Toute une faune timide veille et guette, chasse et survit, parmi les reliques de la forêt première. Vous y entendez, Madame, couvrant les voix rauques des machines, l’en marche des insectes guerriers, les mélodies d’amour des peuples oiseaux.
Passés les pénitents, Madame va. Sautillante, de demoiselle en demoiselle. Dépouillée de som ombre en ce pas japonais. Les yeux à nu. Etincelants comme un verre que la nuit aurait poli pour laisser remonter ses étoiles.