ouverte
fine
nuit

tu brosses
des tiédeurs
aux souplesses
de
peau

ta main
s’ouvre
sertie
de feuilles

tu entends
au pli
de l’air
le secret
d’un émoi

piquée
au sein
du monde
une aréole
bleue

des liqueurs
lointaines
dispersent
l’espace

au fond
des mues
violettes
la danse du
safran

un souffle
de lèvre
déclose
l’enfance
d’un mot

la trace
du matin
dans la tourmente
habile
du couchant

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