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dont l’âme, le aller à la bribe suivante    7 artistes et 1 aller à la bribe suivante glaciation entre paien sunt morz, alquant     le       un ■ cézanne en peinture il faut laisser venir madame normalement, la rubrique page précédente longue dans ce périlleux de sorte que bientôt 1 la confusion des rafale n° 7 un nous avancions en bas de on préparait le recueil de textes iloec endreit remeint li os dernier vers aoi leonardo rosa ensevelie de silence, elle réalise des le pendu page suivante ► page ce n’est pas aux choses page suivante ► page alain remila : un des tant pis pour eux. antoine simon 11 frédéric lien vers la totalité des page suivante ► page on dit qu’agathe vos estes proz e vostre aller à la bribe suivante retour à la recherche dernier vers aoi i mes doigts se sont ouverts la difficile question des       l’ janvier 2002 .traverse feuilleton d’un travail pour accéder au recueil, la toile ou, du moins, la       sabots pour nicolas lavarenne ma comme un prÉliminaire la deuxième suite page suivante ► page un besoin de couper comme de dernier vers aoi un verre de vin pour tacher   un d’abord l’échange des (elle entretenait nous serons toujours ces pour gilbert page précédente ► de dernier vers aoi arbre épanoui au ciel   je n’ai jamais mieux valait découper page précédente retour       ".. page précédente retour       la monticelli raphael 510 035 juste un       la pie ping pong entre miche page suivante ► page  le grand brassage des  un livre écrit dans le train premier et que dire de la grâce pour robert aller à la bribe suivante   (à       aux passet li jurz, si turnet a     hélas, marcel alocco a sous la pression des madame, vous débusquez les ruelles blanches qui la mastication des page suivante page aller au texte nous sommes page suivante ► page able comme capable de donner       dans la bernard noël, droits il y a longtemps, de soie les draps, de soie page suivante ► page aller à la bribe suivante a l’écrivain… comme si viallat © le château de aller à la liste des auteurs quatrième essai de essai de nécrologie, dans le monde de cette granz fut li colps, li dux en ce jour là, je pouvais dans les rêves de la       sur alocco, au château de page suivante ► page page suivante ► page voici l’homme aux deux dernier vers aoi mise en ligne d’un la liberté de l’être page suivante page voile de nuit à la la communication est ajout de fichiers sons dans       en elle ose à peine page suivante ► je suis né   ces notes pour écouter la lecture, les photos et archives [voir le texte de cummings les grands   entrons maintenant a la libération, les       allong&e comme c’est       il diaphane est le saluer d’abord les plus le franchissement des page d’accueil de (vois-tu, sancho, je suis page d’accueil de effrayante humilité de ces <img852|left> forest j’ai donc ils avaient si longtemps, si avant lire une interview de pour michèle auer et gérard page précédente page préparer le ciel i paru en ce mois de juin 2021, sommaire ► page suivante 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31       mé aller à la bribe suivante       la dernier vers que mort pas sur coussin d’air mais ce poème est tiré du les carnets éclaboussés 2 à propos des grands page suivante ► page 10 vers la laisse ccxxxii dernier vers aoi mais non, mais non, tu   À léon-gontran dans les horizons de boue, de  dernières mises tu le sais bien. luc ne présentation du projet cet univers sans       et tu rafale n° 6 just do aller à la bribe i au page d’accueil de cent dix remarques i► cent à bernadette "pour tes torna a sorrento ulisse torna la galerie chave qui vers la première pour andré la chaude caresse de textes mis en ligne en l’envers de voir les œufs de "tu sais ce que c’est aller au sommaire de pablo page précédente retour considérant que l’usage page suivante       gentil page suivante ► page       bruyante en 1958 ben ouvre à raphaËl béatrice machet vient de dernier vers aoi derniers   (dans le textes mis en ligne en août a propos d’une       vu les page suivante ► page cent dix remarques i► cent       apr&egra et combien antoine simon 9 il arriva que j’ai changé le page précédente page art et territoire durant  pour de nous serons toujours ces le corps encaisse comme il       crabe-ta page d’accueil de toutes ces pages de nos elle disposait d’une Éditeur : la diane quand on arrive de new-york tout en vérifiant petit souvenir page d’accueil de clere est la noit e la le 23 février 1988, il passet li jurz, la noit est    de femme liseuse       dans la       dans le lent tricotage du paysage m1       sainte marie, sequence aller au sommaire des madame des forêts de aller à la bribe suivante zacinto dove giacque il mio vous dites : "un 7) porte-fenêtre carissimo ulisse, torna a  l’écriture toutefois je m’estimais attendre. mot terrible. oui la inoubliables, les cliquer sur l’icône toujours les lettres : la vie est dans la vie. se ainsi fut pétrarque dans       au de mes deux mains  monde rassemblé page suivante ► page traversé le lieu-dit de questions de temps suivi de percey priest lake sur les charogne sur le seuil ce qui antoine simon 30 neuf j’implore en vain merci au printemps des pour bruno charlotte, in       devant  pour le dernier jour premier vers aoi dernier les articles mis en ligne en laudatu sii, mi signore, dernier vers aoi tout le problème antoine simon 25 pour accéder au pdf, prenez vos casseroles et vers la deuxième éphémère du 2 pour maxime godard 1 haute   d’un coté, le proche et le lointain       droite   *   libre aller à la liste des auteurs       mouette avant-dire  “... très saintes litanies l’attente, le fruit       é la parol

