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RAPHAËL MONTICELLI

À propos de "Préparations" de Casimiro et Butor
Publication en ligne : 11 janvier 2021
/ article dans revue
Artiste(s) : Casimiro

En fouillant dans mes archives, j’ai retrouvé cet entretien de 1988, paru, en portugais, dans le supplément arts et lettres d’un quotidien aujourd’hui disparu, Primeiro de Janeiro. En insistant j’en ai retrouvé la version française numérique, dont je ne sais pas si elle a jamais été publiée en l’état. La version portugaise est sensiblement différente de l’original français. Le traducteur a notamment supprimé, à juste titre, la dernière phrase. Je la garde. D’abord parce qu’elle fait partie de mon texte original. Ensuite parce qu’elle ouvre, en dehors de l’entretien, une discussion entre Michel et Manuel, qui donnera l’un des textes de Butor sur Manuel Casimiro... Vénus et l’Amour, justement, qui sera publié pour la première fois l’année suivante lors d’une exposition de Casimiro au Museu Amadeo Souza-Cardoso...


Le peintre Manuel Casimiro travaille à Nice depuis maintenant plus de dix ans. A l’occasion de la semaine "l’Art à la Frontière" pendant laquelle Michel Butor a développé certains des thèmes majeurs de son rapport à la peinture et aux peintres, a été présenté aux amateurs et aux mass-médias le livre issu de la collaboration entre le peintre et l’écrivain ; son titre : "Préparations"...

Raphaël Monticelli : Manuel Casimiro, Michel Butor, je sais que votre amitié et votre collaboration durent depuis des années, pratiquement dès l’arrivée de Manuel à Nice. Vous m’avez dit, Michel Butor, que vous exposiez alors, à la galerie Lovreglio, des cartes postales et que vous aviez reçu la visite de Manuel Casimiro, intéressé par des travaux qui rejoignaient certaines de ses préoccupations de l’époque, puisqu’il travaillait lui-même sur carte postale, intégrant à ces images commerciales son énigmatique ovoïde, mi interrogatif, mi ironique. Vous avez dès lors multiplié les rencontres, et les travaux communs, vous êtes intervenus ensemble sur des cartes postales, vous avez, Michel Butor, écrit sur le travail de Manuel Casimiro, notamment cette préface pour son exposition à la fondation Calouste Gulbenkian il y a quelques années, ou la Ballade de l’objet inconnu parue en 1981 dans le premier numéro de la revue "Le temps des poètes" ou encore L’arlequin décontenancé en 1986 dans vos "Carnets 1986" chez Z’éditions. C’est pourtant la première fois que sort un ouvrage commun, et je souhaiterais connaître la genèse de cette collaboration particulière.
Manuel Casimiro : C’est vrai... Le titre c’est Michel qui l’a trouvé
Michel Butor : Oui, le titre c’est moi, puisqu’il s’agit du titre du texte, et non de la série de gravures.
M.C. : Quant à l’idée du livre, elle est venue, je crois un peu, du libraire et éditeur niçois Jacques Matarasso.
M.B. : Matarasso avait déjà fait une exposition avec Manuel dans laquelle il y avait des œuvres en collaboration, en particulier l’Arlequin décontenancé, ainsi que des photocopies en couleurs.
M.C. : Nous avions de nombreux travaux en commun. Quand Michel était à Nice nous nous voyions assez régulièrement. C’était très enrichissant. Pour moi, c’est une expérience importante.
R.M. : Puisque nous avons les éléments de l’origine de ce livre commun, je vous propose d’aller un peu plus dans le détail. Manuel, je crois qu’à l’occasion de la parution de "Préparations", tu réalises tes premières gravures.
M.C. : Oui, cette invitation m’a amené à explorer ce domaine qui m’était étranger. C’est très important. Au début j’ai rencontré quelques problèmes. Je me rappelle avoir fait part alors, à Michel, de mon enthousiasme, et lui avoir dit les déboires que je rencontrais à l’école d’art de Porto où je m’exerçais. J’ai repris ce travail ensuite en revenant à Nice.
R.M. : Et où en était le texte alors ? L’avais-tu déjà ?
M.B. : Il faut dire que Manuel m’a d’abord donné de toutes petites peintures sur papier
M.C. : Oui, de l’acrylique sur des carrés de papier
M.B. : C’est à partir de cette petite série de peintures que j’ai fait mon texte. Il correspond à une méditation sur ces petites œuvres. J’ai ensuite communiqué mon texte à Manuel, et ça a donné ce dialogue.
R.M. : Oui, je vois bien ce va et vient. Nous avons un texte qui prend naissance dans un rapport à des peintures. Puis des gravures qui s’oengendrent dans le texte proposé. Toute une circulation qui développe ainsi l’idée initiale.
M.B. : Les petites peintures reprenaient elles-mêmes des œuvres plus anciennes de Manuel.
R.M. : Elles rappellent en effet des œuvres de la fin des années 60.
M.C. : Elles pourraient donc être des "copies inexactes", n’est-ce pas.
M.B. : J’ai donc fait mes légendes à ces petites œuvres. Quant au terme de "Préparations", dont j’ai fait le titre, il correspond pour moi, voyez-vous, d’abord aux préparations que font les peintres et surtout les graveurs, sur la toile ou le cuivre ; je pensais aussi aux préparations microscopiques à ces lamelles de laboratoire sur lesquelles on dispose la cellule ou l’amibe en vue de l’observation. Cette attitude que j’ai adoptée pour le titre donne aussi le thème du texte qui va présenter l’expérience du peintre et du graveur, comme celle du biologiste, et naturellement, celle du microbe lui-même si l’on passe de l’autre côté de la préparation. Il y a ainsi des moments dans le texte où c’est le microbe qui regarde le préparateur... Vous voyez, par exemple :
"Écrasé comme un insecte entre deux lames de verre, glissant dans un rayon de lumière triste vers la dégoulinade finale"
ou
"Sous l’objectif apercevant le scrutateur énorme dans la caverne des miroitements clignant dévorant fasciné"
C’est le microbe qui regarde celui qui le regarde... Il y a bien sûr d’autres aspects : le texte s’efforce d’étudier toute la thématique qui ressort de choses qui sont au point de départ aussi simples. Les gravures ajoutent beaucoup par rapport aux esquisses initiales parce qu’elles présentent à la fois ces thèmes mais aussi la déchirure par ce trait tout à fait délicat qui me fait dire qu’il est très heureux que Manuel ait fait de la gravure ; c’est très réussi. Il y a eu vraiment entre nous un dialogue en profondeur.
… … … …
Manuel, vous m’avez parlé d’une série que vous faites sur Vénus et l’Amour... Expliquez-moi donc ça (...)

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