Comme ce mur blanc brûlant le soleil de juillet
Comme ce nœud d’incendie qui forcit dans la gorge
Comme le silence écrasé après le dernier coup de midi
Comme la dernière page apprise et dite
La femme a arrêté son pas.
« Glisse sur les sentiers interdits,
Remplis ton ventre de ciguë !
L’amant, le compagnon, l’enfant
Ne te rejoindra plus. »