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LXXXVI


(Elle entretenait soigneusement une légendaire collection de bourses)


Prenez le cas d’Athéna par exemple ; enfin, vous savez bien que ce n’est pas au hasard : on a largement parlé de son affection pour moi. Capable de toutes les apparences. Homme ou femme, jeune ou vieux. Réalité ou songe. Capable de masquer un pays entier. Vous savez comment elle en a usé pour moi. Il ne s’agissait pas seulement d’un déguisement ... En quoi c’est bien plus redoutable, n’est-ce pas ? Les vêtement ça va encore. Mais les rides. Qui peut supporter les rides ? Et la calvitie ? Si encore les choses vont à leur rythme on peut s’y faire. Mais d’un coup ! passer sa main sur sa tête d’arrière en avant, et ne sentir rien d’autre qu’une peau tendue, ne pas parvenir à déceler la limite entre le front et le crâne, se sentir soudain comme sans protection, sans apprêt. Bien sûr, on peut s’y faire. Mais si rapidement ? Parcourir de ses mains sa propre tête, son propre visage et ne pas s’y retrouver. J’en connais qui en auraient perdu aisément la raison. Mais après tout ce n’est guère plus surprenant que de s’entendre fabriquer des contes.

 Il peut arriver à tout le monde de se tromper mademoiselle.

Non, jamais je n’ai aimé les vagues, à la fois trop mouvantes et semblables à elles-mêmes ; trop capricieusement constantes, impropres à tout, et traîtresses. Qui peut se vanter de les avoir définitivement domptées ? Mais qui peut aussi bien être sûr qu’elles tueront ? Elles malmènent ou caressent avec aussi peu de persévérance, comme sans véritable intention, comme si elles ne vous voulaient ni du mal ni du bien, comme si elles ne vous voulaient pas. Avares, voilà ! Capables de tout prendre, de tout accueillir, se saisir de tout, tout accumuler, tout sceller, incapables de rien faire profiter, de rien rendre. Sillons aussitôt refermés qu’ouverts, s’ouvrant aussi aisément qu’elle se referment, et stériles ! Elles sont belles, oui, vues de loin, vues de la terre, et séduisantes quand elles viennent mourir sur le bord, et de leur va-et-vient vous appellent, lascives, jouant les innocentes, frangées d’opalescences lactées... Innocentes !

Nous avons eu raison d’en faire naître Aphrodite. En voilà une avec qui je n’ai jamais pu m’entendre. Bouleversante, oui... Séductrice, qu’elle le voulût ou non ; destructrice et productrice ; instable ? non. Plutôt déstabilisante, comme tout et le contraire de tout intimement liés. Présente soudain, appeau vivant, tu voudrais t’y détruire ... certain que tu ne risques rien. L’évidence de ta propre réalisation : à la voir tu te sais incomplet, tu sais que si ta peau est si terne ou si lointaine, si tu oublies ton souffle si souvent, si tu n’as pas besoin de penser à eux pour que tes pieds te portent, si tu peux avancer parmi tes semblables sans craindre l’impudence de ton sexe, si ta salive humecte ta langue et ta bouche sans que tu ais à y songer, c’est comme mépris de ta part, que ton corps a séché loin des eaux vivifiantes, qu’une plaie lointaine, première, s’est refermée, que tu n’es plus qu’une unique cicatrice devenue curieusement insensible et que tu peux désormais, en te joignant à elle, te retrouver entier, et sentir, enfin, la vérité pulsante de ton sang , la profondeur presque pénible de ton souffle, la tension joyeuse de ton sexe, et la pure symphonie des frissons de ta peau... Force première, tendresse de la mer, capable de t’étouffer d’amour, quand il ne te reste de ton étreinte qu’une humidité salée.

©Editions de l'Amourier, tous droits réservés

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