page suivante ►
page précédente
Temps de pierres dans
dans
crevées déchiquetées
l’ infini des caresses
embout voix s’est déchirée
Temps
peines
Souffrance seule
corps jetés aux gouffres
lamentations des mères déchirées
Temps de taureau s’enfonce en moi
corps roulé de crevasse
dire qu’elle
qu’elle
ciel